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seba3999

Votre village !

Messages recommandés

Bonsoir,.

Je ne sais pas si c'est un bon endroit pour placer ce nouveau sujet. :unsure::whistling:

Je trouve qu'il serait bien sympa de connaître l'histoire, la description de votre ville/village ou même région... :)

Toutes les régions sont si différentes.... :w00t::whistling:

A vos claviers ! :

Je commence avec la commune de Floreffe (Altitude min : 82 m. Altitude max : 210 m)

Si le contexte historique a favorisé la naissance et le développement de Floreffe, le milieu géographique en a conditionné l'éclosion : Floreffe est fille de Sambre et de la Haute-Marlagne… Le territoire s'inscrit à croupetons sur la rivière entre la Hesbaye humide naissante et les contreforts mourants de l'Ardenne condrusienne, de la Marlagne plus précisément. Contraste dans le paysage. Contraintes et virtualités autres pour l'homme dans son habitat, ses activités et ses relations. Terre de transition aussi entre la périphérie de l'agglomération namuroise et la Basse-Sambre plus industrieuse. Tout un passé a préparé ce présent.

Floreffe se trouve à proximité immédiate de la convergence de deux vallées: la Sambre et le Wéry. La rivière s'imposa comme l'axe actif du domaine et de la ville. Celle-ci naquit cependant dans la vallée secondaire: les possibilités et les conditions d'installation étaient plus favorables (véritable cuvette ceinturée de collines et moindre risque d'inondations).

Le site était d'autant plus électif qu'il permettait aux populations locales de satisfaire aisément ses besoins vitaux : se nourrir, s'abriter et communiquer. Il jouxtait deux zones complémentaires. Au nord, une zone à vocation agricole. La Sambre étalait sa plaine alluviale pour les herbages et les pâturages. Au sud, une région à vocation forestière. Le massif boisé de la Marlagne offrait de multiples avantages : refuge, nourriture pour les hommes et pour le bétail, chauffage, matériaux pour la construction, l'artisanat, etc…

Les témoignages les plus anciens du passé humain remontent à la Préhistoire.

Dès cette époque, l'homme occupait le site du massif rocheux du Préat, en bordure du ruisseau. Ensuite, ce fut la descente dans la vallée, non loin du confluent de ce ruisseau et de la Sambre, l'érection de pierres et la sacralisation des endroits élevés en l'honneur des morts ou du culte planétaire. Les Celtes donnèrent un nom à notre localité et à divers autres endroits des environs. Les Gaulois se retiraient dans le camp retranché du Sandrau (le vieil oppidum), en plein cœur de la Marlagne primitive, la forêt sacrée. Ce massif boisé avec tous les avantages qu'il offrait et la présence de la Sambre firent de Floreffe un site hautement électif. Le passage des armées romaines et des Francs est attesté par des témoignages archéologiques et toponymiques. Dès l'époque mérovingienne, la villa de Floreffe était le centre d'une vaste exploitation agricole appartenant au domaine de la famille des Pépins. A l'époque carolingienne, cette villa cessa d'appartenir au domaine royal pour devenir la propriété d'un seigneur indépendant.

Entre 1102 et 1121, le comte de Namur , Godefroid, achetait cet alleu pour le réunir à son comté. A partir de cet instant, l'histoire de notre localité fut intimement liée à celle du comté de Namur. Par la même occasion, ce souverain accordait aux Floreffois les premières libertés connues dans ses états: Floreffe devint ville et franchise. En 1121, le même comte donnait une partie de ses droits et de ses biens de Floreffe au futur saint Norbert pour y fonder un monastère : Floreffe devint un centre religieux. Au XIle et au XlIIe siècles, Floreffe était un centre administratif et économique dans le comté de Namur: une ville avec ses artisans, ses marchands, sa halle et le chef- lieu d'une mairie relativement importante.

A partir du milieu du X Ile siècle, sous le comte Henri l'Aveugle, Floreffe devint un centre stratégique dans l'organisation défensive du comté : une place forte avec ses murailles, ses portes, ses tours, ce qui lui valut le triste privilège de subir divers sièges. Ce rôle militaire fut encore renforcé à la fin du XlIIe par l’institution d'une compagnie d'arbalétriers dotée de privilèges et d'exemptions. A l'initiative des Prémontrés, Floreffe devint une terre d'accueil, dès le début du XIIIe siècle: le gîte et le couvert étaient offerts aux pauvres de passage (l'hospitium).

A cette époque, le principal seigneur de Floreffe (foncier et hautain) restait le comte de Namur. A ces titres, il y exerçait des droits et y percevait des revenus. Grâce à l'abbaye, le culte de la Vierge se répandit à Floreffe : en 1437, une confrérie en l'honneur de Notre-Dame était instituée. En ce XVe siècle, le comté de Namur relevait du duc de Bourgogne. Celui-ci leva dans ses terres des impôts spéciaux appelés « aides ». Les différentes recettes fournissent divers renseignements : étendue de la mairie de Floreffe et les zones des répartitions de la population locale. Pendant ce temps-là, l'abbaye et la ville se livraient une longue et impitoyable partie d'échecs pour les possessions, les droits et les usages dans les bois de Floreffe. En 1777, la ville fut mise échec et mat.

En bordure de Sambre, l'ère industrielle marque de son empreinte le paysage par quatre faits majeurs: l'inauguration de la ligne de chemin de fer Liège-Mons en 1843; l'installation à la rue Riverre d'une manufacture de produits chimiques à laquelle succède rapidement la glacerie de Floreffe ; l'exploitation de la houille sur la rive gauche, au charbonnage Sainte-Barbe à Floriffoux ; l'extraction plus intensive de la pierre des massifs calcareux de Floreffe et de Franière d'abord pour la confection de la chaux, ensuite pour friter la dolomie à Floreffe. Au déclin de la glacerie de Floreffe pendant l'entre-guerre, coïncide le développement des glaceries de Saint-Gobain à Franière. De petites industries s'épanouissent avant de péricliter : la boulonnerie de Franière et la plumerie de Floreffe. Parmi les artisans, sont à mentionner les Romedenne pour la réputation de leurs horloges de parquet.

Les années soixante marquent le début de travaux de grande infrastructure. Rectification des méandres de la Sambre et modernisation du barrage-écluse de Floriffoux ; contournement ouest de Floreffe par l'ouverture au travers des jardins de l'avenue Hanse pour relier la rue Romedenne à la rue des Déportés ; déplacement plus à l'est de la traversée du centre par la Nationale Namur-Charleroi coupant la localité en deux et isolant les quartiers peuplés du Coriat, de Saint-Roch et des Marlaires ; mise en oeuvre par le Bureau Economique de la Province de deux zonings industriels : l'un, débutant à la limite de Namur, se prolonge de part et d'autre de la rue Riverre ; l'autre à Floriffoux, où s'installent l'entreprise Materne et les bétons Remacle. Le village de Floriffoux se voit également dénaturé en étant coupé en deux par l'ouverture d'une bretelle reliant la Nationale Namur-Charleroi à l'autoroute de Wallonie.

Floreffe est un village vivant...

Brocante, salon du vin, le festival esperenzah,l'abbaye et encore plein d'autres choses!

Voilà Floreffe vue du ciel :

Point rouge : Altitude max de la Commune

Point bleu : Altitude min de la Commune

Point Blanc : ma maison (:))

MODERATEUR : Helas, Non ! Comme indique, Questions diverses c'est : Vos questions ou vos commentaires concernant d'autres aspects de la météorologie. Il faut lire ! Sujet deplace dans espace de discussion

:)

post-37-1194296590.jpg

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Ok pas de problemes blush.gif

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Bonjour,

Voici pour le mien:

Localisation:

Le village de Mélin, situé au tout début du plateau de Hesbaye brabançonne, est une petite agglomération blottie autour de son église, à cinq kilomètres à l’ouest de la petite ville médiévale de Jodoigne.

Du centre du village partent plusieurs voies, sur lesquelles se retrouvent quelques témoins de l’habitat rural, et qui rejoignent les différents hameaux de Mélin : Sart-Mélin, Gobertange et Maison du Bois. Les grands espaces de culture existant entre les hameaux et le centre du village se remplissent progressivement de nouvelles habitations, nouveau tissu urbain qui modifie la physionomie du village.

Mélin a pour lui ce charme particulier, ce cadre rustique, entouré d’une couronne de petites collines d’où se déploient d’immenses panoramas. Cette admirable ligne de crêtes, semée de points de vue remarquables, délimite tout l’horizon de Mélin.

A la limite entre la Hesbaye et le Brabant, ce village fait partie d’une zone de transition. Les openfields labourés dominent les bois et les herbages.

Histoire:

Mélin est un village au passé très riche et aux origines lointaines. Nous nous contenterons ici de remonter jusque vers l’an 800, époque à laquelle la civilisation renaît de ses cendres, suite aux invasions barbares. C’est à l’initiative d’une très vaste campagne de défrichement menée par l’abbaye d’Inde, située à St Corneille, près d’Aix-la-Chapelle, que Mélin renaît. Ce défrichement visait tout le vaste plateau de culture qui s’étend depuis l’église de Hoegaarden jusqu’aux confins de notre village, à Sart-Mélin. Notons que le vocable « sart », que nous retrouvons dans bon nombre de noms de nos villages (Rixensart, Sart Ris Bart, Lodelinsart, etc.) provient du verbe « essarter » qui signifie défricher.

Dès 953, suite au partage de la Lotharingie, le village de Mélin est intégré au comté de Louvain.

En 1219, l’abbaye d’Inde cède une partie du « Neusart » de Mélin à l’abbaye de la Ramée, qui possédait déjà un domaine à Sart-Mélin.

En 1284, un évènement déterminant pour le village se produit. Les comtes de Louvain, devenus ducs de Brabant en 1106, cèdent Mélin et toutes ses dépendances, et le droit de haute justice, à Gérard de Luxembourg, sire de Durbuy, en échange de ses droits sur le duché de Limbourg. Dès ce moment, Mélin, devenu seigneurie particulière, sera transmis d’héritage en héritage, dans plusieurs grandes familles, jusqu’à la Révolution Française.

De 1568 à 1576, Mélin subira les avatars des guerres de religion. En effet, à cette époque, le seigneur de Mélin, Thierry Bouton, adhérera à la religion réformée. L’église et la cure sont incendiées. Au siècle suivant, ce seront les guerres de Louis XIV qui décimeront le village. Enfin, le traité de la Barrière, en 1715, mettra fin à tous les troubles et nos régions tombent sous l’autorité autrichienne. C’est une période de paix, propice à la reconstruction, qui s’achèvera par la Révolution Française, en 1793.

Aux 16ème, 17ème et 18ème siècles, le village, à vocation essentiellement agricole, s’enrichit par l’exploitation de la pierre de Gobertange. Les carrières se situent dans un périmètre d’environ 2500 hectares autour du lieu-dit Gobertange, entre Mélin et St Remy Geest. Cette pierre est d’abord utilisée dans la construction des maisons et de la voirie, puis dans la restauration des bâtiments.

Voilà, je mettrai une patite vue aérienne tantôt whistling.gif

Modifié par clems104

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Mon village : Saint-Mard

Saint-Mard et Vieux-Virton ont été affranchis à la loi de Beaumont en Argonne en1258 par Arnould V de Chiny et Virton en 1270 par Louis V de Chiny.

Saint-Mard, qui n'a jamais été dissocié de Virton au cours des siècles (le Vicus romain de Virtunum à Vieux-Virton est sur le territoire de Saint-Mard), était la cité des vanniers et des cheminots, ainsi que des ouvriers métallurgistes frontaliers (Lorraine française et Luxembourg) ou d’Athus avant 1977 et des fermiers. Les habitants sont très attachés à leur village et à son folklore. Au mois d'août, la kermesse dure cinq jours pleins et est réputée pour son respect des traditions folkloriques et musicales (polkas, mazurka, quadrille,…). C’est aussi une terre d’artistes en tous genres, peintres, sculpteurs,…

A présent, le travail dans la fonction publique se tasse surtout du côté des chemins de fer et de la poste, mais il reste l’enseignement, très développé et de tous niveaux à Virton et d'un autre côté, la Cellulose des Ardennes (Burgos), il ne subsiste que quelques fermes.

Saint Mard possédais aussi 2 hôpitaux mais les vissicitudes des temps modernes les transforment régulièrement en Homes, soins palliatifs et autres joyeusetés.

Le village est bien calé entre la cuesta charmoutienne, dite cuesta des macignos, longée par le Ton. Et la cuesta bajocienne ou cuesta de l’oolithe (calcaire de Longwy) qui est la plus abrupte longée par la Vire et bénéficie lui aussi du microclimat gaumais. Plusieurs causes concourent à ce phénomène : – l’altitude : la Gaume est protégée des vents du Nord par le massif de l’Ardenne qui est de plus haute altitude – l’orientation favorable vers le Sud due aux cuestas– la composition du sous-sol, plus calcaire donc gardant plus la chaleur, – La situation à la pointe Sud de la Belgique (ensoleillement)

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Le parler Roman de Saint-Mard est le patois gaumais.

(A voir: les polissoirs, l'église romane de Vieux-Virton et le château de Laittres)

• Presbytère - C'est Marie-Elisabeth de Laittres qui fit construire le presbytère en 1735.

• Eglise - La construction de la nouvelle église, commencée en 1860, se poursuivra jusqu'en 1866.

• Château de Laittres - Anne de Custine, veuve de Evrard de Laittres, donna au château, en 1589, l'aspect qu'il conserve de nos jours.

• Le Charnier - Chapelle en pierre de taille qui se trouvait dans le vieux cimetière de Saint-Mard. Autrefois cette chapelle était un véritable ossuaire. A l'entrée de la chapelle, une plaque commémorative rappelle le souvenir de Jean-Philippe Lavallé, dernier combattant de la Révolution de 1830.

Ancienne mairie et écoles communales

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Vieille église romane (Saint Martin)

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On voit bien que les villes et villages ont un passé magnifique.....

Floreffe bénéficie aussi d'un micro climat que si joue avec la Sambre...

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Le mien: Montigny-le-Tilleul

MONTIGNY-LE-TILLEUL

Bornée par la Sambre à l'ouest et par l'Eau d'Heure à l'est, Montigny-le-Tilleul fut terre liégeoise dès le haut moyen-âge. Sous l'Ancien Régime, deux seigneureries d'inégale importance se partageaient le territoire de la localité. Rattachée du XIIIè au XVIè siècle à la Seigneurerie de Marchienne, la terre de Montigny, de loin la plus étendue, fut cédée en engagère par le prince-évêque de 1620 à 1625 à Guillaume de Celles : elle le fut à nouveau à l'abbé d'Aulne à partir de 1746. Quant à la seigneurerie de Bomerée, unie à partir du XVIIè à celle de Landelies, elle fut depuis cette époque et jusqu'à la fin du XVIIIè siècle possession des Looz-Coswarem.

Avant 1666, la seule route praticable pour se rendre de Charleroi à Mons passait par Montigny. C'est ce chemin que suivirent les troupes du Duc de Luxembourg lors de la guerre dite "de Flandre" en 1691.

La proximité de la place forte de Charleroi valut à Montigny d'être le théâtre d'affrontements militaires : lors des guerres de Louis XIV, les français occupèrent la localité.

La "rue de Gozée" qui relie Marchienne à Beaumont en traversant Montigny, a bénéficié au fil des ans de nombreux aménagements. Elle est à présent une grand-route qui enjambe allègrement la grande ceinture de Charleroi, ce R3 qui relie notre entité à toutes les voies de communication rapides qui sillonnent l'Europe entière.

Malfalise, Malfalim, Eden-Park, le Val d'Heure, les Flanolles, etc...loin des bruits de la ville, des quartiers résidentiels se sont implantés et développés avec une certaine élégance.

Au cours des vingt dernières années, des travaux d'envergure ont fortement modifié l'aspect du village. La voirie a été élargie, de belles demeures sont tombées, des bâtiments plus modernes, plus fonctionnels, les ont remplacées. La population scolaire du Centre Dr Cornet dynamise, à sa manière, les alentours de la rue Wilmet et du Foyer culturel investi dès son inauguration par une pléiade de cercles locaux. Ce grand bâtiment de facture contemporaine héberge aussi une bibliothèque communale, centre de rencontres et d'échanges, sans cesse au top niveau de l'actualité littéraire.

L'ancien château Wilmet qu'ombrage le Tilleul tutélaire contribue avec la belle église chargée de siècles, à laisser au "Centre" une rusticité de bon aloi, sereine, accueillante, génératrice d'une intense vie associative et culturelle, humainement et socialement enrichissante.

J'ai lu quelque part que l'origine très lointaine du nom de la commune vient de l'époque romaine, où un romain nommé Montiniacus habitait sur l'emplacement futur du village.

Pour ce qui est de la date de naissance, je pense que les écrits de l'abbaye de Lobees mentionne les premières habitations au 9ème ou 10 ème siècle dry.gif .

Modifié par thunderstorm

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Très intéressant comme endroit...

Une question, comme tout le monde le sait (ou presque), il y a eu beaucoup d'activités avec le charbonnage dans ta région.... Est-ce que des "citées" ou des "quartiers" sont construits sur les terrils????? unsure.gif

Une autre question : Quand on est sur la N90 en direction de Charleroi, on voit un ancien bâtiment qui a servi au charbonnage, c’est près de chez toi ???? unsure.gif

Merci smile.gif

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Par rapport à toi, Montigny se trouve à l'opposé de Charleroi. Mais il y a eu une petite exploitation minière, et on peut voir deux minis terrils à environ 1 km de chez moi.

J'ai oublié de dire que Montigny-le-Tilleul repose sur la faille géologique dite du Midi, qui va du Nord de la France à la Pologne, elle passe à 800 mètres de chez moi, et on peut voir le jeu des terrains (synclinal de Dinant contre synclinal de Namur). Elle a provoqué des séismes il y a très longtemps, à présent elle ne bouge presque plus.

Sympas confirmera peut être que la rive droite de la Sambre est un haut lieu géologique, puisque au niveau de Landelies, il y a un escarpement de plusieurs mètres de haut qui délimite deux aires géologiques différentes, là passe aussi la faillle du midi. Il y a aussi la fenêtre géologique de Landelies (mais là on rentre dans les termes compliqués wink.gif )

EDIT: un peu de lecture ici lien

Modifié par thunderstorm

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Braine-l'Alleud

Historique.

Localité dont le territoire fut habité à l'époque pré-historique, Braine-l'Alleud apparaît dans les documents écrits dès le XIIè siècle.

En 1131, la paroisse y est mentionnée dans la cession à l'abbaye de Gembloux, d'un bien nommé " Dudinsart ", par Godefroid Ier, duc de Brabant, et Godefroid, son fils.

Quant à la franchise, village ou communauté rurale affranchie, c'est-à-dire dotée d'une coutume urbaine particulière et d'un échevinage local, elle existait en 1218, très probablement.

Au cours des temps, son nom en néerlandais Eigenbrakel, apparaît sous diverses graphies. Il a pour origine, d'une part, le terme Braine , ancienne appellation de la rivière le Hain , d'autre part, celui de l'alleu , désignant une terre franche, eu égard à l'alleu que possédait à cet endroit le duc de Brabant, comme le spécifie Henri Ier dans un acte de juin 1197. Ce dernier fut sans doute accolé au premier pour distinguer cette localité des trois autres du même nom qui l'avoisinent.

La franchise, dont la création peut, sans doute, s'intégrer dans le mouvement général qui vit aux XIIè et XIIIè siècles se multiplier sur le territoire brabançon des fondations urbaines dont l'initiative, dans la plupart des cas, revint aux ducs et notamment à Henri Ier, faisait partie en 1440 du fief que le seigneur du lieu détenait du duc de Brabant.

Celui-ci jouisssait dès 1489 de la justice à tous les degrés sur le territoire de la franchise comme d'ailleurs sur celui de la foraineté.

L'administration de la franchise était aux mains d'un échevinage particulier qui ressortissait à chef de sens aux échevins de Bruxelles; il suivait une coutume urbaine, contrairement aux échevins de la foraineté qui eux appliquaient le droit rural d'Uccle, de même que les seigneuries voisines qui relevaient du duc de Brabant; dans les zones de ressort hennuyer, la coutume de Mons était en vigueur.

Le sceau des échevins de la franchise portait en 1358, un écu burelé à trois lions brochants , armoiries de Nicolas de Barbençon, seigneur du lieu au XIIIè siècle.

La possession de ces armes a été reconnue à la commune de Braine-l'Alleud par arrêté royal du 25 mai 1838; leur usage actuel a été autorisé par l'arrêté royal du 5 septembre 1978. Elles sont ainsi décrites : "d'or à quatorze burèles d'azur et trois lions d'or brochant sur le tout".

Sur le plan féodal, le territoire se présente comme une terre fort morcelée.

La seigneurie principale, celle de Braine-l'Alleud, fief du duc de Brabant, vit se succéder à son poste de commande, une série de seigneurs appartenant à diverses familles. Citons notamment quelques noms : les châtelains de Bruxelles, les Brabançon, Fagnolles, Enghien, Grez, Witthem, Montbroeck, Berghes, S'Heerenberg, Hohenzollern, Cusance, Lorraine, Vaudemont, Rohan, Soubise, Marsan.

Géographie.

Braine-l'Alleud se situe en Brabant wallon (en Roman Païs), dans la vallée du Hain, à une vingtaine de kilomètres de Bruxelles.

La commune compte plus de 36.000 habitants et couvre une superficie de 5.199 ha 47a 88 ca . Depuis la fusion des communes, elle regoupe les entités de Braine-l'Alleud, Ophain-Bois-Seigneur-Isaac et Lillois-Witterzee.

Une vue synthétique du relief de Braine-l'Alleud fait apparaître deux entités : un plateau horizontal oscillant entre 125 et 150 mètres et une vallée , celle du Hain , incrustée dans ce plateau.

Braine-l'Alleud occupe la partie nord-occidentale du bas-plateau brabançon (qui se termine à la vallée de la Senne à l'ouest et à Bruxelles au nord), lequel s'intègre dans l'ensemble des bas-plateaux de la moyenne Belgique .

L'horizontalité de la surface est presque parfaite; les sommets planes s'y succèdent à altitude quasi constante.

Celle-ci diminue cependant du sud au nord, révélant une légère inclinaison vers le nord : à la limite sud de la commune (sud de Witterzée ) apparaît une crête de 150 mètres, au nord-ouest de Bois-Seigneur-Isaac ) et la butte du Lion sont à 135 mètres; le nord de la commune n'atteint plus que 125 mètres aux abords des bois de Sept-Fontaines et à l'Ermite ; au-delà s'observe une diminution progressive d'altitude jusqu'à Forest (place de l'Altitude Cent).

Un sommet dépasse légèrement la surface du plateau : le Bois du Callois, 162,5 mètres, point culminant de la commune (situé à la ferme de la Neuve-Cour sous Lillois ).

La vallée du Hain vient rompre la monotonie des surfaces. Le cours supérieur de la rivière, dirigé du sud vers le nord en amont de Braine, semble suivre nonchalamment l'inclinaison du plateau; à partir de Braine, ou plus exactement de Mont-Saint-Pont , la rivière s'oriente brusquement vers l'ouest jusque Clabecq, où elle se jette dans le canal de Charleroi (elle rejoignait autrefois la Sennette avant les travaux d'élargissement du canal).

Source : Site officiel de la commune de Braine l'Alleud

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Superbes toutes vos descriptions thumbsup.gif

Il faudrait peut-être que je le fasse pour Nalinnes mais je suis un peu fatigué et fénéant en ce moment et en plus y a trop de choses à dire pour Nalinnes. whistling.gifwhistling.gif

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Sympa comme sujet. Faut que je prépare quelquechose aussi ...

Et pourquoi ne pas organiser un petit concours pour élire le plus beau village MB ?

smile.gif

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Super idée ce sujet w00t.gif Je posterai une description de mon village quand j'en aurai le temps ! rolleyes.gif

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Je ne sais pas....

on aura trop dure a décider laugh.gifcool.gifcool.gifcool.gif

Et puis, chacun va precher pour sa chapelle laugh.gif

Serieux...

C'est vrai que ce serait chouette....

D'ailleurs, je veux bien m'en occuper smile.gif

Pour une fois que j'ai une bonne idée laugh.gifw00t.gifwhistling.gifshifty.gif

Petit commentaire sur mon premier post :

Sources :

site officiel de la commune de Floreffe, de la connaissance sur un travail de l'année dernière, livre de la bibliothèque de Floreffe,...

Il faut savoir que je n'ai pas de "chance" avec l'altitude...

Avec cette Sambre...

en effet, a 7 kms de chez moi, il y Bois-de-villers a 260 m!!!!!

Quand le mirco climat est favorable a Floreffe, on a le même type de temps que là-bas.

Mais quand il est de mauvaise humeur (souvent l'hiver) il fait beaucoups plus chaud dans le bas de la vallée et donc, il y a moins de neige (quand il y en a laugh.gif ).

Modifié par seba3999

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Plus personne???

Il me semble qu'il y a plusieurs régions.... en belgique....En france....

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Plus personne???

Il me semble qu'il y a plusieurs régions.... en belgique....En france....

Tracasse tracasse laugh.gif je vais bientot mettre le mien wink.gif

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Voici donc le mien: Melen (qui, si vous l'ignorez encore, se prononce "Mélain")

LOCALISATION

Le village de Melen est situé sur la commune de Soumagne, entre les villes de Liège et de Verviers. La commune de Soumagne a une superficie de 2.713 hectares dont un peu plus de la moitié sont soit des prairies, soit des bois. Les communes voisines sont celles de Fléron, Herve, Blegny, Olne, Trooz et Pepinster. Les villes les plus proches, hormis Liège et Verviers, sont Herve, Spa, Eupen, Visé. Soumagne est donc situé sur le pays de Herve et aux portes de l'Ardenne. Sachez aussi que la commune est traversée par 2 petits ruisseaux, la Magne et le Bolland, et la Vesdre n’est situé qu’à 4 petits km de Soumagne.

Altitude de Melen : de 220 à 290 m

Altitude de Soumagne : de 190 à 290 m (à 352 m si on prend en compte le terril de Retinne)

Nombre d’habitants : 15 626

HISTORIQUE

Le passé historique de Soumagne correspond en grande partie avec celui de la principauté de Liège, à laquelle elle a toujours appartenu. Le terme « Solmania » apparaît en effet dans un diplôme par lequel, le 25 août 915, Charles le Simple, Roi des Francs, donna au Prince-Evêque de Liège, une forêt dépendante de Theux (à 5km au nord-ouest de Spa)

Les armoiries de Soumagne sont définies comme suit: « d'azur à un Saint-Lambert tenant un livre ouvert de la main droite et à la main gauche, une crosse d'évêque contournée et posée en barre de même ».

De la fin du 19e siècle jusqu'au début des années 1960, Soumagne a connu une activité industrielle importante, en raison de la présente de nombreux charbonnages (dont les anciens terrils ont aujourd'hui fait place à des lotissements ou à de superbes butes boisées).

Outre un cadre de vie très agréable qui offre tous les avantages de la ville à la campagne, Soumagne se caractérise par une vie associative intense. Depuis le début des années 70, le centre culturel de Soumagne constitue le principal moteur de l'activité culturelle de l'entité, non seulement par le biais de ses propres manifestations, mais aussi parce qu'il accueille dans ses trois salles, quelque quatre-vingts groupements de toute nature. Quoi de mieux pour inciter les habitants à vaincre la solitude qui caractérise notre époque ?

Le "centre" du village de Melen est situé dans un trou à 220 m d'altitude.

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Pour plus d'infos:

http://www.soumagne.be

http://www.paysdeherve.be

http://www.paysdevesdre.be

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Très belle région également smile.gif

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Frassem (selon WIKIPEDIA)

Frassem est un village de la ville belge d'Arlon, section de Bonnert, situé en Région wallonne dans la province de Luxembourg.

C'est un village dans lequel se situe une école communale, un vieux café (Bertha), une église (Saint-Valentin) et une aire de jeu pour enfants (terrain de mini-foot en synthétique).

Avec le temps, le vieux village de Frassem s'est transformé en village résidentiel plutôt calme. La petite école primaire maintient quelque peu d'activité diurne. Son réfectoire sert de salle du village et accueille fort heureusement quelques festivités ou animations diverses. Le dernier café du village n'ouvre plus guère ses portes que le dimanche à quelques habitués du jeu de carte. L'église n'accueille plus que trois offices religieux par mois dont un seul animé par la chorale. (le troisième samedi du mois à 18:00)

La chorale « Boguifra » est probablement, avec l'association des parents de l'école, une des dernières associations actives sur le village de Frassem. Chaque semaine, elle regroupe des chanteurs et instrumentistes de la région qui s'inspirent essentiellement du répertoire de la communauté du chemin neuf et de la communauté œcuménique de Taizé (Bourgogne). Elle est animée par Jean-Pierre Doumont et compte une quinzaine de membres réguliers. La chorale « Boguifra » anime également l’office du 1er samedi du mois à Bonnert et est parfois appelée à chanter à Saint-Martin à Arlon.

Le village est « sectionné » par la route de Diekirch qui, malgré une limitation à 50 km/h, représente un obstacle à une homogénéité du village. Cette route conduit à Oberpallen et un trafic régulier et important la rend relativement dangereuse.

En ce moment, le village reçoit un sérieux « lifting » et des travaux importants de voirie devraient y rendre la promenade bien plus conviviale (rue du centre et chemin du Glissisbour). En revanche, une vive polémique est apparue suite à la tentative d'abattage du vieux tilleul situé en face du porche de l'église. La population en émoi s'est mobilisée pour limiter, à ce stade, le dommage à un élagage profond de l'arbre centenaire. Affaire à suivre ...

« Frassem Barbecue » a été créé par le juge Caprasse, qui habitait jadis chemin du Glissisbour, avec ses voisins Marcel Thiry et Raymond Labranche. Cette association avait objectif de (re)lancer une animation au sein du village. On peut également citer Messieurs Cornil, Dehez, Jacquemin, Votron et Graisse qui ont activement participé à cette association. Beaucoup de jeunes Frassemois et Frassemoises leur doivent indirectement la visite surprise du grand Saint-Nicolas dans les chaumières engourdies par le froid luxembourgeois de novembre. La tradition Saint-Nicolas a en fait été relancée par Dominique Graisse avec la complicité de Robert Schmit. Beaucoup d'autres activités sont à mettre au crédit de ce dynamique groupe : la visite des aînés, le vin rouge et marrons chauds de Noël, les journées Kayak, le Frassem tourisme, des expositions, des soirées « jeux de société », des barbecues, etc. … Tout cela a ainsi pu être organisé dans le village grâce à cette bien sympathique association. Hélas, aujourd’hui, il ne reste plus rien de cet élan qui, sans doute, s’est éteint, faute de combattants ! Appel est lancé aux villageois qui souhaitent raviver ces braises encore chaudes dans leurs mémoires … Les archives d’une revue de l’époque, "Frassem échos", nous permettent de replonger dans cette période bien chaleureuse du village. Cette revue était l’œuvre conjointe de Michèle Votron, Andrée Jacquemin, Ignacio Cornil, Joseph Boegen, Jean-François Blerot, Jean-Paul Rue, André Roufosse ou encore Dominique Graisse. Joseph Boegen, déjà cité, est un passionné d'histoire, et plus particulièrement de celle de Frassem. Ce Frassemois a compilé une impressionnante collection d'archives et vieilles photos de Frassem. Enfin, citons encore Jean-Paul Rue, Frassemois de la rue de la scierie, qui a longtemps fait la pluie et le beau temps sur les ondes des radios locales arlonaises. Il signe encore la chronique Météo dans certains hebdomadaires de la région.

Curiosités de Frassem :

- L’arboretum (créé en 1990) - Les nombreuses ruches à abeilles (le village est reconnu pour sa production de délicieux miel) - Une station permanente d’ observation météorologique (chez Monsieur D. Graisse) - Un magnifique parc/jardin remarquablement entretenu par Monsieur Lemaire (rue du centre) - La maison natale de Godefroid Kurth (actuellement Maison Robinet) à gauche de l’église - Le vieux cadran solaire du 17ème siècle - Le petit cimetière où se trouve le caveau de Godefroid Kurth

EDIT: voici le site du village: http://users.skynet.be/webpage/frassem

Bonne visite

Domi

Modifié par domitoudis

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un élagage profond de l'arbre centenaire. Affaire à suivre ...

thumbsup.gif

Je ne vais pas me répeter pour tous les villages laugh.gif

Tiens nous au courant pour l'arbre smile.gifwink.gif

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Bah, je ne suis pas tentée de vous présenter Colfontaine : l'histoire est jolie mais "l'actualité" est bien moins reluisante ...

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On ne voit pas ce qui est joli ou pas....

Justement, c'est pour apprendre des nouvelles choses et, toutes les "cultures" sont différentes... C'est ça qui est chouette wink.gifsmile.gif

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Message de Lillo1060

Je vais parlé de mon village, où plutôt commune : Saint-Gilles tongue.gif

Cette commune se trouve à Bruxelles, contrairement à ce que les gens peuvent pensé, c'est une belle commune, agréable à vivre comme un village, car beaucoup de gens se connaissent. On a l'une des plus belle maison communale de Bruxelles : (voir en dessous) Je vais d'ailleur y faire un stabe la semaine prochaine laugh.gif

Dans cette commune se trouve une des gares les plus importante de Belgique, la gare du Midi.

La place Louise, assé connue s'y trouve aussi dans cette commune.

Il y a encore la tour du midi, l'office national des pensions. (voir photo)

Sans oublié le très grand marché du midi tous les dimanches, des gens qui viennent du Brabant-Wallon y viennent, elle se situe a côté de la gare, donc très facile d'accès!

Il ya aussi la maison de Horta pour ceux qui le connaisse, des autre monuments que je ne connais pas.

Les communes qui l'entoure sont : Anderlecht, Fôrest, Ixelles et Bruxelles-ville (1000).

Pour le reste voici quelques détails en plus biggrin.gif

"Saint-Gilles (en néerlandais Sint-Gillis) ou Saint-Gilles-lez-Bruxelles (nl Sint-Gillis-Obbrussel, est l'une des 19 communes bilingues de Belgique située dans la région de Bruxelles-Capitale.

Saint-Gilles est l'une des communes les plus pauvres de Bruxelles, en raison des faibles revenus de ses habitants. Le bourgmestre Charles Picqué a ainsi initié des politiques visant à modifier la sociologie de certains quartiers pauvres de sa commune, surtout dans le bas de Saint-Gilles. Les projets visant, depuis 1992, à installer une grande zone de bureaux aux abords de la gare du Midi en sont l'exemple le plus frappant. Ces projets, accompagnés de différents plans d'expropriation concernant les habitants de quatre îlots du quartier Midi, sont menés au nom de l'utilité publique et de l'extrême urgence. Ils sont toujours loin d'être achevés en 2007.

En avril 2006, elle comptait 46 519 habitants (Saint-Gillois) pour une superficie de 2,51 km², soit 18 533 habitants/km². Elle est située au centre-sud de Bruxelles, juste au sud de Bruxelles-ville. Elle se caractérise notamment par une population très hétérogène du point de vue de l'origine culturelle. On note par exemple la présence d'importantes communautés d'origines étrangères : française, grecque, marocaine, polonaise, espagnole et portugaise essentiellement. "

Il faut dire que la commune a beaucoup évolué, tout a été refait, comme les trottoirs, les rues, les éclairages, c'est beaucoup plus beau.

La maison communale :

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La tour du midi

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Ma rue au fond, mais c'est pas ma maison, je suis plus loin dans la rue à gauche.

user posted image

Le marché matinal :

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Les nouveaux tram ultra-long tongue.gif

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Situation :

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Voilà en gros comment est ma commune rolleyes.gif

Modifié par Stephania

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Le message ci dessus de "stephania" est le mien. J'ai utilisé le compte de ma belle soeur sans le faire exprès blush.gif

Modifié par Lillo1060

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