cumulonimbus

J'ai été voir les liens et les photos satellites. Je crois que ce qui mène à la confusion, c'est la présence d'un oeil dans la perturbation. Or le critère de l'oeil à lui seul ne définit pas un cyclone tropical. Même les Polar Lows présentent parfois un oeil dans leur structure, toutefois les tempêtes de neige et la structure nettement frontale entre de l'air froid et l'air très froid font que ces perturbations n'ont vraiment rien à voir avec un cyclone tropical. Cb

Il faut se méfier de ce genre de critère. Lorsque l'on définit une vague de chaleur de telle manière que les critères ne sont remplis qu'une fois par siècle, il suffit que quelques dixièmes de degré en plus pour que ces critères soient remplis 4 fois par siècle. Cela n'enlève que très peu au côté exceptionnel de la chose, n'empêche, l'augmentation est de 400 %. Par contre, si l'on défini une vague de chaleur de telle manière qu'elle arrive dans 10% des cas (ou années), cette même augmentation mènera à 11 ou 12% des cas avec un réchauffement de ces mêmes dixièmes de degré. Je prends comme exemple le critère belge : 5 jours consécutifs avec une température de 25°C, dont trois dépassent 30°C. À la côte, ces critères étaient tout juste possibles, ce qui fait qu'il n'y avait pratiquement pas eu de vagues de chaleurs (officielles) et souvent, parce que quelques dixièmes de degrés manquaient à l'un des jours. Maintenant, bien sûr, ces quelques dixièmes de degré manquants sont souvent présents. En Campine, par contre, les vagues de chaleur ont été de tout temps assez fréquentes. Il faut vraiment un hasard pour qu'il manque quelques dixièmes de degrés à l'une de celles-ci. Ce qui fait que de temps en temps, une presque vague de chaleur devient une vague de chaleur grâce au réchauffement climatique, mais cela n'en change pas notablement la fréquence. En d'autres termes, le pourcentage d'augmentation demeure très faible. Il s'agit ici d'exemples théoriques, partant de l'hypothèse d'un réchauffement homogène de toutes les valeurs, ce qui n'est sans doute pas le cas. Je voulais seulement démontrer comment les mathématiques à elles seules peuvent déjà donner une tout autre image d'un phénomène. Alors, si l'on y ajoute des facteurs climatiques réels ou supposés, cela devient vite extraordinairement compliqué. Cb P.S. Ce qui vaut pour les critères belges vaut souvent aussi pour des critères définis à l'étranger. Edit : correction d'une faute d'orthographe.

Certes des températures basses ont été observées aux endroits exposés. Mais cela arrive souvent par temps simplement frais en journée, suivi d'une nuit sereine. Sur l'ensemble du pays, par contre, la nuit n'a pas été remarquablement froide. Dans les situations extrêmes, il gèle carrément en plein été dans les fonds de vallées, tout comme les parties déprimées des hauts plateaux ardennais (Elsenborn). Le 1er juin 1984, si je me souviens bien, il a fait -1,2°C à Rochefort. Le 16 août 1994, il a fait 0,0°C à Elsenborn, et il doit exister d'autres exemples de gelées encore, peut-être même en Campine ou en Gaume. Il faudrait demander à Piet ou à Philippe. Je crois qu'ils ont ces données. Cb

Cela va d'ailleurs dans le même sens que ce que dit le KNMI des Pays-Bas. L'augmentation des températures s'est faite effectivement par plateaux. Un premier plateau (donc stabilité) a été observé au XIXe siècle et au début du XXe siècle jusque 1910 environ. Puis une phase d'augmentation de 1910 à 1940, avec d'abord un réchauffement de l'hiver, puis un réchauffement de l'été. Ensuite à nouveau un plateau (stabilité) entre 1940 et la fin des années 80. Puis à nouveau une phase d'augmentation, avec d'abord un net réchauffement de l'hiver et du début du printemps, puis des autres saisons, l'automne en dernier, mais très fort ces dernières années. Il est à noter que l'augmentation actuelle des températures est sans commune mesure avec celle observée entre 1910 et 1940. Du point de vue des précipitations, une augmentation est perceptible, mais pas encore définissable à 100 % vu le caractère très aléatoire des précipitations. Il faut une période très longue pour distinguer les aléas statistiques des changements réels dans le domaine des précipitations et surtout de leur répartition. Les Hollandais parlent également d'une tendance à la diminution des vents forts, sans pouvoir encore se l'expliquer. De même, la cause de l'augmentation des températures entre 1910 et 1940 est encore obscure à leurs yeux. Il se peut que ce soit une oscillation naturelle, il se peut aussi que le climat résiste un certain temps aux facteurs humains puis, l'équilibre rompu, l'augmentation se fait de façon brusque et non homogène au niveau de la planète. Voilà l'avis du KNMI. Je suppose que l'avis de l'IRM ne sera guère différent, mais tiendra juste compte des spécificités de la Belgique, qui ne sont pas les mêmes que celles des Pays-Bas, notamment en ce qui concerne les Ardennes. Cb

Je confirme ma présence. Journée: 1 Resto: 1 Cb

La différence des maxima et des minima par rapport aux normes est trop faible ce mois-ci pour pouvoir lui donner une quelconque interprétation. Cb

Je me suis basé sur plusieurs éléments. Effectivement, j'ai pensé aux 0,7°C de réchauffement planétaire (estimé), c'est pour cela que j'ai dit "plus ou moins". Je me suis aussi basé sur le fait que de nombreux juillets des années 60 ont été dans la même gamme que celui qu'on vient de vivre. Seuls 1964 et 1969 ont fourni un été chaud au cours de cette décennie. Pourtant, à conditions (plus ou moins) égales, les températures étaient moins élevées pendant cette décennie. Enfin, je me suis basé sur le couplage océan-continent. En fait, le continent européen (et les mers avoisinantes, Mer du Nord, Mer Baltique et Méditerranée) s'est plus fortement réchauffé que le reste de la planète. Par contre l'Océan Atlantique a moins rapidement suivi le réchauffement climatique (probablement en raison de son inertie thermique). Cette dichotomie s'est bien vérifiée durant le mois écoulé. La période chaude a été nettement plus chaude qu'elle n'aurait dû être, chez nous mais surtout plus à l'est, en Allemagne et en Autriche, sans parler des Balkans. Les courants océaniques, par contre, ont été très "normaux", tout au moins près de la façade occidentale. L'un dans l'autre, je dirais que l'excès thermique, chez nous, a été dans la fourchette de 0,5 à 1°C par rapport à une situation similaire dans le passé. N.B. Les pluies exceptionnelles en Grande-Bretagne sont considérées, jusqu'à nouvel ordre, comme un phénomène isolé où l'influence du réchauffement climatique n'est pas identifiable avec certitude. Les records de chaleur à répétition dans notre pays ou les pays avoisinants au cours des dernières années (par courants continentaux) ne sont par contre plus un phénomène isolé. Cf. 2003 (France, Allemagne et une partie de la Belgique), 2006 (Belgique surtout), 2007 (Allemagne et Autriche). En Méditerranée aussi, on note des records de chaleur à répétition (2007 qui bat les records de 2006 qui ont battu les records de 2003, en Italie, Grèce et Balkan ; en Espagne et au Portugal, on retrouve le même scénario avec d'autres années récentes). Cb

Juillet : enfin un mois normal ! Non seulement dans les données (température moyenne = 17,2°C, précipitations = 96,7mm, insolation = 178h15), mais aussi par rapport à la situation atmosphérique. En effet, nous avons connu une prédominance de courants atlantiques, avec des perturbations mais aussi des accalmies anticycloniques, une période chaude vers le milieu du mois et une période fraîche à la fin du mois. Ce n'est plus du tout comme en août 2006, où la température était "normale" aussi, mais sous des courants de nord-ouest et une insolation très largement déficitaire, ce qui aurait dû donner des températures (presque) exceptionnellement basses. Les conditions atmosphériques de juillet 2007 auraient mené plus ou moins à une moyenne de 16,5°C dans les années 60. Eh oui, le réchauffement climatique est bien là, mais (provisoirement) pas dans des mesures aussi inquiétantes pour nos régions qu'au cours des 4 saisons précédentes. Cb

Désormais, vous pouvez suivre au jour le jour les données de ce début juillet 2007, sur le tout nouveau site de l'IRM. Températures fraîches, précipitations fréquentes, insolation pas trop généreuse... Et pourtant, il y a déjà eu bien pire. En voici un exemple : Jr Tmin Tmax Insol Précip 01 12,7 22,7 03:15 02,8 02 15,6 25,1 05:20 10,4 03 15,4 23,6 03:30 00,0 04 14,6 22,0 03:30 02,9 05 13,1 19,8 02:15 06,5 06 14,0 20,6 02:40 00,0 07 14,3 14,3 00:00 07,3 08 07,0 16,4 02:15 08,8 09 09,7 15,3 00:00 05,5 10 12,1 18,4 04:45 05,3 Ou ceci : Jr Tmin Tmax Insol Précip 01 11,5 14,3 00:20 14,1 02 10,8 15,1 00:00 01,7 03 11,8 17,4 04:45 02,0 04 10,8 17,4 00:00 00,6 05 12,4 17,6 02:55 00,0 06 09,7 21,4 07:05 15,5 07 13,3 17,4 00:20 07,3 08 13,0 16,0 00:00 14,3 09 12,8 15,5 00:00 22,3 10 11,9 13,4 00:00 13,0 Ou encore ceci : Jr Tmin Tmax Insol Précip 01 10,6 20,0 05:45 00,2 02 12,5 16,4 00:00 19,9 03 13,2 17,4 02:25 08,8 04 10,1 17,3 03:25 03,6 05 09,8 14,0 00:35 19,4 06 10,3 13,8 00:30 05,5 07 10,0 14,8 00:00 04,7 08 10,3 17,0 00:55 10,0 09 11,0 17,3 02:20 00,4 10 08,4 17,4 01:35 00,1 Si MB avait existé à cette époque, le "Mur des Lamentations" aurait eu encore plus de succès. Il s'agit, respectivement, des premières décades de juillet 2000, 1980 et 1978. Enfin, pour vous consoler, je peux vous dire que ceci a existé aussi : Jr Tmin Tmax Insol Précip 01 18,2 32,1 15:00 00,0 02 18,4 33,6 14:55 00,0 03 18,9 35,4 14:50 00,0 04 18,8 34,0 14:10 00,0 05 18,6 33,3 14:05 00,0 06 19,5 32,2 14:25 00,0 07 18,1 32,0 13:10 00,0 08 18,0 30,5 14:35 00,0 09 13,4 24,0 03:35 gouttes 10 17,0 22,9 01:15 00,0 Non ! Il ne s'agit pas de l'année passée, mais de 1976, qui a encore mieux fait, pendant la première décade de juillet tout au moins. Le "Mur des Lamentations" aurait peut-être fonctionné aussi, pour avoir de la pluie cette fois-ci. Cumulonimbus Données : IRM

Voici les mammatus qu'on a observés à Bruxelles le jour des gros orages à Leuze et à Arras (29/07)

Je n'ai pas encore d'explication concrète, mais à Bruxelles, j'ai vu de très nombreux mammatus, signe d'une grande instabilité de l'air, même si rien de significatif n'a eu lieu chez moi. Cb

J'oubliais... Carine !!! Cumulonimbus

J'essaierai de répondre du mieux que je peux à tes questions. 1) Les rayons du soleil ne réchauffent (presque) pas directement l'air, mais réchauffent le sol (ou l'eau), qui transmet ensuite sa chaleur à l'air par conduction thermique. C'est l'inclinaison des rayons du soleil et la durée du jour qui influencent principalement la température. Des rayons rasants ne réchauffent pas le sol, donc l'air ne se réchauffe pas non plus, il fait froid. Des rayons perpendiculaires réchauffent très fort le sol et la chaleur se transmet en grande quantité à l'air, il se réchauffe très fort. Les rayons obliques sont entre les deux, tout dépend de l'obliquiité des rayons. Des nuits longues (hiver) permettent un important refroidissement tandis que des nuits brèves (été) limitent ce refroidissement. En première instance, tout dépend donc de l'obliquité des rayons et de la durée du jour, c'est-à-dire de la latitude et de la saison. En deuxième instance, le pouvoir calorifique du sol joue un très grand rôle. Un sol sablonneux se réchauffe et se refroidit plus vite qu'un sol limoneux, d'où contrastes thermiques plus importants entre le jour et la nuit et entre l'hiver et l'été. L'eau, par sa nature et son perpétuel mouvement, se réchauffe et se refroidit très lentement, d'où faibles contrastes entre l'hiver et l'été dans un climat maritime et contrastes presque nuls entre le jour et la nuit en pleine mer. En troisième instance, c'est la circulation atmosphérique générale, donc les vents qui influencent le temps d'une région. Les vents d'ouest, en Europe, amènent la modération du climat océanique jusque très loin à l'intérieur des terres. Ces mêmes vents d'ouest sont responsables du climat continental de New York, pourtant situé au bord de l'océan, mais donc l'influence est rejetée au large. Une région avec une prédominance de vent du sud (dans l'hémisphère nord) connaîtra un climat plus chaud que ce à quoi l'on s'attend à cette latitude. Une prédominance de vents du nord donnera l'inverse. Dans ce cas, il s'agit là de terres et de mers réchauffées ou refroidies ailleurs qui déterminent autant le temps de la région en question que les réchauffements et refroidissements locaux, les deux se combinant selon une multitude de facteurs. 2) Les types de pressions sont schématiquement au nombre de trois : hautes pressions (anticyclone), basse pression (dépression) ou pression moyenne (marais barométrique ou zone située entre hautes et basses pressions). Les anticyclones tendent à générer du beau temps tandis que les dépressions tendent à générer du mauvais temps. C'est pourtant loin d'être une règle absolue. La position des anticyclones et dépressions, les vents qu'ils génèrent et l'humidité de l'air sont tout autant des facteurs déterminants pour le temps. 3) La déviation des vents est liée à la rotation de la Terre. Au départ, les zones de hautes pressions (surplus d'air) et les zones de basses pressions (manque d'air) génèrent un déplacement de l'air des premiers vers les seconds pour rétablir l'équilibre. Mais la rotation de la terre dévie ce déplacement, ce qui fait que les vents tournent (hémisphère nord) dans le sens des aiguilles d'une montre autour d'un anticyclone (en s'éloignant légèrement - spirale) et dans le sens contraire des aiguille d'une montre autour d'une dépression (en se rapprochant légèrement - spirale). Cela s'appelle la force de Coriolis. 4) Sur Internet, on trouve la plupart des vents locaux. Pour la France, on peut taper : mistral, autan (noir et blanc), tramontane, levant, etc. Pour l'Italie, on aura : maistrale, tramontana, libeccio, garbino, ostro, sirocco, bora... Pour l'Espagne, on aura leveche par exemple. En Grèce : meltemi ; et j'en passe. 5) Une perturbation atlantique naît à la limite entre de l'air plus froid (polaire) et plus chaud (tropical) se trouvant sur l'Atlantique. La séparation des masses d'air est un front. En raison des vicissitudes climatiques, ce front se met à onduler. Quand ces ondulations s'amplifient, des dépressions s'y forment (en raison de l'air chaud qui monte au-dessus de l'air froid plus lourd --> ascendance --> pression plus basse. À l'avant d'une telle dépression, le vent souffle de sud ou de sud-ouest, de l'air chaud s'amène, il se forme un front chaud. À l'arrière de la dépression, le vent souffle de de nord-ouest et amène de l'air froid. Il se forme un front froid. Les deux fronts se rejoignent plus ou moins au centre de la dépression, il s'agit donc d'une perturbation organisée. Comme le front froid se déplace généralement plus vite que le front chaud, il le rattrape et l'air chaud situé entre les deux fronts est chassé en altitude. C'est l'occlusion, où il n'y a plus que l'air froid situé avant la perturbation et celui situé après la perturbation. Comme tout cela s'accompagne de soulèvements de masses d'air et que cela se passe dans un milieu océanique humide, il se forme bien évidemment des zones de précipitations. Ce que je viens d'expliquer est évidemment un résumé très succinct. Tu trouveras des renseignements plus complets en tapant dans Google "front chaud" + "front froid" + "front occlus". 6) Je n'en connais pas par coeur, mais cela se trouve facilement en tapant les bons mots clés. Attention toutefois ! Certains sites sont moins sérieux que d'autres, mais cela se repère généralement très vite. N.B. En ce qui concerne la température, la température vraie est la température relevée sous un abri fermé, à 1 mètre 50 du sol, donc sous des conditions standard. Une température corrigée sera souvent une température ancienne, relevée sous des conditions qui ne sont plus considérées comme standard de nos jours (abri ouvert par exemple). On applique alors des correctifs afin de les homogénéiser (le mieux possible) avec les données actuelles. Voilà. J'espère que j'ai pu t'aider. À bientôt, Cumulonimbus

Bon anniversaire, Zwicky. Profite encore longtemps de ta jeunesse !!!! Cumulonimbus

À Uccle, la micro-burst la plus violente observée fut celle du 18 juillet 1964, avec des rafales jusqu'à 133 km/h. Cet orage avait d'ailleurs été particulièrement spectaculaire en raison du ciel exceptionnellement sombre et d'un arcus effrayant. Et voilà le témoignage de Zum :

Je suis presque sûr de venir. D'ici quelques jours, je pourrais inscrire avec certitude le nombre de personnes. Cumulonimbus

Joyeux anniversaire, Andenne Cumulonimbus!

Chasseurs d'orages et de tornades, soyez à l'affût... Tenez à l'oeil les prévisions à court terme... On s'achemine vers une situation de "Spanish Plume". La moindre zone de convergence, la moindre dépression thermique (surtout peu avant le front froid) pourrait dégénérer. Bien sûr, je ne dis pas qu'il y aura des phénomènes violents ce week-end ou juste après, mais la situation est potentiellement dangereuse... ou intéressante pour les amateurs d'orages. Cb

Je trouvais également l'émission bien présentée. En dehors des tornades virtuellement reconstituées, j'en ai aussi reconnues de vraies, comme celles d'Oklahoma City en 1999 (les images particulièrement sombres avec les débris noirs qui tournoyaient). Cb

Parmi les califes, je pourrais citer Abu Bakr, Omar, Othman et Ali, pour ne prendre que les premiers...

Génial ! Je serai de la partie. Cumulonimbus

Voici la deuxième décade de juillet 1980. Jr Tmin Tmax Insol Précip 11 11,8 14,2 00:30 02,5 12 11,0 16,3 01:20 02,3 13 10,8 15,2 00:40 11,5 14 11,0 18,2 01:25 01,8 15 12,8 17,1 00:40 00,1 16 10,5 15,5 05:30 00,0 17 09,9 18,6 02:35 00,0 18 12,2 17,5 00:05 10,3 19 13,1 17,0 00:00 06,4 20 13,7 16,6 00:00 39,1 Cb

Je serais celle des Solutréens, qui auraient conquis l'Amérique une première fois, il y a 19000 ans !! Et toi, si tu étais un calife, lequel serais-tu ?

Voici un post du forum qui explique très bien le climat ardennais. http://www.meteobelgium.be/forums/index.php?showtopic=1007 Cumulonimbus

Le site italien n'a pris en compte que les chutes de neige ayant donné un enneigement au sol à Buenos Aires. Les chutes de neige de 1969 ont certes été mentionnées, il s'agissait toutefois de neige fondante. Cb