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carlosjuan

Crise Financière, Sociale, Mondiale...

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Le jeu des C...

Article qui démontre ou plutôt montre tout simplement sur quoi est basé notre système économique.

Très instructif!

http://investor.over-blog.com/article-1186875.html

C'est un lien qui a déjà été sorti me semble-t-il, mais je le remets ici pour illustrer ce jeu des C..

http://www.bankster.tv/

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General Motors vient d'échouer dans la restructuration de sa dette. L'échéance avant le dépôt de bilan reste fixé par l'état au 1er Juin. La faillite devient donc donc probable, après des mois de tergiversation pour préparer les esprits et dégraisser le mammouth. Cela a permis de faire tomber l'action sur des planchers vieux comme le monde, de licencier, et de vider autant d'actifs que possible pour éviter des chiffres impressionnants si on va à la faillite. Cela fut quand même efficace, la faillite de GM passant maintenant presque pour anodine alors qu'il y a quelques mois, elle effrayait tout le monde. :whistling:

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Tout cela donne une impression de chaos, l'Etat californien se retirant lentement alors qu'il s'agit là de son rôle premier.

http://www.courrierinternational.com/artic...s-en-californie

Rien ne va plus en Californie

Libération de prisonniers, raccourcissement de l’année scolaire, coupes budgétaires dans les programmes sociaux… Le gouverneur Arnold Schwarzenegger est prêt à recourir à tout pour renflouer les caisses de l’Etat.

Avenir

Le prochain gouverneur de Californie pourrait bien être issu de la Silicon Valley, rapporte le Financial Times. Le berceau des entreprises de nouvelles technologies se pique en effet de plus en plus de politique. Deux entrepreneurs locaux sont déjà officiellement en lice pour l’élection de 2010. Steve Poizner, ancien PDG de Strategic Mapping Inc., et Meg Whitman, ancienne dirigeante du site d’enchères en ligne Ebay.

Pendant sa campagne désespérée pour défendre les six mesures qu’il s’apprêtait à soumettre au vote de ses con­citoyens afin de combler le monstrueux déficit budgétaire de la Californie, le gouverneur Arnold Schwarzenegger avait appelé les électeurs californiens à ne pas faire de leur Etat un “emblème du dysfonctionnement”. Or, le 19 mai, c’est exactement ce qu’ils ont fait. La plupart ont préféré ne pas aller voter. Ceux qui se sont tout de même rendus aux urnes ont rejeté toutes les mesures proposées, à l’exception de celle portant sur le gel des salaires des élus en période de récession. Le gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger, déjà impopulaire avant cette crise, risque fort de rester dans les mémoires pour son échec. Le jour du scrutin, il a préféré fuir la Californie pour une visite à la roseraie de la Maison-Blanche en compagnie de Barack Obama, bien plus flatteuse sur le plan des relations publiques.

Après le scrutin du 19 mai, la Californie pourrait se retrouver avec un déficit budgétaire de 21,3 milliards de dollars [15,3 milliards d’euros]. Pour de nombreux Californiens, dont la vie n’était déjà pas rose depuis le début de la récession, les choses ne devraient pas s’arranger. Deux trains de restrictions budgétaires ont été lancés depuis l’automne 2008. Il faut maintenant s’attendre à une troisième série de coupes budgétaires encore plus brutales. Arnold Schwarzenegger a déjà laissé entrevoir quelles réductions il comptait soumettre au Parlement de Sacramento. La partie la plus facile concerne la libération de prisonniers. Les 33 pénitenciers de Californie, qui abritent quelque 168 000 détenus, sont scandaleusement surpeuplés. Le gouverneur souhaite libérer 38 000 prisonniers, dont la moitié sont des immigrés clandestins qu’il laissera à la charge des autorités fédérales.

225 000 enfants privés de couverture sociale

Mais “les vraies économies portent surtout là où ça fait mal”, explique l’expert Jean Ross qui travaille pour un cabinet de consultants de Sacramento. Et, en particulier, dans le secteur de la santé. Alors même que Barack Obama s’efforce de permettre à davantage d’Américains d’avoir accès à une couverture médicale, la Californie, elle, fait marche arrière. Elle taille dans le financement de Medi-Cal, le programme d’assurance-santé de l’Etat pour les plus défavorisés, et elle modifie les règles d’éligibilité d’un autre programme d’assistance.

A terme, cela devrait priver 225 000 enfants de toute couverture sociale, juste au moment où leurs parents perdent leurs emplois et donc leurs assurances. D’autres programmes de l’Etat vont également être révisés à la baisse ou carrément supprimés, que ce soit dans l’assistance au contrôle des naissances ou dans le soutien aux toxicomanes et aux victimes de violences conjugales. Les programmes de protection de l’enfance de l’Etat seront réduits de 10 %. Les accusations de maltraitance en­traîneront par conséquent moins d’enquêtes, les enfants placés en foyer d’accueil seront moins suivis, alors qu’en ces temps de difficultés éco­nomiques ils risquent davantage d’être victimes d’abus, souligne Linda Canan, membre des services d’aide sociale du comté de Napa.

L’année scolaire californienne pourrait se voir raccourcie d’une se­maine, suite aux coupes dans le budget de l’éducation. Des enseignants devraient être licenciés, ce qui aura pour résultat de gonfler les effectifs des classes. Enfin, l’université de Californie, qui englobe dix campus, subira des réductions correspondant à la perte de 50 000 étudiants et de près de 5 000 membres de son personnel. Et cela ne s’arrête pas là. Une grande braderie va être organisée à l’échelle de toute la Californie.

L’Etat compte en effet se séparer d’un certain nombre de ses biens, comme le grand Colisée de Los Angeles, des salles de concert et des champs de foire. Même la prison de San Quentin, construite dans la baie de San Francisco à l’époque de la ruée vers l’or et où sont aujourd’hui détenus les condamnés à mort de l’Etat, pourrait être cédée. Jeff Denham, sénateur républicain de Californie qui a toujours voté contre tout effort visant à renforcer la pression fiscale, souhaite depuis des années transférer les prisonniers de San Quentin vers un pénitencier à l’intérieur des terres, afin de pouvoir vendre les “biens situés sur le front de mer”. Il se pourrait bien qu’il obtienne enfin gain de cause.

Et pendant ce temps, le taux de chômage explose aux USA, et passe à 9,4%. Le passage des 10% devient de plus en plus probable. En même temps, on essaye de rassurer avec un nombre de destruction d'emploi limité. :whistling:

Une petite note pour illustrer, le secteur public a détruit un certain nombre de postes au mois de Mai d'après les premiers chiffres publiés alors qu'il avait réussi à créer des postes en Avril.

Modifié par paix

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Chrysler est en mauvaise posture. http://www.nytimes.com/2009/06/09/business...ysler.html?_r=1

La décision de mise en faillite et de rachat de Chrysler par Fiat vient d'être suspendu suite à une demande entre autre d'un fond de pension de l'Indiana. Si la procédure est définitivement gelé suite à cette demande, Fiat aura le droit de se retirer de l'affaire. Avec 35 ou 40 000 pertes d'emplois si Chrysler part en faillite, l'impact sur le chômage, moral, consommation.... risque de ne pas être drôle. :whistling:

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Un petit article sur le racisme paru le 24/09 dans "Le Monde"

Source: http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element...-1244095,0.html

Moi, Mustapha Kessous, journaliste au "Monde" et victime du racisme

"Brice Hortefeux a trop d'humour. Je le sais, il m'a fait une blague un jour. Jeudi 24 avril 2008. Le ministre de l'immigration et de l'identité nationale doit me recevoir dans son majestueux bureau. Un rendez-vous pour parler des grèves de sans-papiers dans des entreprises. Je ne l'avais jamais rencontré. Je patiente avec ma collègue Laetitia Van Eeckhout dans cet hôtel particulier de la République. Brice Hortefeux arrive, me tend la main, sourit et lâche : "Vous avez vos papiers ?"

Trois mois plus tard, lundi 7 juillet, jour de mes 29 ans. Je couvre le Tour de France. Je prépare un article sur ces gens qui peuplent le bord des routes. Sur le bitume mouillé près de Blain (Loire-Atlantique), je m'approche d'une famille surexcitée par le passage de la caravane, pour bavarder. "Je te parle pas, à toi", me jette un jeune homme, la vingtaine. A côté de moi, mon collègue Benoît Hopquin n'a aucun souci à discuter avec cette "France profonde". Il m'avouera plus tard que, lorsque nous nous sommes accrédités, une employée de l'organisation l'a appelé pour savoir si j'étais bien son... chauffeur.

Je pensais que ma "qualité" de journaliste au Monde allait enfin me préserver de mes principaux "défauts" : être un Arabe, avoir la peau trop basanée, être un musulman. Je croyais que ma carte de presse allait me protéger des "crochets" balancés par des gens obsédés par les origines et les apparences. Mais quels que soient le sujet, l'endroit, la population, les préjugés sont poisseux.

J'en parle souvent à mes collègues : ils peinent à me croire lorsque je leur décris cet "apartheid mental", lorsque je leur détaille les petites humiliations éprouvées quand je suis en reportage, ou dans la vie ordinaire. A quoi bon me présenter comme journaliste au Monde, on ne me croit pas. Certains n'hésitent pas à appeler le siège pour signaler qu'"un Mustapha se fait passer pour un journaliste du Monde !"

Ça fait bien longtemps que je ne prononce plus mon prénom lorsque je me présente au téléphone : c'est toujours "M. Kessous". Depuis 2001, depuis que je suis journaliste, à la rédaction de Lyon Capitale puis à celle du Monde, "M. Kessous", ça passe mieux : on n'imagine pas que le reporter est "rebeu". Le grand rabbin de Lyon, Richard Wertenschlag, m'avait avoué, en souriant : "Je croyais que vous étiez de notre communauté."

J'ai dû amputer une partie de mon identité, j'ai dû effacer ce prénom arabe de mes conversations. Dire Mustapha, c'est prendre le risque de voir votre interlocuteur refuser de vous parler. Je me dis parfois que je suis parano, que je me trompe. Mais ça s'est si souvent produit...

A mon arrivée au journal, en juillet 2004, je pars pour l'île de la Barthelasse, près d'Avignon, couvrir un fait divers. Un gamin a été assassiné à la hachette par un Marocain. Je me retrouve devant la maison où s'est déroulé le drame, je frappe à la porte, et le cousin, la cinquantaine, qui a tenté de réanimer l'enfant en sang, me regarde froidement en me lançant : "J'aime pas les Arabes." Finalement, il me reçoit chez lui.

On pensait que le meurtrier s'était enfui de l'hôpital psychiatrique de l'endroit : j'appelle la direction, j'ai en ligne la responsable : "Bonjour, je suis M. Kessous du journal Le Monde..." Elle me dit être contente de me recevoir. Une fois sur place, la secrétaire lui signale ma présence. Une femme avec des béquilles me passe devant, je lui ouvre la porte, elle me dévisage sans me dire bonjour ni merci. "Il est où le journaliste du Monde ?", lance-t-elle. Juste derrière vous, Madame : je me présente. J'ai alors cru que cette directrice allait s'évanouir. Toujours pas de bonjour. "Vous avez votre carte de presse ?, me demande-t-elle. Vous avez une carte d'identité ?" "La prochaine fois, Madame, demandez qu'on vous faxe l'état civil, on gagnera du temps", riposté-je. Je suis parti, évidemment énervé, forcément désarmé, avant de me faire arrêter plus loin par la police qui croyait avoir... trouvé le suspect.

Quand le journal me demande de couvrir la révolte des banlieues en 2005, un membre du club Averroès, censé promouvoir la diversité, accuse Le Monde d'embaucher des fixeurs, ces guides que les journalistes paient dans les zones de guerre. Je suis seulement l'alibi d'un titre "donneur de leçons". L'Arabe de service, comme je l'ai si souvent entendu dire. Sur la Toile, des sites d'extrême droite pestent contre "l'immonde" quotidien de référence qui a recruté un "bougnoule " pour parler des cités.

Et pourtant, s'ils savaient à quel point la banlieue m'était étrangère. J'ai grandi dans un vétuste appartement au coeur des beaux quartiers de Lyon. En 1977, débarquant d'Algérie, ma mère avait eu l'intuition qu'il fallait vivre au centre-ville et non pas à l'extérieur pour espérer s'en sortir : nous étions parmi les rares Maghrébins du quartier Ainay. Pour que la réussite soit de mon côté, j'ai demandé à être éduqué dans une école catholique : j'ai vécu l'enfer ! "Retourne dans ton pays", "T'es pas chez toi ici", étaient les phrases chéries de certains professeurs et élèves.

Le 21 décembre 2007, je termine une session de perfectionnement dans une école de journalisme. Lors de l'oral qui clôt cette formation, le jury, composé de professionnels, me pose de drôles de questions : "Etes-vous musulman ? Que pensez-vous de la nomination d'Harry Roselmack ? Si vous êtes au Monde, c'est parce qu'il leur fallait un Arabe ?"

A plusieurs reprises, arrivant pour suivre un procès pour le journal, je me suis vu demander : "Vous êtes le prévenu ?" par l'huissier ou le gendarme en faction devant la porte du tribunal.

Le quotidien du journaliste ressemble tant à celui du citoyen. Depuis plusieurs mois, je cherche un appartement. Ces jours derniers, je contacte un propriétaire et tombe sur une dame à la voix pétillante : "Je m'appelle Françoise et vous ?" "Je suis M. Kessous ", lui répondis-je en usant de mon esquive habituelle. "Et votre prénom ?", enchaîne-t-elle. Je crois qu'elle n'a pas dû faire attention à mon silence. Je n'ai pas osé le lui fournir. Je me suis dit que, si je le lui donnais, ça serait foutu, qu'elle me dirait que l'appartement avait déjà été pris. C'est arrivé si souvent. Je n'ai pas le choix. J'hésite, je bégaye : "Euhhhhh... Mus... Mustapha."

Au départ, je me rendais seul dans les agences immobilières. Et pour moi - comme par hasard - il n'y avait pas grand-chose de disponible. Quand des propriétaires me donnent un rendez-vous pour visiter leur appartement, quelle surprise en voyant "M. Kessous" ! Certains m'ont à peine fait visiter les lieux, arguant qu'ils étaient soudainement pressés. J'ai demandé de l'aide à une amie, une grande et belle blonde. Claire se présente comme ma compagne depuis cet été et fait les visites avec moi : nous racontons que nous allons prendre l'appartement à deux. Visiblement, ça rassure.

En tout cas plus que ces vigiles qui se sentent obligés de me suivre dès que je pose un pied dans une boutique ou que ce vendeur d'une grande marque qui ne m'a pas ouvert la porte du magasin. A Marseille, avec deux amis (un Blanc et un Arabe) - producteurs du groupe de rap IAM -, un employé d'un restaurant a refusé de nous servir...

La nuit, l'exclusion est encore plus humiliante et enrageante, surtout quand ce sont des Noirs et des Arabes qui vous refoulent à l'entrée d'une boîte ou d'un bar. Il y a quatre mois, j'ai voulu amener ma soeur fêter ses 40 ans dans un lieu parisien "tendance". Le videur nous a interdit l'entrée : "Je te connais pas !" Il aurait pourtant pu se souvenir de ma tête : j'étais déjà venu plusieurs fois ces dernières semaines, mais avec Dida Diafat, un acteur - dont je faisais le portrait pour Le Monde - et son ami, le chanteur Pascal Obispo.

Fin 2003, je porte plainte contre une discothèque lyonnaise pour discrimination. Je me présente avec une amie, une "Française". Le portier nous assène le rituel "Désolé, y a trop de monde." Deux minutes plus tard, un groupe de quinze personnes - que des Blancs - entre. Je veux des explications. "Dégage !", m'expédie le videur. La plainte sera classée sans suite. J'appellerai Xavier Richaud, le procureur de la République de Lyon, qui me racontera qu'il n'y avait pas assez d'"éléments suffisants".

Que dire des taxis qui après minuit passent sans s'arrêter ? Que dire de la police ? Combien de fois m'a-t-elle contrôlé - y compris avec ma mère, qui a plus de 60 ans -, plaqué contre le capot de la voiture en plein centre-ville, fouillé jusque dans les chaussettes, ceinturé lors d'une vente aux enchères, menotté à une manifestation ? Je ne compte plus les fois où des agents ont exigé mes papiers, mais pas ceux de la fille qui m'accompagnait : elle était blonde.

En 2004, une nuit à Lyon avec une amie, deux policiers nous croisent : "T'as vu le cul qu'elle a !", lance l'un d'eux. "C'est quoi votre problème ?" rétorqué-je. Un des agents sort sa matraque et me dit en la caressant : "Il veut quoi le garçon ?" Le lendemain, j'en ai parlé avec Yves Guillot, le préfet délégué à la police : il m'a demandé si j'avais noté la plaque de leur voiture. Non...

En 2007, la brigade anticriminalité, la BAC, m'arrête sur les quais du Rhône à Lyon : j'étais sur un Vélo'v. On me demande si j'ai le ticket, si je ne l'ai pas volé. L'autre jour, je me gare en scooter sur le trottoir devant Le Monde. Je vois débouler une voiture, phares allumés : des policiers, mains sur leurs armes, m'arrêtent. Je leur dis que je travaille là. Troublés, ils me demandent ma carte de presse, mais pas mon permis.

Des histoires comme celles-là, j'en aurais tant d'autres à raconter. On dit de moi que je suis d'origine étrangère, un beur, une racaille, un islamiste, un délinquant, un sauvageon, un "beurgeois", un enfant issu de l'immigration... Mais jamais un Français, Français tout court."

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Oui ... le problème du racisme ... Révoltant, c'est évident. A tel point que j'ai quitté l'Europe un peu pour ca (et d'autres raisons).

Mais bon ... Je me demande parfois si on n'en fait pas un peu trop. Quand je suis revenu en Belg-hic en novembre 2007, c'était l'époque du président de Molenbeek qui avait traité un joueur noir de "singe qui devait remonter dans son arbre manger des bananes". Evidemment, cela fait un scandale. Sauf que pendant une semaine on en a parlé dans les journaux écrits, et à la TV. Et à la fin, ça devient lourd je crois. Anti-constructif même. Les gens se lassent d'entendre toujours la même chose. En France idem, où on fait presque le recensement des fonctionnaires racistes, et chaque jour on en fait toute une salade. J'essaie d'imaginer ce que ça doit produire dans le cerveau des gens. A la fin, on dénature la lutte contre le racisme, et on vide le mot "racisme" de son contenu. Par exemple, une militante MR avait déclaré que la "lutte des classes est une forme de racisme". N'importe quoi !

Depuis que je vis au Pérou, je relativise les choses. Vivant dans un pays très catholique, les gens me regardent toujours d'un drôle d'air quand je leur dis que je ne crois pas en Dieu. Certains m'ont déjà fait comprendre que j'étais raciste, parce que je ne suis pas croyant. Parce que Dieu est péruvien (ou latino-américain) et que si vous ne croyez pas en Dieu, alors vous n'aimez pas le Pérou ... ou bien vous ne voulez pas vous intégrer aux coutumes péruviennes parce que vous vous croyez supérieur à eux, et donc raciste.

Et puis, il paraît qu'Obama est un raciste anti-blanc et même un antisémite parce qu'il a dit que "la colonisation de la Cisjordanie devait cesser".

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pour en revenir au sujet de notre ami Paix, qui à été supprimé :

Ne dit-on pas que c'est la politique et la religion qui font "la pluie et le beau temps" .?

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Pour moi, les 2 produisent la drache ... mais je ne suis pas sûr que tout ceci soit autorisé par les modérateurs :whistling:

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C'est ce qui est dommage. Surtout pour la politique, qui par définition devrait être au service des citoyens.

Mais il est vrai que je ne m'attendais pas à quelque chose d'autre pour mon sujet. C'est bien limite cette discussion.

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Bah écoute tous les sujets qui touchent de près ou de loin à la politique tourne en c**** alors ...

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C'est ce qui est dommage. Surtout pour la politique, qui par définition devrait être au service des citoyens.

Mais il est vrai que je ne m'attendais pas à quelque chose d'autre pour mon sujet. C'est bien limite cette discussion.

Une petite pensée à toi...

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L'Union Européenne à la croisée des chemins en 2010 : complice ou victime de l'effondrement du Dollar ?

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-38-est-dispo...e-ou_a3879.html

Nous vivons une époque formidable où tout va plus vite, de même que l'effrondement d'une nation qui voit sont déficit exploser!

Baisse du dollar, hausse du pétrole, étouffement de la croissance, chomage, endettement,...

Le pire reste à venir, croyez-moi...

La vraie croissance ne reviendra pas.

Notre mode de vie va être forcé de changer.

Bref, nous vivons une dépression...

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