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Les Forums de MeteoBelgique
Philippe

La Floride en plein cyclone(s)

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Voici l'image satellite du cyclone :

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Et voilà la Floride menacée une fois de plus...

Voici l'image prise ce samedi 25/09 à 12h45, pour comparer l'évolution avec l'image ci-dessus :

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thumbsup.gif Merci... toujours très intéressant... mais j'espère que Jeanne ne fera pas trop de dégâts sur son passage crying.gif ...

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Jeanne a atteint les côtes de Floride ce matin... sad.gif

Voici ci-dessous l'image prise à 5h45 ce matin...

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Je suis têtu, mad.gif lorsque je demande un moyen, avec tous les progrès que l'on connaît actuellement, voir à la naissance de l'ouragan, pourquoi pas, oh, il faudrait des moyens forts. Et pourquoi ne pas l'utiliser comme énergie. Allez, on va dire que je lis trop de bandes dessinées!!!!!!! smile.gif

L'éclater au sol, est dangereux, d'accord, mais le faire monter, et là, le détruire.

Il faut voir aussi, avant sa naissance, en formation, je ne sais pas, moi, sleeping.gifthumbsup.gif

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Pour info, quelques explications sur la puissance d'un cyclone et donc sur la quasi impossibilité de les arrêter!

Semaine du jeudi 23 septembre 2004 - n°2081 - Notre époque

Après les ravages d’Ivan, voici le tour de Jeanne

Cyclones mode d’emploi

L’intensité des cyclones dans les Caraïbes depuis juillet a surpris les spécialistes. Portrait-robot d’une machinerie thermique dont la puissance peut atteindre cinq fois la bombe d’Hiroshima

S’il est vrai que Dieu gouverne les forces naturelles, alors ce célèbre allié revendiqué par George Bush n’est pas sympa avec ses copains: dimanche dernier, pour la troisième fois de la saison, le président américain rendait visite à des zones sinistrées par un cyclone tropical. Alex, Bonnie, Charley, Danielle, Earl, Frances, puis Ivan: ces cataclysmes ont causé jusqu’à présent des dizaines de milliards de dollars de dégâts et quelques dizaines de morts. Avec une curieuse prédilection pour certains Etats républicains, comme l’Alabama, la Floride ou le Mississippi, et une non moins curieuse mansuétude pour Cuba, mini-«empire du Mal». Or voici qu’on redoute la suite, avec les ravages de Jeanne, qui a déjà causé 600 morts en Haïti… Et que, d’une façon plus générale, un spécialiste comme Jérôme Lecou, de Météo France, s’étonne de la «violence remarquable» des cyclones caraïbes de la saison 2004. Laquelle, commencée en juillet, ne se terminera que fin octobre: avec George Bush, nous ne sommes donc peut-être pas au bout de nos (mauvaises) surprises. Quant aux décennies à venir, on peut en redouter le pire: le réchauffement climatique semble, a priori, de nature à favoriser la fréquence comme l’intensité des cyclones.

Sans percer le secret des volontés divines, les climatologues ont au moins réussi à mettre en équations les critères d’apparition des cyclones, alias ouragans ou typhons, ainsi que leur développement et leur trajectoire. Ils en ont tracé le portrait-robot, quantifié la puissance terrifiante, modélisé la durée de vie. Grâce notamment aux satellites météorologiques, ils ont pu les photographier sous tous les angles. Conclusion provisoire, face à ces monstruosités climatiques : l’homme se sent vraiment tout petit et bien incapable, il va sans dire, d’espérer un jour les arrêter, ou seulement les dévier. «Le modèle théorique dont nous disposons reste très schématique, très simplifié», dit Olivier Talagrand, du Laboratoire de Météorologie dynamique du CNRS.

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On sait néanmoins que le cyclone tropical apparaît en fin d’été, lorsque les eaux océaniques ont atteint leur température maximale (de juillet à octobre dans l’hémisphère Nord; de janvier à avril dans l’hémisphère Sud). On sait que l’océan doit être à au moins 26,7°C, cela jusqu’à une profondeur d’au moins 50 mètres, de sorte que se produise une évaporation intense dans une colonne d’air chaud très rapidement ascendante vers la haute atmosphère. On sait encore que le phénomène ne peut pas se produire trop près ni trop loin de l’équateur: trop près, les forces de Coriolis, dues à la rotation de la Terre, sont insuffisantes pour amorcer le tourbillon; trop loin, l’océan n’est pas assez chaud. Ces conditions délimitent dans chacun des deux hémisphères une bande propice située entre 5 et 30 degrés de latitude. Compte tenu du découpage imposé par les continents, on parvient ainsi à définir le chiffre (magique?) de sept bassins océaniques, situés dans le Pacifique, l’océan Indien et l’Atlantique Nord, d’où sont originaires absolument tous les cyclones tropicaux recensés – en moyenne et au total une petite centaine chaque année.

Une fois sa maturité atteinte – l’affaire de quelques jours –, le cyclone constitue une gigantesque machinerie tourbillonnante, certes très lourde de menaces et de destructions effroyables, mais qui ne manque pas de susciter l’admiration étonnée de tous les spécialistes des interactions entre l’océan et l’atmosphère: «C’est une énorme machine thermique, une machine à vapeur, obéissant aux lois de la thermodynamique, qui fonctionne selon le cycle de Carnot entre une source chaude et une source froide», résume Frank Roux, du Laboratoire d’Aérologie du CNRS. Source chaude: l’océan. Source froide: la haute atmosphère, où la vapeur d’eau se condense en furieux nuages et en pluies torrentielles. L’énergie thermique est transformée en un hallucinant brassage d’air, avec pour résultat des vents atteignant parfois les 300 km/h, ce qui, d’après certains calculs, représente à chaque seconde une puissance équivalant à cinq bombes d’Hiroshima. Dans sa phase maximale, le cyclone s’étend sur un rayon de quelques centaines de kilomètres, avec en son centre, sur quelques dizaines de kilomètres, une zone dépressionnaire au calme trompeur – le fameux œil du cyclone. Un creux qui, telle une formidable ventouse léchant l’océan, aspire et élève la surface des eaux à un niveau catastrophique lors du franchissement des zones côtières. Des zones qui, une fois ravagées par les vents et les pluies, n’avaient généralement pas besoin de ça en plus.

Après sa naissance sous les tropiques, et avant de s’évanouir dans l’atmosphère, le cyclone dure de quelques jours à un mois. Selon les zones traversées, il a donc le temps de faire beaucoup de dégâts. Son déplacement est relativement stéréotypé: il file toujours vers l’ouest (pour cause de rotation de la Terre) avant de mettre toujours le cap vers le nord (s’il est né dans l’hémisphère Nord), ou vers le sud (dans le cas inverse), afin de s’éloigner de l’équateur. C’est toujours au contact des zones côtières qu’il provoque ses dommages les plus monstrueux. Mais ces incursions en zones continentales causent en même temps sa perte, car, explique Olivier Talagrand, «ainsi privé de son alimentation en vapeur d’eau, le cyclone finit par se dissiper dans l’atmosphère». Ouf! En attendant le prochain… Car, on l’a vu, si le facteur primordial d’apparition de ces monstres atmosphériques est la température élevée des eaux tropicales, et si le climat se réchauffe, une conclusion s’impose: les cyclones devraient devenir plus fréquents et plus ravageurs. Pour le moment, les spécialistes évitent le catastrophisme: «Même si nous n’avons pas d’explication à la violence inhabituelle des cyclones en 2004, il n’y a pas de tendance claire à la hausse sur les quelques études dont nous disposons», dit Jérôme Lecou. Pourtant, dans son livre «2050, rendez-vous à risques» (1), Adolphe Nicolas, de l’uiniversité de Montpellier, n’hésite pas à écrire: «Nourris par l’évaporation accrue des océans tropicaux, les cyclones pourraient se multiplier et gagner de nouvelles aires océaniques.» Le jour où un cyclone émergera ailleurs que dans l’un des fameux sept berceaux océaniques balisés, il y aura de quoi être inquiet.

Or, déjà, les ouragans un peu forts mais «classiques» de cette actuelle fin d’été pourraient avoir des répercussions jusque… dans la conquête spatiale: en Floride avant les éventuels dégâts de Jeanne, les cyclones Charley, Frances et Ivan ont frappé durement les installations de la Nasa, à Cap Canaveral. Endommageant en particulier les hangars dans lesquels les ingénieurs s’affairent pour tenter de préparer le redécollage des navettes spatiales, qui n’ont plus volé depuis la catastrophe de Columbia, le 1er février 2003. Un lancement était prévu pour le printemps 2005, mais, dit l’astronaute Thomas Stafford, «ce calendrier était de toute façon très tendu», et maintenant « il va falloir plusieurs semaines supplémentaires rien que pour évaluer l’impact des dégâts imputables aux tempêtes». Autant conclure que la navette n’est pas à la veille de reprendre le chemin de l’éther, et que les ouragans ne se contentent pas d’arracher les toitures: ils sont assez puissants pour intervenir dans le destin des nations. D’ailleurs, dans le passé, on a pu l’observer de manière éloquente. Pour Olivier Talagrand, «avec ses 300 000 morts au moins, le terrifiant cyclone de 1970 fut un facteur déterminant dans la révolte qui aboutit, l’année suivante, à l’indépendance du Pakistan-Oriental sous le nom de Bangladesh»: c’est en effet l’absence d’aide du Pakistan-Occidental, après la catastrophe, qui avait porté le parti séparatiste au pouvoir. Alors, il n’est peut-être pas tout à fait absurde de supposer qu’Alex, Bonnie, Charley, Danielle, Earl, Frances, Ivan et Jeanne vont aussi peser dans les urnes lors de l’élection présidentielle américaine.

FABIEN GRUHIER

(1) Belin.

Nouvel Obs: Semaine du jeudi 23 septembre 2004 - n°2081 - Notre époque

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Je suis têtu,  mad.gif lorsque je demande un moyen, avec tous les progrès que l'on connaît actuellement, voir à la naissance de l'ouragan, pourquoi pas, oh, il faudrait des moyens forts. Et pourquoi ne pas l'utiliser comme énergie. Allez, on va dire que je lis trop de bandes dessinées!!!!!!! smile.gif

L'éclater au sol, est dangereux, d'accord, mais le faire monter, et là, le détruire.

Il faut voir aussi, avant sa naissance, en formation, je ne sais pas, moi, sleeping.gif  thumbsup.gif

En réponse à ta question, oui on a cherché mais pas trouvé et puis c'est la nature, pas toujours belle et bonne pour nous mais ...(voir conclusion de l'article ci-dessous)

PEUT-ON les DETRUIRE ou les MODIFIER ?

On le sait, on l'a vu, ce sont des phénomènes qui peuvent être extrêmement violents, provoquant d'énormes dégâts. Ils peuvent se révéler aussi par conséquent, de véritables tueurs malheureusement, car s'ils vivent essentiellement sur les mers, ils n'en ravagent pas moins les terres ou les îles lorsqu'ils les atteignent ou les traversent.

Certains pensent donc qu'on devrait chercher à les éliminer, à les détruire avant qu'ils ne deviennent trop dangereux pour les populations et leurs biens. On a déjà essayé ... sans grande réussite, il faut avouer. Car un ouragan en pleine maturité, c'est 5 bombes atomiques par seconde en équivalent énergétique ! L'énergie mise en jeu dans un cyclone est en effet colossale : la condensation moyenne de 10 cm d'eau par jour dans un rayon de 200 km autour du centre cyclonique (valeurs qui correspondent à un phénomène moyennement pluvieux), libère près de 400 milliards de watts, soit la production de 400 centrales nucléaires à pleine puissance (F. Roux et N. Viltard 1997). Alors imaginez l'énergie que l'on devrait employer pour détruire cette formidable machine thermodynamique ! Les essais effectués il y a quelques années ont rebuté les scientifiques ; on se souvient encore du fameux projet dénommé " STORMFURY " durant les année 60, qui n'a pas fourni de conclusions déterminantes.

L'idée de départ était d'agir sur un cyclone naissant avant qu'il ne soit de dimension et d'intensité trop importantes. Il s'agissait notamment de laisser tomber des particules métalliques d'iodure d'argent à partir d'avions survolant ce système en formation, afin de précipiter toutes les gouttelettes d'eau ou de grêle avant que le processus cyclonique ne démarre vraiment. Aucun effet durable n'a été démontré et le projet a été abandonné en 1971.

Différentes autres techniques proposaient une action pour amoindrir la convection et l'énergie en cours de développement dans le système nuageux initial. Par exemple, faire brûler de grandes quantités de pétrole sur le pourtour maritime pour produire des aérosols chargés de carbone modifiant l'équilibre radiatif des nuages, répandre une nappe d'hydrocarbures (bonjour la pollution !) sur les océans pour limiter l'évaporation, ou encore faire amener des icebergs pour refroidir l'eau sur le trajet des cyclones (oui, certains ont imaginé cela et pensé que c'était réalisable ...). Le but recherché - diminution de l'énergie et retombée rapide des masses d'eau en cours de convection dans les nuages - n'a guère été atteint. D'autres avaient même pensé à utiliser l'arme nucléaire pour " étouffer dans l'oeuf " l'embryon de cyclone, sans trop se soucier des conséquences des retombées radioactives d'ailleurs ... ! On dit que cette idée délirante avait été proposée par le maire de Miami en 1945, mais heureusement pas approuvée par le président de l'époque, Truman.

Ces essais ou recherches plus ou moins fantaisistes ont, depuis, été abandonnés, les chercheurs et météorologues ayant décidé de consacrer leurs études sur la prévention et la prévision. On s'est fait à l'idée qu'il FAUT CO-HABITER avec les cyclones dans certaines régions du monde. Et puis, surtout, on s'est rendu compte aussi que le cyclone était UTILE. Oui, utile ! Son rôle bénéfique consiste à libérer l'excès, le trop-plein de chaleur et d'humidité des Tropiques, telle une soupape de sécurité, et de les transférer plus au nord vers les régions qui en ont besoin, et qui, sans cela, seraient beaucoup plus froides. Le cyclone tropical participe donc pleinement au cycle climatologique et thermodynamique de l'atmosphère. Sans lui et ses congénères (il y en a entre 75 et 100 par an tout autour du globe, dont la moitié atteignent le stade d'ouragan ou équivalent), le climat de la Terre en serait bouleversé...

source : http://www.meteo.fr/temps/domtom/antilles/...ne/detruire.htm

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(...) avec ses 300 000 morts au moins, le terrifiant cyclone de 1970 fut un facteur déterminant dans la révolte qui aboutit, l’année suivante, à l’indépendance du Pakistan-Oriental sous le nom de Bangladesh»: c’est en effet l’absence d’aide du Pakistan-Occidental, après la catastrophe, qui avait porté le parti séparatiste au pouvoir. Alors, il n’est peut-être pas tout à fait absurde de supposer qu’Alex, Bonnie, Charley, Danielle, Earl, Frances, Ivan et Jeanne vont aussi peser dans les urnes lors de l’élection présidentielle américaine.

Plus encore que l'on le pense... Ou quand l'histoire (ne) se répète (pas)...

En 1992, le cyclone Andrew avait touché la Floride causant des morts et des dégâts considérables. A ce jour, il reste encore comme l'un des ouragans les plus violents du XXe siècle.

George Bush (père) a vraisemblablement perdu les élections de novembre pour ne pas avoir réagi avec assez de moyens ni assez vite pour les sinistrés. En tout cas, cela a pesé dans le décompte final qui a vu finalement la victoire de Bill Clinton.

Les ouragans de 2004 pourraient par contre jouer en la faveur de George Bush (W) dans la course à la ré-élection. Bien bas dans les sondages suite aux problèmes Iraq et consorts en début août, il a su intervenir (et surtout se montrer

en Floride, n'hésitant pas à distribuer lui même (sous les caméras) nourritures et couvertures aux sinistrés du cyclone. Conséquence : la cote de popularité de W remonte en flèche.

Comme quoi, la météo peut intervenir dans les destinées politiques... wink.gif

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Merci à tous pour ces excellentes informations... mon fils et son épouse passent cet après-midi chez nous et raconteront leurs souvenirs de vacances au Mexique, entr'autres le passage d'Ivan près de Cancoun le 13 septembre... je suis curieuse d'avoir leurs impressions wink.gif !

La nature est tellement belle rolleyes.gif ... et tellement dangereuse aussi crying.gif !

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La Floride à nouveau touchée (26/09/2004)

© EPA

Des vents violents et des trombes de pluie mais pas de victime jusqu'à présent

MIAMI La côte est de la Floride a subi de très importants dégâts matériels mais aucune victime n’a été recensée après le passage du cyclone Jeanne, le quatrième de la saison, dans la nuit de samedi à dimanche, selon les autorités locales. Tim Botcher, porte-parole du département d’urgence de Floride, a souligné dimanche matin qu’il était trop tôt pour faire un bilan des dommages mais a précisé que les dégâts étaient importants.

Les premières images du passage de Jeanne, qui a frappé pratiquement au même endroit que le précédent ouragan Frances début septembre, montrent des toitures arrachées, des arbres déracinés, des pylônes électriques tombés au sol. Plus d’un million de personnes étaient privées d’électricité dimanche matin.

Le cyclone a touché les côtes de Floride au niveau de Hutchinson, ville située à 64 km au nord de Palm Beach et à un kilomètre et demi du point d’impact de Frances début septembre. Après la côte est, Jeanne a traversé la péninsule et se trouvait à 11H00 GMT dimanche sur la cote ouest, à une cinquantaine de kilomètre à l’est/sud-est de la ville de Tampa.

Arrivé au dessus du continent américain avec une force 3 sur l’échelle des ouragans qui en compte 5, le cyclone a depuis légèrement faibli et ses vents pourraient décroître jusqu’à une centaine de kilomètres/heure, indique le dernier bulletin météo du centre national des ouragans (NHC).

Avant d’atteindre les Etats-Unis, Jeanne a été particulièrement meurtrier en Haïti où les inondations et glissements de terrain après son passage la semaine dernière ont fait au moins 1.316 morts et plus de mille disparus.

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Sources: Météo Consult

Suivi de l'activité cyclonique...

Ce Dimanche 26 septembre, on dénombre 1 Ouragan et 1 Tempête Tropicale en cours :

1) - JEANNE, ouragan de catégorie 3 :

Le 26/09/2004 à 06h00 UTC, Jeanne était positionnée par 27.2° Nord et 80.4° Ouest soit entre Fort Piece et West Palm Beach en Floride. La pression en son centre était de 951 hPa, avec des vents moyens à 190 km/h et des rafales proches de 220 km/h.

2) - la Tempête Tropicale LISA s'est renforcée au cours des dernières 24 heuires et se décale vers le Nord-Ouest et pourrait devenir un Ouragan de Classe 1 dans la nuit de Mardi à Mercredi. A l'heure actuelle, LISA ne menace aucune terre habitée...

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Sources: Météo Consult

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Sources: Météo Consult

Bilan de l'activité cyclonique...

Le lundi 27 septembre, on dénombrait 2 Tempêtes Tropicales en cours :

1) - JEANNE, ouragan de catégorie 3, déclassé maintenant en tempête tropicale après avoir frappé la Floride :

Le 27/09/2004 à 06h00 UTC, Jeanne était positionnée par 30.1° Nord et 83.3° Ouest. La pression en son centre était de 981 hPa en forte hausse, avec des vents moyens à 80 km/h. Elle prend une direction le long des côtes de Géorgie puis de Caroline du Sud. De fortes pluies et des orages sont associés à sa trajectoire.

2) - la Tempête Tropicale LISA s'est renforcée au cours des dernières 24 heuires et se décale vers le Nord-Ouest et pourrait devenir un Ouragan de Classe 1 dans la nuit de Mardi à Mercredi. A l'heure actuelle, LISA ne menace aucune terre habitée...

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