zwarto 0 Posté(e) 21 août 2004 (modifié) Orages de l'été vous rincez nos voitures Et vous nous désignez les trous de nos toitures Roulements de tambour, caisses claires bruyantes Chez l'enfant ingénu vous semez l'épouvante De nos fleurs si légères ils cassent le calice Et l'éclair est du vent le terrible complice A ses coups redoublés les arbres se soumettent Et craignent de briser leur tronc en allumettes Les caniveaux charrient des flots surnuméraires Qui de nos effluents emportent la gadoue Leur puissante vigueur est une main de fer Qui durcit l'élément dont les flots sont si doux Toute l'eau des nuées jamais ne peut éteindre Ce que le feu du ciel risque parfois d'atteindre Et lorsque nous pensons les lois bien trop enfreindre C'est bien la main de Dieu que nous croyons étreindre. Be cooool Modérateur: Pourrais-tu citer tes sources. En l'occurence Orages poème météorologique guillaume le foyer de costil samedi 7 décembre 2002 Merci! Modifié 21 août 2004 par Myriam Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites