bib 0 Posté(e) 24 novembre 2013 Les scientifiques s'intéressent à la somnolence inhabituelle du Soleil La somnolence inhabituelle du Soleil, qui connaît sa période la moins active depuis plus d'un siècle, aiguise la curiosité des scientifiques qui se demandent combien de temps pourrait encore durer ce calme plat solaire. (...) (Conclusion: ) Certains chercheurs se demandent si on n'assiste pas au début d'une période prolongée de faible activité solaire comparable à celle du minimum dit de "Maunder" entre 1650 et 1715 durant lequel quasiment aucune tache solaire n'a été observée. Cette période a coïncidé avec une période de net refroidissement appelé "petit âge glaciaire" en Europe et en Amérique du nord. "Il y a eu une forte corrélation entre la faible activité solaire et le petit âge glaciaire (...) le Soleil contribuant à la variabilité du climat", note Doug Biesecker. Mais ajoute-il, "si la faiblesse de l'activité solaire observée dernièrement atténue quelque peu le réchauffement climatique, elle ne l'arrête pas pour autant, la température n'augmentant que plus lentement". À lire ici: http://www.rtbf.be/info/societe/detail_les...leil?id=8142387 Par rapport à la dernière phrase: comment peuvent-ils dire déjà maintenant que le refroidissement ne compensera pas le réchauffement ??? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
williams 0 Posté(e) 3 décembre 2013 Le maximum du cycle solaire N°24 semble avoir été atteint cet été 2013 et d'ici quelques mois pendant plusieurs années l'activité solaire va baisser lentement pour atteindre un minimum au moins aussi au bas qu'en 2008 vers 2020 si ce n'est pas plus bas vu l'irrégularité des champs magnétique du pôle Nord et Sud. Le champs magnétique solaire du pôle Sud a inversé sa polarité en mai 2013 avec un grand retard par rapport au pôle Nord. Il y a de forte chance que les 2 prochains cycles solaires ont une activité aussi basse voir certainement plus basse que celui que nous avons suite à une violation de la loi de G.O. dont ici vous avez des explications et preuves avec des graphiques : http://la.climatologie.free.fr/soleil/soleil2.htm Williams Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
passiion 0 Posté(e) 4 décembre 2013 (modifié) Par rapport à la dernière phrase: comment peuvent-ils dire déjà maintenant que le refroidissement ne compensera pas le réchauffement ??? Parce que ce n'est plus le facteur dominant. Même si l'on aurait un minimum de Maunder qui se produirait - si il arrive -, l'impact sur les températures globales ne serait pas plus important que 0,3 degrés. Dérisoire par rapport au forçage anthropique. On peut le calculer à partir des équations de forçage radiatif de toute manière, et on tombe effectivement dans cette fourchette : ∆T2100 = 0.7*0.25*0.8*0.67*∆TSI = 0.09*∆TSI ~ 0,3 C°. Une fois le minimum passé de toute façon on revient quasiment au même niveau que le scénario sans minimum. http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002....50361/abstract http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029...042710/abstract Modifié 4 décembre 2013 par passiion Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
paix 0 Posté(e) 6 décembre 2013 (modifié) Deux trois trucs comme cela. L'activité solaire déjà n'est finalement pas si basse. Le mois de Novembre a encore bien envoyé, et Décembre se défend bien pour l'instant : D'autre part, on voit que l'activité solaire baisse depuis les années 80, et pendant ce temps les températures vont dans le sens opposé : On peut toujours essayer d'argumenter que la faible activité solaire fait augmenter la température globale, mais cela devient un peu spécieux là... Enfin, passiion a tout à fait raison dans son calcul pour donner un premier ordre de grandeur de l'influence solaire. Il faudrait une variation de 1% de la TSI environ, soit de l'ordre de 10W/m², pour avoir quelque chose de similaire à un doublement de la concentration de CO2 : http://pubs.giss.nasa.gov/abs/ha01900k.html Modifié 6 décembre 2013 par paix Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites