FredTDF 0 Posté(e) 14 septembre 2006 Pour les mois de juin et juillet, l'Institut scientifique de Santé publique (ISP) dispose de 98,8 pc des données de mortalité communiquées par les communes belges au Registre national. AP Environ 940 personnes, principalement parmi les plus de 65 ans et surtout celles de 85 ans et plus, sont décédées prématurément des suites des pics élevés de températures et d'ozone enregistrés lors de la période de canicule en 2006, selon un premier bilan de la surmortalité durant la vague de chaleur communiqué mardi par le cabinet du ministre de la Santé publique, Rudy Demotte. Pour les mois de juin et juillet, l'Institut scientifique de Santé publique (ISP) dispose de 98,8 pc des données de mortalité communiquées par les communes belges au Registre national. Ces données sont examinées sur base des variations de températures, des concentrations d'ozone et du nombre moyen de décès attendus. Le nombre définitif de décès prématurés tournera "probablement aux alentours de 940, lorsque toutes les données en provenance des communes auront été enregistrées, notamment les décès 'post-canicule" enregistrés en août", a indiqué le cabinet de la Santé publique. Alors qu'un nombre de décès inférieur à la moyenne attendue a été relevé en juin, la mortalité a excédé cette moyenne au cours du pic de chaleur qui a frappé la Belgique du 12 au 18 juin (+144 décès prématurés). En juillet également, le lien entre température, pics d'ozone et mortalité est clair, selon le cabinet. Trois vagues de chaleur (du 2 au 5, du 17 au 22 et du 24 au 28 juillet) ont donné lieu, pour tout le mois, à 739 décès supplémentaires, dont 501 (ou 68 pc) concernaient des personnes âgées de 85 ans et plus. http://www.lalibre.be/ Ainsi la chaleur peut être beaucoup plus dramatique que le froid Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ongbak 0 Posté(e) 14 septembre 2006 Encore de la pure désinformation de faire croire aux gens que la chaleur tue plus que le froid.Vous oubliez les personnes agées qui meurent d'une grippe, pneumonie après l'hiver...sans compter le nombre de malades qui restent à domicile et coûtent un os à la collectivité...... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Bréhat 0 Posté(e) 14 septembre 2006 Je ne sais pas qui est le pire de la peste ou le choléra mais en attendant contre la grippe et la pneumonie il y a des vaccins préventifs, si même ce n'est pas efficace à 100% ça contribue quand même de façon significative à éviter en partie ces maladies, le vaccin contre la grippe sera au passage mis sur le marché seulement fin octobre cette année car il a été difficile à mettre au point (ma maman est déjà sur liste d'attente à la pharmacie), par contre en ce qui concerne les problèmes liés à l'ozone je peux en parler puisque j'ai une forte intolérance, ce n'est pas évident, même en restant à l'intérieur le problème se pose Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Océanic 0 Posté(e) 14 septembre 2006 Trois vagues de chaleur (du 2 au 5, du 17 au 22 et du 24 au 28 juillet) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 14 septembre 2006 Trois vagues de chaleur (du 2 au 5, du 17 au 22 et du 24 au 28 juillet) Je suis aussi dubitatif que toi, Marco revoyons les chiffres de juin: "Alors qu'un nombre de décès inférieur à la moyenne attendue a été relevé en juin, la mortalité a excédé cette moyenne au cours du pic de chaleur qui a frappé la Belgique du 12 au 18 juin (+144 décès prématurés). " Sic et resic, du 12 au 18, oui, qq jours chauds mais pas tous, était-ce un pic de chaleur dont son influence aurait sur ce court terme augmenté le taux de morbidité amenant à la mortalité??? La leçon de 2004 a quand même été comprise. Continuons: "En juillet également, le lien entre température, pics d'ozone et mortalité est clair, selon le cabinet. Trois vagues de chaleur (du 2 au 5, du 17 au 22 et du 24 au 28 juillet) ont donné lieu, pour tout le mois, à 739 décès supplémentaires, dont 501 (ou 68 pc) concernaient des personnes âgées de 85 ans et plus. " Conclure une étude aussi simpliste en affirmant que pics d'ozone, t° et mortalité "est clair" comme lien, c'est un peu court. En retirant une cinquantaine de personnes âgées décédées de maladie nosocomiales à l'hôpital, encore qq pics et il n'y aura plus de personnes de +85 ans en vie Quand aux vagues de chaleur citées Je n'ai pas trouvé cet article de la Libre, mais si le ministre accepte de tels chiffres... Comme dit Bréhat, l'hiver approche, mais pour eux, on ne meurt pas des virus hivernaux ni de froids. On peut faire dire aux chiffres ce que l'on veut, il faut voir les motivations qu'il y a derrière. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
MLVH 0 Posté(e) 14 septembre 2006 Les journalistes auraient dû lire ce post sur MB ... http://www.meteobelgium.be/forums/index.ph...wtopic=6533&hl= Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
dada 0 Posté(e) 15 septembre 2006 Pour les mois de juin et juillet, l'Institut scientifique de Santé publique (ISP) dispose de 98,8 pc des données de mortalité communiquées par les communes belges au Registre national. AP Environ 940 personnes, principalement parmi les plus de 65 ans et surtout celles de 85 ans et plus, sont décédées prématurément des suites des pics élevés de températures et d'ozone enregistrés lors de la période de canicule en 2006, selon un premier bilan de la surmortalité durant la vague de chaleur communiqué mardi par le cabinet du ministre de la Santé publique, Rudy Demotte. Pour les mois de juin et juillet, l'Institut scientifique de Santé publique (ISP) dispose de 98,8 pc des données de mortalité communiquées par les communes belges au Registre national. Ces données sont examinées sur base des variations de températures, des concentrations d'ozone et du nombre moyen de décès attendus. Le nombre définitif de décès prématurés tournera "probablement aux alentours de 940, lorsque toutes les données en provenance des communes auront été enregistrées, notamment les décès 'post-canicule" enregistrés en août", a indiqué le cabinet de la Santé publique. Alors qu'un nombre de décès inférieur à la moyenne attendue a été relevé en juin, la mortalité a excédé cette moyenne au cours du pic de chaleur qui a frappé la Belgique du 12 au 18 juin (+144 décès prématurés). En juillet également, le lien entre température, pics d'ozone et mortalité est clair, selon le cabinet. Trois vagues de chaleur (du 2 au 5, du 17 au 22 et du 24 au 28 juillet) ont donné lieu, pour tout le mois, à 739 décès supplémentaires, dont 501 (ou 68 pc) concernaient des personnes âgées de 85 ans et plus. http://www.lalibre.be/ Ainsi la chaleur peut être beaucoup plus dramatique que le froid J'espére que ces commentaires viennent du journaliste et pas de l'institut lui-méme car parler de 3 vagues de chaleur alors qu'il n'y en a eu que 2, ca ne fait quand méme pas trés scientifique... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 15 septembre 2006 Pour répondre avec plus de raisonnement et de modération à cet article, voir celui-ci, plus complet sur les causes réelles de sur-mortalités: ici http://geoconfluences.ens-lsh.fr/doc/breves/2004/6.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites