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Les Forums de MeteoBelgique
Philippe

A propos du réchauffement climatique

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A ma décharge, je vous raconterais ceci : A mon Alliance Francaise et dans les méthodes de français, on parle bcp de RC. Plus précisçement dans les documents écrits, audio, video, dans les examens, dans les documents de mediatheque, dans les opinions des étudiants qui sont ultra-stereotypées ("Nous sommes en train de détruire notre planète, donc il faudra la recherche spatiale est bonne pour en coloniser une autre"). A la fin, c'est fatiguant.

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Obama s'en prend aux sceptiques du réchauffement climatique

Le président Barack Obama s'en est pris vendredi aux sceptiques du réchauffement climatique et adversaires d'une ambitieuse législation sur l'environnement en cours d'adoption, qualifiant leur attitude de "cynique".

"Ceux qui disent toujours non, les types qui font comme si ce n'était pas un problème, sont en train d'être marginalisés", a assuré M. Obama devant un parterre d'étudiants et de chercheurs du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), près de Boston (nord-est).

La commission de l'Environnement du Sénat américain doit tenir mardi sa première audition pour examiner le projet de loi sur le climat visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une autre version de ce texte a déjà franchi l'obstacle de la Chambre des représentants.

"Plus nous nous rapprocherons (du vote de la loi), plus l'opposition va se battre, et plus nous allons entendre ceux dont les intérêts ou les idées sont contraires aux actions que nous avons entreprises", a prévenu M. Obama.

"Certains vont affirmer qu'aller vers des énergies propres va détruire notre économie. Certains vont lancer des affirmations cyniques qui contredisent les preuves scientifiques écrasantes du changement climatique", a encore dit le président, notant que leur seul but était "de faire échouer ou de retarder les évolutions dont nous savons qu'elles sont nécessaires".

Des responsables gouvernementaux américains ont déjà prévenu que la loi ne serait pas votée avant le sommet de Copenhague sur le climat en décembre, ce qui risque de réduire la portée de cette conférence destinée à mettre sur pied un traité prenant le relais du protocole de Kyoto, qui expire en 2012.

Prenant le contre-pied de l'administration précédente de George W. Bush, le président Barack Obama a fait de la loi sur le climat l'une de ses grandes priorités législatives.

Source : RTBF

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Je viens de lire un article dans la presse péruvienne qui parle de la disparition progressive du glacier Huaytapallana, près de Huancayo (centre). Sa superficie s'est réduite de 50% en 20 ans. D'une manière générale, il y a eu une diminution de la pluviosité dans la région. Si vous combinez les 2 phénomènes, je vous laisse imaginer le problème de pénuries d'eau dans la région à l'horizon 2030.

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Des milliers de manifestants pour la Journée pour le Climat

Des milliers de manifestants se sont réunis de Sydney à Stockholm en passant par Paris, Londres, Berlin ou Madrid, pour mobiliser l'opinion publique mondiale sur le problème du réchauffement climatique 5 semaines avant la conférence de Copenhague.

Le coup d'envoi de cette Journée mondiale pour le Climat a été donné à Sydney où plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés au port et sur la célèbre plage de Bondi.

Ils ont déployé des banderoles avec le nombre "350", allusion à la concentration de CO2 dans l'atmosphère: 350 parties par million (ppm), un chiffre à ne pas dépasser pour éviter un réchauffement climatique ingérable, disent certains scientifiques.

Des protestataires ont formé sur les marches de l'Opéra de Sydney le même nombre 350 avec leurs corps, tandis que les cloches de la cathédrale ont retenti 350 fois.

A Londres plus de 600 personnes se sont rassemblées aux abord de la Tamise pour former le chiffre 5. Une photo aérienne de ce rassemblement sera ajoutée aux autres rassemblements qui ont formé ailleurs dans le monde les chiffres '3" et "O" afin d'écrire le nombre 350, a indiqué à l'AFP une porte-parole de l'organisation "Campaign against Climate change".

A New York, un rassemblement était prévu à Times Square vers 20H00 GMT.

A Paris, les manifestants --quelque deux cents personnes-- ont choisi un autre symbole: ils ont fait sonner leurs téléphones portables et de gros réveils à 12H18 précises, pour faire référence au jour de clôture de la conférence sur le climat prévue à Copenhague du 7 au 18 décembre.

Les manifestants ont voulu ainsi "réveiller" les politiques, le président Nicolas Sarkozy en tête, afin qu'ils se préparent à cette conférence qui sera précédée d'un sommet européen les 29 et 30 octobre. "Nicolas, réveille-toi", pouvait-on lire sur une banderole.

La conférence de Copenhague, considérée comme cruciale, est destinée à établir un nouveau traité international sur le climat pour remplacer le Protocole de Kyoto qui expire en 2012.

Le Premier ministre danois pessimiste quant aux chances d'aboutir à un accord à Copenhague

Mais le Premier ministre danois Lars Loekke Rasmussen a déjà prévenu que les discussions sur le climat n'allaient pas assez vite pour qu'un accord international puisse être conclu à Copenhague.

A Stockholm, une trentaine de manifestants se sont rassemblés dans le centre-ville sous une banderole exigeant "des discussions sur le climat tout de suite".

A Berlin, quelque 350 manifestants, portant des masques à l'effigie de la chancelière allemande Angela Merkel, se sont réunis devant la Porte de Brandebourg, dans le centre de la capitale. "Le temps du 'peut-être bien qu'oui, peut-être bien qu'non' est passé", affirmait une banderole.

Dans la ville serbe de Novi Sad, 350 personnes ont également écrit le chiffre 350 de leurs silhouettes. A Prague, une trentaine de militants écologiques ont distribué 350 ballons noirs avec l'inscription "CO2" sur la place de la vieille ville.

Des militants pour la défense de l'environnement ont manifesté à Istanbul sur un bateau, déployant une banderole sur laquelle on pouvait lire : "Le Soleil, le vent, maintenant". De manière symbolique ils avaient placé leur embarcation sous le principal pont qui enjambe le Bosphore et relie l'Europe à l'Asie. "Emplois, climat, justice", réclamait une autre banderole.

Sur la Puerta del Sol, au centre de Madrid, des membres de la Plateforme contre le changement climatique, composée d'organisations sociales, écologistes et syndicales, ont mis en scène une parodie intitulée les "conséquences catastrophiques du changement climatique sur la planète".

Source RTBF et AFP

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L'embâcle continue à se produire fort lentement.

L'embâcle arctique à pris un sérieux retard. Nous sommes déjà loin en dessous de 2008 à pareil époque et on se rapproche de 2007.

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2008VS2009

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On est au même niveau que 2007, à 200 000 kilomètres carrées près. J'espère que la banquise va se secouer, parce que sinon, ce sera encore joyeux l'été prochain. La hausse semble s'être récemment un peu accélérée quand même, ce qui ne serait pas si mal.

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Climat: menaces et appels du pied fusent avant Copenhague

Le changement climatique offre une "chance en or" à l'Union européenne et aux Etats-Unis de travailler ensemble pour économiser l'énergie et réduire les émissions de CO2, a affirmé une ministre suédoise à Washington. Mais les Etats-Unis se défaussent.

A une encablure du rendez-vous de Copenhague, qui devra décider des efforts futurs de protection du climat, les prises de position, les appels du pied et les menaces se multiplient, rendant très difficiles les prédictions quant aux résultats de ce sommet mondial. Le manque d'engagements concrets et sans équivoque affaiblit en tout cas les chances d'un succès majeur dans la lutte contre l'effet de serre et le réchauffement climatique.

Les Etats-Unis menacent de ne pas tenir leurs promesses

D'un côté, la menace. Elle provient des Etats-Unis, désormais bien éloignés des positions ambitieuses affichées par Barack Obama lors de sa campagne électorale et dans les premières semaines de son mandat. La cible: la Chine, que les Etats-Unis accusent de ne rien vouloir entreprendre. Mais par-delà, tous les grands pays émergents, super-pollueurs en puissance, sont visés par les Américains qui veulent les voir s'engager sérieusement et concrètement à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

"Le point sur lequel nous ne sommes pas d'accord est le fait que nous devions nous engager à mettre en oeuvre ce que nous avons promis de faire tandis que de grands pays en développement ne prennent aucun engagement", a dit l'émissaire américain pour le climat, Todd Stern devant la commission des Affaires étrangères de la chambre des représentants.

"Nous ne pouvons pas résoudre le problème (du réchauffement) sans des mesures majeures des pays aux économies émergentes et aucun pays ne tient entre ses mains le destin de la planète autant que la Chine", a insisté l'émissaire américain.

La Chine est devenue le premier émetteur de dioxyde de carbone (CO2) de la planète, surpassant désormais les Etats-Unis qui restent toutefois le numéro un par habitant. A eux deux, ils totalisent 40% des rejets de CO2 dans l'atmosphère.

L'Europe propose un "marché commun" de l'énergie

L'Europe, de son côté, préfère lancer des appels du pied au partenaire américain. "Nous savons que le changement climatique est une grave menace et il peut aussi être une chance en or pour les Européens et les Américains" de coopérer dans le secteur de l'énergie, a ainsi dit à Washington la ministre suédoise de l'Energie Maud Olofsson, dont le pays préside actuellement l'Union européenne.

"Il y a de nombreux domaines dans lesquels nous pouvons travailler mais je pense que nous devons nous concentrer sur certains d'entre eux", a relevé la ministre après avoir présidé le premier conseil énergétique Union européenne-Etats-Unis en présence du secrétaire américain à l'Energie Steven Chu.

"Nous devons développer de nouvelles technologies et d'autres sources d'énergies renouvelables. Nous devons aussi créer un meilleur marché (énergétique), un marché plus compétitif", a-t-elle ajouté, insistant sur l'importance de la collaboration entre les entreprises américaines et européennes.

Maud Olofsson a affirmé que la mise en oeuvre de politiques énergétiques communes pouvait être un "outil" important pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de carbone, sujet de la grande conférence de Copenhague prévue le mois prochain.

Source : RTBF / (T. Nagant avec Belga)

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Décidément, ces politiciens sont vraiment des ... :( Et surtout les Américains qui n'acceptent pas de se faire concurrencer dans l'économie mondiale. Pffff

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Voici un livre blanc sur les "nouveaux scénarios climatiques français", histoire de passer une bonne soiree au coin du feu, a defaut du chat, le MAC (ou le PC) sur les genoux.

http://www.cnrm.meteo.fr/LIVRE_BLANC_ESCRIME.pdf

NB : Si le lien a deja ete donne, et bien ça ne fait pas de tord de le mentionner a nouveau :whistling:

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C'est un record d'un jour, qui n'a théoriquement pas de grande valeur, mais la courbe de l'extent de 2009 vient de couper la courbe de l'extent de 2007 d'après le NSIDC. L'AMSR-E laisse 2007 devant, mais de rien du tout.

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Faut quand même préciser que l'englacement de 2007 a été très rapide et que l'englacement de 2009 est encore plus rapide que la moyenne !

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Malheureusement, on part de tellement bas que même une embâcle rapide ne suffit. De plus, avoir une embâcle plus rapide que la moyenne est logique. La surface couverte de banquise en Automne Hiver est relativement "incompressible" pour le moment. Cependant, le rythme d'embâcle de 2009 est bien inférieur à celui de 2007, ce qui explique la situation actuelle. Le prochain "objectif" étant de ne pas griller 2006. Ce qui m'inquiète quand même dans l'histoire, c'est la monté en puissance d'El Nino, qui provoquera inévitablement un réchauffement global. Il pourrait maintenir ce rythme d'embâcle insuffisamment rapide. On n'arrive toujours pas depuis 2007 à retrouver un équilibre pour la banquise.

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Climat: l'Amérique du charbon ne veut pas mourir

Le charbon va faire figure d'accusé à la conférence de Copenhague sur le climat, mais au coeur de l'Amérique houillère, peu de gens semblent prêts à se laisser sacrifier au nom de la lutte contre le réchauffement climatique.

Dans les collines de Virginie occidentale, le charbon est autant un mode de vie que la musique bluegrass (un croisement de blues et de country), les camionnettes pick-up et les centaines d'églises en bois qui jalonnent la campagne.

Les montagnes ont été arasées pour extraire la houille que des trains sans fin transportent lentement d'un bout à l'autre de l'Etat. Depuis des lustres, les habitants de la vallée de l'Ohio, au sud-ouest de l'Etat, ont gagné leur vie en exploitant le charbon sur lequel repose l'économie locale.

Les négociateurs chargés de trouver en décembre un prolongement au protocole de Kyoto seront loin, à Copenhague, de cette région. Elle est pourtant directement concernée.

Responsable de 41% des émissions de dioxyde de carbone (CO2) dans le monde, le charbon est bon marché, abondant et de plus en plus utilisé. Mais c'est aussi, et de loin, l'énergie la plus polluante: selon l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), le charbon produit 50% de CO2 de plus que le pétrole et deux fois plus que le gaz naturel utilisé dans la production d'électricité.

Les émissions de CO2 issues du charbon devraient tripler dans le monde entre 2000 et 2050, selon une étude publiée en 2007 par le Massachusetts Institute of Technology. La Chine, à elle seule, devrait construire durant cette période l'équivalent de deux centrales à charbon par semaine.

Mais aux Etats-Unis, où la moitié de la production d'électricité provient du charbon, la consommation progresse aussi et avec elle, les obstacles politiques à un accord sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Les représentants de la Virginie occidentale à Washington ne veulent pas entendre parler de taxe sur les émissions polluantes ou d'un système d'échange de quotas d'émissions qui seraient institués pour atténuer le réchauffement planétaire.

Les pompes à carbone: une technologie pas encore crédible

Néanmoins, les négociateurs de Copenhague peuvent s'appuyer sur une fraction de l'industrie de Virginie occidentale, qui voit dans la protection de l'environnement la possibilité d'engranger des milliards.

Sur les rives de l'Ohio, le groupe français Alstom a dévoilé la plus grande installation mondiale de captage de dioxyde de carbone. Cette installation, entrée en service le 1er septembre, est conçue pour capturer 100 000 tonnes de CO2 par an à la sortie des cheminées d'une centrale au charbon, puis pour l'enterrer sous forme liquide à 2100 mètres sous terre.

L'installation ne récupère qu'une partie des émissions de la centrale, mais elle constitue un premier pas avant une éventuelle commercialisation à grande échelle.

Mais tout le monde n'est pas convaincu. Les écologistes accusent cette technologie de nuire à la santé des habitants en enfouissant le CO2.

"Tout ce que ça fait, c'est de maintenir le charbon artificiellement en vie", observe une habitante de la ville de Racine, sous l'ombre d'une énorme tour de refroidissement.

Et les scientifiques ont des doutes sur les solutions que peut apporter cette technologie très coûteuse. Selon le MIT, il faudrait enfouir au moins 5 millions de tonnes de CO2 liquide pendant cinq ans pour s'assurer qu'il n'y a pas de fuite dans le sous-sol. Le projet d'Alstom ne représente qu'un dixième de ce volume.

Source : AFP

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Octobre 2009 est officiellement le deuxième mois d'octobre dans les tréfonds du classement. Et actuellement, en données quotidiennes, 2009 est en dessous de 2007, et l'embâcle bloque à nouveau. Si 2006 ne tient pas, on est quand même mal.

http://nsidc.org/arcticseaicenews/2009/110309.html

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Sauf que personne ne dit que la banquise Antarctique fond. D'ailleurs, ce n'est pas nouveau, et c'est plutôt l'Antarctique lui même, et surtout la banquise Arctique et le Groenland qui fondent.

Le problème, cette pause du RC intervient au moment où il faudrait prendre des décisions importantes.

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Sauf que personne ne dit que la banquise Antarctique fond. D'ailleurs, ce n'est pas nouveau, et c'est plutôt l'Antarctique lui même, et surtout la banquise Arctique et le Groenland qui fondent.

Le problème, cette pause du RC intervient au moment où il faudrait prendre des décisions importantes.

En ce qui concerne, la banquise arctique, ca n'a pas l'air de s'arranger...

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Tient, et puis, ce sont peut être des stats à la c*n, mais depuis janvier 2008, soit pratiquement deux 2 ans : + 0,01°/mois, en prenant l'hypothèse réaliste de Octobre à +0,65°. Activité solaire depuis janvier 2008 : -0,055 sunspot/ mois.

Allez trouver une corrélation là dedans. :whistling:

On est encore mieux corrélé à la PDO, à 0,37 environ, qui grimpe de 0,057°/ mois

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Et l'énorme iceberg du Pacifique Sud, c'est aussi une statistique à la c*n, sans doute ...

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Ce que je voulait dire avec mon à la c*n =, c'était que c'était des stats de bases se justifiant mieux mathématiquement que physiquement dû à la période d'étude courte. Mais si on étend un peu, on ne trouve aucune corrélation. J'espère que je ne suis pas fais comprendre autrement. :whistling:

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Et ben là, alors là :blink:

Pour une fois qu'il ne dit pas de bêtises, cela change :w00t:

En tous cas, je m'incline devant le courage qu'il a eu de reconnaître ses erreurs. :)

Bon, il faut bien trouver quelque chose à dire sinon, on va s'ennuyait. Je trouve quand même qu'il doit se méfier de se reporter fortement sur le CH4 et les suies.

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Climat: Lula et N. Sarkozy veulent une position commune

Le président brésilien Lula da Silva rencontre samedi à Paris son homologue français Nicolas Sarkozy pour tenter de dégager une position commune sur le changement climatique, trois semaines avant le sommet de Copenhague.

Cette escale parisienne a été ajoutée au dernier moment au déplacement prévu du président brésilien à Rome où il doit participer à un sommet sur la sécurité alimentaire dans le monde. Là aussi, une initiative franco-brésilienne pour une régulation mondiale des marchés agricoles est attendue.

MM. Lula et Sarkozy devaient également discuter de "la coopération franco-brésilienne et (de) l'approfondissement du partenariat stratégique entre nos deux pays", a indiqué la présidence française.

Ces discussions devaient être une nouvelle occasion pour M. Sarkozy de pousser l'avion de combat français Rafale, construit par Dassault, en compétition pour équiper les forces aériennes brésiliennes avec l'américain Boeing et le suédois Saab.

L'entretien, qui se tiendra au palais de l'Elysée, sera l'occasion "de discuter pour annoncer des points communs à Copenhague", a déclaré à la presse Marco Aurelio Garcia, conseiller diplomatique de Lula. "Nous sommes préoccupés par le risque que Copenhague soit un fiasco, un échec", a-t-il ajouté, alors que les négociations en vue d'un accord mondial contre le réchauffement climatique piétinent.

Lors de sa visite au Brésil le 7 septembre, Nicolas Sarkozy avait annoncé que les deux pays défendraient une position commune lors du sommet mondial sur la lutte contre le réchauffement climatique qui se tiendra du 7 au 18 décembre dans la capitale danoise. Le Brésil "se propose d'être un pont" entre pays industrialisés et en développement, avait alors déclaré à l'AFP le ministre de l'Environnement Carlos Minc.

Un exercice difficile, alors que le Brésil, comme les autres grands pays émergents, demande aux pays industrialisés - pollueurs historiques - de mettre la main à la poche pour aider les plus pauvres à faire face aux effets du réchauffement climatique.

L'Union européenne a fixé à 100 milliards d'euros par an les besoins en financements pour aider les pays plus pauvres entre 2013 et 2020. Mais jusqu'à présent, aucun pays riche n'a mis d'argent sur la table.

Le Brésil est le 4ème émetteur mondial de gaz à effet de serre, principalement en raison de la déforestation de l'Amazonie, la plus grande forêt tropicale du monde.

Le gouvernement brésilien devait annoncer vendredi ses propositions pour Copenhague en réitérant sa promesse de réduire de 80% le déboisement de l'Amazonie d'ici à 2020.

Dans le cadre de la préparation de Copenhague, le Brésil organise le 26 novembre à Manaus, au coeur de l'Amazonie, un sommet des pays amazoniens pour discuter d'une position commune.

Selon Lula, la France doit "assumer son côté sud-américain" et prendre part aux discussions puisqu'elle possède un territoire d'outre-mer, la Guyane, qui fait partie de la région amazonienne.

Après Paris, Lula se rendra à Rome pour réclamer, devant l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO), un plus grand engagement des pays riches contre la faim dans le monde, en mettant notamment fin aux subventions agricoles.

Source : AFP

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Ca fait longtemps qu'Al Gore n'est plus une référence pour moi ... Je préfère des gens comme Van Ypersele ou Lonnie Thompson, le type qui vient sonder les glaciers du Pérou et qui démontrent par A+B toute l'histoire. Encore des statistiques à la c*n ... Mais bon, ce sont de pauvres Indigènes, ca n'a pas bcp d'importance ... :whistling:

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