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cruze

Le pic de production a peut être été atteint!

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Nous, on se chauffe au poele à mazout.

Dans la pièce ou se trouve le poele, il fait 25-26°C

Sinon, dans toutes les autres pieces, 18-19°C

Faut dire que ma maison est vieille.... whistling.gif

Avec les prix, on va faire beaucoup plus attention smile.gif

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Je me suis trompé wink.gifwink.gif J'ai demandé à mon popo y m'a dit que chez nous c'était le chauffage mazout, c'est chez mes grands-parents le chaffage par géothermie... biggrin.gif déso de l'erreur wink.gifwink.gif Il faut dire que maintenant avec toutes les sortes de chauffage... biggrin.gif

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Ce n'est pas trés réjouissant mais sans être un pessimiste ou un Mr Catastrophe nous somme peut être bien au maximum de la production de pétrole voici plusieurs raison:

-Cela fais depuis 2005 que la production de pétrole stagne

-La demande a encore augmenter en 2 ans

-La production de pétrole du Mexique, d’Arabie Saoudite, et du Koweït est concentrée dans

une poignée de champs dits ‘super géants’. Au total, 10 champs de pétrole assurent de 60 à

90% de la production de ces trois pays, et produisent l’équivalent de 30% des exportations

mondiales de pétrole.

Or, en 2005 et 2006, les Koweïtiens, les Saoudiens, et les Mexicains

annoncèrent que leurs champs ‘super géants’ entraient en déclin. En Arabie Saoudite, les

capacités existantes de production déclineraient de 5 à 12% par an. En d’autres termes,

chaque année, 500.000 à 1 million de barils/jour de nouvelles capacités doivent être mises en

production juste pour maintenir la production à niveau. Ce fut donc une révélation incroyable

que d’apprendre que les champs ‘super géants’ saoudiens, qui fournissent fidèlement depuis

40 à 60 ans plus de 90% de la production du pays et sont supposés contenir plus de la moitié

des réserves du pays, sont aujourd’hui en déclin, et que ce déclin est rapide (5 à 12% par an).

Il n’est donc pas certain que l’Arabie Saoudite puisse maintenir longtemps sa production au

niveau actuel, et encore moins l’augmenter. Le Mexique a 60% de sa production concentrée

en un seul champ de pétrole qui a atteint son pic en 2004, est aujourd’hui en déclin précipité,

et va voir sa production chuter de 35 à 75% en trois ans à peine. L’exemple mexicain n’est

pas de nature à rassurer quant à l’évolution de la production des champs saoudiens, qui sont

exploités par des techniques similaires et pourraient connaître un même déclin brutal et

précipité. De telles chutes de production seraient difficiles à combler car il n’existe pas

d’autres champs de taille similaire pour prendre la relève. Le dernier ayant été découvert en

1968, il est peu probable qu’on en découvre encore. Les découvertes de champs géants de

plus de 500 millions de barils sont également sur le déclin, avec pour la première fois en 2003

aucune découverte de ce type. Et bien que 500 millions de barils constituent un volume

considérable, cela ne représente que 6 jours de consommation à l’échelle de la planète. En

réalité, les découvertes de pétrole ne sont tout simplement plus au rendez-vous. Les

découvertes ont atteint leur maximum dans les années 60 et se font depuis de plus en plus

rares. Depuis le milieu des années 80, on consomme chaque année plus de pétrole qu’on en

découvre et cet écart ne cesse de se creuser. En 2003, les 10 premiers groupes pétroliers

engagèrent 8 milliards de dollars en recherches, mais celles-ci furent décevantes puisqu’ils ont

découvert l’équivalent de moins de 4 milliards de dollars en pétrole et gaz.

-Le prix ne cesse d'augmenter depuis l'été mais en ce mois d'octobre il c'est accélérée....

-Depuis juin 2007 une perte de 8% de stock américain!

L'économie de tout les pays riche sera sévérement touché:

-Le plastique va augmenter

-Les aliments vont augmenter il faut des camion pour transporté

-L'économie va être sévérement toucher

- Le PIB de chaque année va trés mal progréssé...

Source:

http://iw-linux.over-blog.com/

http://mail.materianova.be/pub/Pic_du_Petr...evrier_2007.pdf

L'OPEP traverse une crise....

Hier le brail encore flambé a 92,22$ a new york et 89,30$ a londre huh.gif

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Nouveau record 93,80$ pour le baril a New York! huh.gif et aussi a Londre a 90,50$

laugh.gif

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Criteres Meteorologiques & Speculation

Matières premières: prix du pétrole record, vulnérables à une correction

Les prix du brut sont passés d’un record à l’autre pendant les semaines écoulées. Outre le repli du dollar américain, plusieurs facteurs expliquent la montée du cours du brut.

Septembre est traditionnellement le mois de tous les risques pour la saison des ouragans dans le Golfe du Mexique et la région n’a pas été épargnée par les grosses tempêtes. L’expansion soutenue de l’économie mondiale –et plus particulièrement de l’économie chinoise – stimule la demande mondiale en or noir. Les stocks de pétrole dans les pays de l’OCDE ont diminué en août et en septembre.

Mais ce sont surtout les spéculateurs qui sont responsables de l’explosion récente des prix. Ils utilisent chaque incertitude géopolitique comme prétexte pour pousser le prix du brut à la hausse. Il y a les tensions à propos du programme nucléaire iranien et les menaces d’invasion de l’Iraq septentrional par la Turquie.

Cependant, les fondamentaux du marché pétrolier ne sont pas mauvais. L’ensemble des stocks de pétrole américains (stocks stratégiques et stocks commerciaux cumulés) était à mi-octobre à peine moins élevée qu’il y a un an, de telle sorte que la crainte d’une pénurie est exagérée.

En outre, l’offre en pétrole brut continue d’augmenter. A compter du 1er novembre, l'OPEP relèvera sa production journalière de quelque cinq cent mille barils et elle dispose encore de capacités de réserve suffisantes pour augmenter

sa production en cas de nécessité. L’OPEP investira massivement, au cours des prochaines années, dans l’extension de ses capacités de production.

Il est impossible de prévoir où s’arrêtera l’envolée du prix du brut (le seuil de 100 dollars s’approche rapidement).

Mais au plus grande la hausse au plus grande devient la probabilité d’une correction à la baisse. En outre, la saison des ouragans dans le Golfe de Mexique touche progressivement à sa fin et entraînera dans son sillage la disparition d’un important facteur de risque.

Si l’hiver est doux dans l’hémisphère septentrional, les marchés accorderont moins d’attention aux faibles stocks américains du mazout; une reproduction de l’évolution des prix observée l’année passée (avec une chute des prix du pétrole en janvier) n’est pas à exclure.

La faible croissance de l’économie américaine et la conjoncture moins dynamique en Europe limiteront l’augmentation de la demande mondiale en pétrole pour

2008. C’est la raison pour laquelle nous nous attendons, l’année prochaine, à une fluctuation des prix du pétrole à un niveau inférieur aux records récemment atteints. A moins que des surprises soient observées au niveau politique (par exemple, conflit iranien).

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Le pétrole continue de grimper à New York : quasi 96 $, 95,93$ si on veut être précis. J'espère que le monsieur ( ou la madame ) qui a écrit cet article ne s'est pas trompé(e).

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