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Les Forums de MeteoBelgique
Philippe

A propos du réchauffement climatique

Messages recommandés

Recent NOAA Study: Climate change not all man-made...

-> En gros, "NOAA études récentes: le changement climatique n'est pas du entièrement à l'homme"

On prépare le terrain, le retournement de veste se profile tout doucement...

Version traduite dans google:

http://translate.google.com/translate?hl=f...all-man-made%2F

La température mondiale décroit depuis 1998 mais bon tout ça passe inaperçu et puis bon, ce ne sera qu'une brêve période de refroidissement dans une tendance haussière paraît-il...

En tout cas, merci internet, de ne plus me laisser berner...

http://www.pensee-unique.fr/theses.html#lindzen2

Modifié par carlosjuan

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La pensée unique, c'est celle qui nous a mené à la crise financière, et donc aussi à ce réchauffement. Ne pas renverser les rôles, merci.

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La pensée unique, c'est celle qui nous a mené à la crise financière, et donc aussi à ce réchauffement. Ne pas renverser les rôles, merci.

La pensée unique climatique, nouveau concept de masse, dangereuse comme toute pensée unique...

Pour ma part, je pense que l'homme fait partie du système terre et que le seul moyen de modifier ce sytème terre est d'agir de manière exogène -> le soleil.

Comme le disait très bien Philippe lors de son exposé à Blégny,

la climatologie est une science où il y a tant à découvrir...

Toute pensée unique doit être remise en question (à tort ou à raison) dans le but d'évoluer.

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L'activité solaire est au plus bas depuis un siècle, les températures au plus bas depuis 10 ans. Mais on trouvera toujours une bonne raison pour dire qu'on a rien fait au climat.

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Malgré un soleil toujours aussi atone, les températures des trois premiers mois de l'année sont tout de même nettement plus chaudes que celles de l'année passée, et ce, dans des conditions Nina toujours présentes. Je ne sais pas si cela va durer, mais le fait est là. La température stagne , certes, mais ne baisse quand même pas énormément. Il va donc falloir attendre encore un peu avant de sabler le champagne et de proclamer la fin du réchauffement.

http://www.climat-evolution.com/

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J'ai lu hier que des scientifiques prévoyaient la disparition totale des glaciers estivales arctiques pour 2030. Il me semblait pourtant que d'autres voyaient 2020, voire même 2015. On a plus d'infos à ce sujet ?
Un élément de réponse pour ElNino27

Disparition de 80% de la glace arctique en été d'ici 30 ans (étude)

Quelque 80% de la banquise arctique en été pourrait disparaître à l'horizon 2040, au lieu de 2100 comme précédemment estimé, selon une nouvelle étude scientifique sur les effets du réchauffement climatique publiée jeudi aux Etats-Unis.

Les chercheurs ont appliqué des modèles de prédictions prenant en compte les toutes dernières évolutions de la calotte glaciaire dans l'Arctique, qui a subi une "réduction spectaculaire" à la fin des étés 2007 et 2008, quand la surface de glace avait atteint respectivement 4,3 et 4,7 millions de km2. La moyenne de ces six modèles "laisse envisager un Arctique pratiquement sans glace dans 32 ans", assurent les rédacteurs de cette étude conjointe entre l'Université de l'Etat de Washington (UW) et l'Administration océanique et atmosphérique américaine (NOAA). (BVH)

Source MSN News

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Il y a quand même des "amateurs professionnels" qui disent que ce sera encore bien plus tôt et que l'évolution des dernières années, notamment celle de la vieille glace (>5 ans) est inquiétante. Qu'en penser ?

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Il est vrai qu'à voir le recul très marqué de la glace âgé ces dernières années, il est possible que cela intervienne plus tôt. Cependant, cela supposerait une poursuite en l'état de la tendance très fortement baissière de ces dix dernières années. Or la banquise peut très bien durant les années à venir, stabiliser sa décrue, voire se refaire un peu.

D'autant que si la tendance linéaire plonge inexorablement après chaque été (au passage, cela veut dire que la régression linéaire n'en est plus une), elle est actuellement à -11,1% par décennie. En poursuivant linéairement la tendance, on devrait attendre jusqu'à 2080 pour voir disparaître la banquise. De plus, l'étude que cite Phillipe parle non pas d'une disparition totale, mais bien d'une perte de 80% de la banquise. Ce qui est effectivement plus représentatif je pense. Cela représente moins de 1,5 millions de km² de banquise en extent, autant dire pas grand chose, et sans doute rien en area.

Après, ce sont juste des éléments de réflexion, je n'ai pas vraimment de réponse à apporter :whistling:

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Allez, avant de coucher, encore quelques éléments de réflexion.

Voici à quoi ressemble, d'après la NOAA, la température moyenne mensuelle depuis 1993 environ avec la moyenne mobile sur 12 mois (1 an quoi...) et par par paliers la température moyenne anuelle. En admettant que les données soient à peu près exact, qu'il n'y ai pas de complot pour modifier les données, etc... on peut aussi tirer quelques idées pour mieux s'endormir se soir (Je sais, c'est pas bien de ne pas donner un nom aux séries. Maintenant que je m'en rend compte, je ne suis pas motivé pour rattraper cette erreur, :blush: ).

Déjà, et pour un paquet d'année, la mobile sur 12 mois en décembre, qui plus trivialement est la température moyenne annuelle annoncé, n'est pas toujours, et encore je modère mes expressions, représentatifs. Comme quoi, on a une vision qui manque de finesse des fois :whistling:

On retrouve sur cette moyenne mobile, des oscillations de très faibles amplitudes, mais on remarque néanmoins que chaque vague dépasse d'une courte tête la précédente, jusqu'à la mi-2007, où ce fut l'apothéose, avec en point d'orgue, l'atomisation de la banquise, du précédent record de la moyenne mobile de 1998, et l'établissement de toute une série de nouvelles références pour les températures de l'HN, et particulièrement ses terres (la douce Belgique n'ayant pas été épargné).

Après, on peut aussi remarquer que nous sommes dans le creux de la vague, et si on est descendu assez bas, on reste à un niveau honorable. Et derrière, la moyenne mobile remonte...

Tout ceci ne sont que des éléments sortis au hasard d'un dimanche ensoleillé que je ne savais pas comment occuper. Juste pour essayer de voir autrement le plongeon des températures depuis fin 2007.

P.S. : J'ai mis la régression linéaire de la moyenne mobile avec, histoire de faire bien. Pour être tout à fait honnête, cette régression est négative depuis 2002, mais n'est absolument pas significatif. Le chiffre significatif se trouve après le troisième zéro, c'est à dire un ordre 10 rapport à la tendance donnée ici.

essai.pdf

Modifié par paix

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Dans la continuité de me faire l'avocat du diable, ce petit article sur un blog qui donne une autre vision des chiffres récents de la NOAA...

http://philippulus.daily-bourse.fr/index.p...ment-Climatique

Alors l'arctique aurait-il atteint son point bas?

Modifié par carlosjuan

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Déjà, s'arrêter au mois de Mars est facile, c'est la période de l'année où le recul de la banquise est le moins marqué, et cela ce sait depuis bien longtemps. Il n'empêche que que la tendance linéaire, qui pour cette période de l'année semble adapté, n'est toujours pas remise en cause. De plus, quoi qu'en dise ce site, 2009 fait mieux que 2008 et Mars 2009 se place de peu derrière Mars 2004 à la cinquième place.

Pour prendre l'autre extrême :

"D'autant que si la tendance linéaire plonge inexorablement après chaque été (au passage, cela veut dire que la régression linéaire n'en est plus une), elle est actuellement à -11,1% par décennie. En poursuivant linéairement la tendance, on devrait attendre jusqu'à 2080 pour voir disparaître la banquise."

Cela reste vrai aujourd'hui :whistling: Septembre, même avec un minimum 2009 dans les environ de celui de 2005, continuerait à plomber la tendance linéaire de recul pour le mois de Septembre. Donc qu'effectivement, ce n'est plus une tendance linéaire, mais une polynômiale, et vers le bas. La variabilité inter annuelle n'est pas une raison pour remettre en cause une tendance. Depuis Septembre 2002, chaque mois de Septembre n'a fait qu'empirer la tendance linéaire, malgré un moi de Septembre 2006 meilleur que 2005, un mois de Septembre 2003 meilleur que 2002, ....

On verra bien en Septembre 2009, pour l'instant je n'ai vraiment d'idée de jusqu'où on tombera, mais l'interprétation statistique des données du NSIDC est un peu arrangée.

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Déjà, s'arrêter au mois de Mars est facile, c'est la période de l'année où le recul de la banquise est le moins marqué, et cela ce sait depuis bien longtemps. Il n'empêche que que la tendance linéaire, qui pour cette période de l'année semble adapté, n'est toujours pas remise en cause. De plus, quoi qu'en dise ce site, 2009 fait mieux que 2008 et Mars 2009 se place de peu derrière Mars 2004 à la cinquième place.

Pour prendre l'autre extrême :

"D'autant que si la tendance linéaire plonge inexorablement après chaque été (au passage, cela veut dire que la régression linéaire n'en est plus une), elle est actuellement à -11,1% par décennie. En poursuivant linéairement la tendance, on devrait attendre jusqu'à 2080 pour voir disparaître la banquise."

Cela reste vrai aujourd'hui :whistling: Septembre, même avec un minimum 2009 dans les environ de celui de 2005, continuerait à plomber la tendance linéaire de recul pour le mois de Septembre. Donc qu'effectivement, ce n'est plus une tendance linéaire, mais une polynômiale, et vers le bas. La variabilité inter annuelle n'est pas une raison pour remettre en cause une tendance. Depuis Septembre 2002, chaque mois de Septembre n'a fait qu'empirer la tendance linéaire, malgré un moi de Septembre 2006 meilleur que 2005, un mois de Septembre 2003 meilleur que 2002, ....

On verra bien en Septembre 2009, pour l'instant je n'ai vraiment d'idée de jusqu'où on tombera, mais l'interprétation statistique des données du NSIDC est un peu arrangée.

Personnellement, je concluerai que les chiffres, on leur fait dire ce que l'on veut bien que ce soit dans le sens du réchauffement ou pas. Une régression linéaire n' a de sens que lorsqu'on l'interprete selon son point de départ... C'est comme dire en simplifiant que le CO2 a augmenté depuis la naissance de l'industrie. Oui, ok si on prend comme point de départ le début de l'industrie. Le danger est de prendre des chiffres extrêmes et de s'en servir pour propager une idée. C'est actuellement ce qu'est en train de faire les médias de masse ainsi que les gouvernements. On arrête plus la machine climatique.

Autre exemple, "2008 est la dixième année la plus chaude depuis 1850" -> Comment faire passer que le climat ne se réchauffe plus depuis 10 ans? Pourquoi ne pas dire le climat se refroidit depuis 10 ans? Ca passerait pas bien dans les médias? Combien de temps devrons-nous attendre pour dire que le climat ne se réchauffe plus? 30, 50, 100, 1000 ans? On renforce la communication sur l'arctique? Et si la banquise arctique se remet à croître? C'est vrai que je pose bcp de questions mais que je ne donne pas bcp de réponse...

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Oui, et c'est bien là le problème. Les tendances linéaires du NSIDC ne vont pas au delà de 2010, car cela n'aurait aucun sens. C'est une modélisation des observations et non une projection. Et pour l'instant, la seule chose à constater, la tendance est baissière pour tous les mois de l'année.

À côté de cela, la NOAA a le droit de causer sur le recul de la banquise si elle veut. De toute façon, nous sommes encore loi d'être en 2040 pour vérifier leur projections. Si Dieu nous donne vie jusque là, on verra bien. On peut critiquer la méthode de la NOAA aujourd'hui, avec ce que l'on croit savoir de la climato, mais se servir des données du NSIDC pour remettre en cause les méthodes de la NOAA et même remettre en cause la tendance baissière, cela fait un peu chien qui se mord la queue.

Et pour le recul des températures depuis 10, voici la tendance de OOo 3.quelque chose d'après les données mensuelles de la NOAA (premier mois, Février 1999 : +0,6474 et dernier mois, Février 2009: +0,4859) : +0,00116669x+0,44015769 très précisément.

Si vous prenez depuis le mois de Février 1998, +0,8251, vous conservez une tendance positive avec +0,00063466x+0,47422071

Si vous prenez depuis le mois de Février 2002, +0,7593 (le dernier El Nino qui est un peu d'allure), vous avez -0,00057764x+0,572113143

Bonne nuit :whistling:

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Cette histoire m'a donnée envie de continuer à faire des stats. Je trouve cela marrant. Sur le blog climat évolution, Meteor avait déjà quelque part sorti la variation de la régression linéaire au cours du temps. Puisque j'ai toujours les données mensuelles de la NOAA sous la main, voila une vue de la régression linéaire sur 10 et 5 ans. On peut remarquer que le refroidissement climatique a commencé fin 2007 si on regarde sur une période de 5 ans, et n'a toujours pas commencé si on regarde sur une période de 10 ans. On remarque aussi le gros pic de l'année 1998, et la compensation en 1999/2000 assez faible. On peut aussi noter qu'à partir de 2003, la tendance redevient positive, alors que 5 avant, c'était 1998. En clair, On tient le niveau de l'année 1998 sans El Nino.

Essai_2.pdf

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Quoiqu'en pense, les 2 graphiques montrent une tendance à l'augmentation.

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Concernant la fonte de la banquise arctique, il y a comme un problème.

Sur la Noaa sst et sur Arctic atmos, on remarque de nombreuses trouées en plein milieu de la calotte polaire.

S'agit-il d'un bug, d'une mise à jour du satellite ou ces brêches sont elles réelles?

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C'est un bug pour les SST.

Pour l'instant, il n'existe pas encore de brèche dans la banquise, et la carte de l'Artic Atmos le confirme. On peut aussi le vérifier sur la carte de l'université de Brême : http://www.iup.uni-bremen.de:8084/amsr/arctic_AMSRE_nic.png. Par contre, on aperçoit effectivement des zones de faiblesse importantes de la banquise, ce qui est confirmé par ce doux mot de la NASA : http://www.nasa.gov/topics/earth/features/...ic_thinice.html. La situation en terme d'area est meilleure que 2008 à la même date, mais au niveau épaisseur et extent, on est au même point que l'année dernière. Le traumatisme de 2007 et de 2008 n'a toujours pas été digéré.

Il n'y a plus qu'a prier pour un été glacial au pôle Nord... :whistling:

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La pensée unique du réchauffement climatique commence à se sentir obliger de se justifier quant à l'influence solaire sur le refroidissement du climat...

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2720

Première critique: pourquoi la période de référence choisie est-elle celle de 1951-1980?

Comme on le voit très bien, cette période est particulièrement bien choisie pour mettre en valeur le réchauffement de ces dernières années...

En effet, cela doit être une des périodes d'après guère la plus froide...

Ah manipulation quand tu nous tiens...

Si on n'avait choisi une période plus récente genre 1970-2000, l'anomalie froide des Etats-Unis aurait été plus importante ...Ce qui aurait été embetant pour la théorie du réchauffement.

Morceaux choisis:

"le forçage négatif, par rapport au rayonnement solaire moyen est équivalent à sept années d’augmentation de CO2 au taux de croissance actuel. Il ne faut donc pas s’attendre à un nouveau “petit âge glaciaire”.

-> En clair, c'est le CO2 qui va gagner, na...

"Rayonnement solaire : le rayonnement solaire reste faible (fig. 4), au niveau le plus bas depuis que les mesures par satellite ont commencé à la fin des années 1970, et la période écoulée depuis le précédent minimum solaire est déjà de 12 ans, deux ans de plus que les deux cycles précédents. Cela a conduit certaines personnes à spéculer que nous pourrions entrer dans une situation de « Minimum de Maunder », une période de réduction du rayonnement qui pourrait durer des décennies. La plupart des physiciens étudiant le soleil s’attendent à ce que le rayonnement commence à augmenter dans les prochains mois. Il existe des indications, résultant de la polarité de quelques taches, montrant que le nouveau cycle serait en train de débuter."

-> En clair, ils n'en savent rien! Je rapelle que l'article date du 19 janvier... Et le soleil continue de s'enfoncer dans un sommeil profond...!

Pour conclure, ne me lynchez pas SVP!

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Je veux bien ne pas vous lyncher, mais qu'est ce que vous voulez que je dises ? Il n'y a que la NASA qui prend pour base 1950 à 1981. :whistling:

Le NCDC, c'est 1901 à 2000.

Le CRU, c'est 1961 à 1990.

Le NCEP/ NCAR, c'est la période que vous voulez.

Les données satellites, c'est 1979 à 1998.

MeteoBelgique, c'est 1971 à 2000.

Etc....

Pourquoi 1951-1980 ? Parce que 1971-2000 :whistling:

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Réchauffement. On a trop de pétrole !

Le réchauffement climatique, les émissions de carbone et gaz à effet de serre, on en parle dans tous les médias, mais peu le font avec clarté. Un ouvrage récent, 'Trop de pétrole", apporte de nombreuses explications frappantes. consoGlobe l’a lu pour vous et vous en proposera des analyses passionnantes.

Réchauffement climatique : plus ou moins inévitable en fonction du pétrole

Le GIEC et la communauté scientifique s’accordent désormais sur un scénario de réchauffement climatique en fonction des « profils d’émission de CO2 » à partir du niveau d’émission actuel. Le scénario central décrit, après stabilisation, une augmentation de température moyenne de 2,7°C, plus ou moins: 2.7°C si la concentration de dioxyde de carbone dépasse 450 ppm *Pour que la concentration ne dépasse pas ; 3°C si la concentration de dioxyde de carbone dépasse 450 ppm. Cela ne se produira que si les émissions de gaz carbonique sont divisées par 2 en 2050. On en est loin comme on l’a expliqué dans un article récent sur la demande énergétique mondiale.

*L'augmentation serait de 6°C plus ou moins 6°C si la concentration de dioxyde de carbone atteint 1000 ppm. Malgré les incertitude on peut estimer que la moitié de la fourchette d'évolution des températures de 2 à 8°C proposée par le GIEC relève de l'incertitude scientifique et l'autre moitié des émissions futures de C02, autrement dit des activités et décisions de l'humanité.

Tout le monde s’accorde à dire qu’une hausse moyenne de température de 3°C (atteinte si les émissions sont de 1000 milliards de tonnes de carbone (gigatonnes de carbone, Gtc) créerait déjà de très graves difficultés climatiques, une catastrophe en réalité.

Si sur 200 ans, les émissions de carbone atteignent 2000 Gtc, la hausse des températures sera de 5°C ; une évolution énorme dans un temps aussi petit à l’échelle de l’histoire de la planète.

Il y a trop de pétrole disponible.

La quantité de réserves de pétrole et de gaz présents sur terre ainsi que des réserves de charbon, autre énergie fossile, représente 5000 milliards de tonne, soit 1200 Mds de t de carbone sous forme de pétrole et de gaz et 3700 Mds en ressources charbon. Tout le charbon n’est pas exploitable et on estime que les ressources fossiles exploitables représentent plus de 3000 milliards de tonnes.

La différence entre 1000 milliards et 3000 mds fait réfléchir : pour que la hausse de température ne dépasse pas 3°C, il faut que les hommes ne touchent pas aux deux tiers des réserves présentes dans le sous sol de la planète (charbon, pétrole, gaz) dans les deux siècles à venir.

C’est pourquoi, Henri Prévot, dans son ouvrage « trop de pétrole » affirme qu’on a trop de pétrole. En effet, quelles que soient les capacités et les solutions de stockage du carbone qui seront mises en œuvre, le constat demeure incontournable : pour éviter une catastrophe climatique, les hommes doivent s’imposer de ne pas toucher à la moitié des réserves accessibles qui sont sous leurs pieds. Aurons-nous cette sagesse ?

Ce constat, ce fait indéniable soulève un problème pratique aux économies modernes.

Un dilemme énergétique et économique

Si le prix du pétrole reste élevé, cela correspondra à une forte consommation et donc au renoncement à contenir le réchauffement par effet de serre. Si nous luttons avec détermination contre le réchauffement, nous allons contenir la demande en pétrole, renoncer à extraire une grande partie des ressources de pétrole – gaz – charbon disponibles et alors le prix du pétrole restera bas.

Autrement dit, un prix du pétrole élevé correspond à un renoncement à combattre l’effet de serre et le réchauffement climatique. H. Prévot note bien qu’à court-moyen termes, on peut venir à manquer temporairement de pétrole, le temps que le charbon prenne éventuellement le relais (ce qui serait une catastrophe).

Mais à l’horizon de plusieurs décennies, c’est incontournable : « on ne peut lutter contre l’effet de serre et le réchauffement que si l’on consomme pas toute l’énergie fossile disponible. »

Pour aller plus loin sur le réchauffement climatique

Impact sur le réchauffement : émissions de CO2 par type d’énergie

Les émissions en C02 du nucléaire sont très faibles, proches de celles de l’éolien et bien loin du charbon qui est la forme d’énergie qui émet le plus de dioxyde de carbone. En fait ce sont les émissions qui sont enregistrées pendant la construction des centrales qui sont mesurées ; la production en elle-même étant neutre.

Nucléaire : 19 kg équivalent carbone par tonne équivalent pétrole

Eolien : 32 équivalent carbone par tonnes équivalent pétrole

Solaire photovoltaïque : 316 équivalent carbone par tonne équivalent pétrole

Gaz Naturel : 651 kg équivalent carbone par tep

Pétrole - essence : 830 kg équivalent carbone par tep

Diesel - fioul : 856 kg équivalent carbone par tep

Charbon : 1123 kg équivalent carbone par tep

Source: http://www.consoglobe.com/

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Jean-Louis Borloo ministre français de l'Ecologie, de l'Energie et du Développement durable dévoile son plan pour le solaire

INTERVIEW - Le ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable lance notamment un appel d'offres pour construire une grande centrale photovoltaïque par région.

Jean-Louis Borloo se déplace vendredi dans la région de Chambéry pour une visite placée sous le signe de l'énergie solaire. Au menu, l'annonce de mesures pour que la France accélère son développement dans cette énergie très prometteuse.

LE FIGARO. - Vous dites que la France doit jouer un rôle de tout premier plan dans le développement de l'énergie solaire. Quels sont les grands axes de la stratégie dévoilée vendredi ?

Jean-Louis BORLOO. - D'abord et avant tout, accélérer les raccordements au réseau des infrastructures solaires, en simplifiant toutes les procédures. C'est d'autant plus crucial que, depuis le Grenelle de l'environnement, la progression des capacités de production photovoltaïque correspond à la moitié de ce qui a été réalisé au cours des dix dernières années.

Ensuite, l'État lance vendredi l'appel d'offres visant à implanter d'ici à 2011 au moins une centrale solaire dans chaque région, pour une puissance totale de 300 MW. Cela permet d'alimenter en électricité l'équivalent d'une ville de 150 000 habitants. Ce programme représente un investissement de 1,5 milliard d'euros, réparti sur tout le territoire.

Au cours des derniers mois, la valeur de plusieurs entreprises liées aux énergies renouvelables a chuté de manière spectaculaire. Cela correspond-t-il à une perte de confiance dans cette industrie ?

La crise financière a sans doute eu un impact sur les actions des entreprises, mais je rappelle que le secteur des énergies renouvelables connaît une croissance à deux chiffres depuis plusieurs années. Un exemple : la capacité du photovoltaïque a été multipliée par 2,5 sur la seule année 2008, et l'appel d'offres sur les centrales solaires va permettre de multiplier encore par 5 en quelques mois.

Si on analyse la trajectoire des compagnies vertes, on mesure qu'elles sont un bon amortisseur de crise et qu'elles créent de l'emploi : les énergies vertes amorcent leur expansion. Au contraire, le potentiel est tel que l'on ne peut que progresser.

Vous annoncez vendredi la création d'une équipe de France dédiée à la recherche et l'innovation dans les énergies nouvelles. Qu'est-ce que cela recouvre exactement ?

Le Grenelle de l'environnement va permettre de passer à la vitesse supérieure dans la recherche, notamment dans le solaire avec une enveloppe de 130 millions d'euros sur la période 2009-2012. Mais pour articuler parfaitement cet effort, en accord avec Valérie Pécresse, nous allons mettre en place une nouvelle organisation de la recherche dans le domaine des nouvelles technologies de l'énergie. Nous voulons mieux structurer la valorisation industrielle de cette recherche autour de plusieurs organismes de référence, comme le CEA, l'IFP et l'INES.

Nous avons sollicité l'aval du président de la République et du premier ministre afin de créer un fonds d'investissement dédié aux énergies nouvelles, doté d'un budget annuel de 100 millions d'euros.

Ces dernières semaines, on a surtout parlé de la filière nucléaire française. N'est-ce pas au détriment de l'essor du renouvelable ?

Pas du tout. Au-delà de l'EPR, les véritables augmentations de la capacité de production électrique française reposent sur les énergies renouvelables. La croissance verte du Grenelle de l'environnement est source de compétitivité. Elle crée des emplois et optimise le fonctionnement d'un grand nombre d'infrastructures. La France est véritablement en train de prendre ce virage.

Source : Propos recueillis par Frédéric de Monicault

Sur LE FIGARO.fr au lien :

http://www.lefigaro.fr/vert/2009/05/15/010...le-solaire-.php

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Le meilleur combustible : l'efficacité énergétique

Énergie. Environnement. Économie. Ces trois forces contribuent au niveau et à la qualité de la vie, et c'est vrai depuis que les premiers hommes ont appris à faire du feu et à cultiver la terre. Or en ce XXIe siècle, la nécessité de maintenir un équilibre précieux entre ces trois forces revêt une nouvelle urgence. Les réserves de carburants fossiles qui alimentent la productivité depuis l'ère industrielle commencent à s'amenuiser, ce qui affecte l'économie mondiale. De plus, ces combustibles contribuent au changement climatique.

Le développement à l'échelle massive de sources propres et renouvelables d'énergie pour remplacer ces combustibles fossiles est en cours sur plusieurs fronts. Mais tant qu'on n'aura pas trouvé des moyens de produire et de distribuer ces énergies renouvelables à grande échelle, l'utilisation parcimonieuse des sources existantes demeure sans doute le moyen le plus rapide, le moins coûteux et le plus propre de répondre aux futurs besoins énergétiques.

Il n'est pas besoin d'augmenter la production énergétique pour rentabiliser un peu plus l'actuel niveau de consommation énergétique. Ainsi, l'efficacité coûte moins cher et est plus facile à obtenir que n'importe quelle autre forme de production. Parce qu'elle n'augmente pas les émissions de gaz à effet de serre, c'est également la source d'énergie la plus respectueuse de l'environnement.

Sur le plan mondial, la croissance prévue de la demande énergétique n'est pas tenable. L'efficacité énergétique et les économies d'énergie joueront un rôle fondamental de modérateurs de la demande.

Les États-Unis ont un bilan impressionnant de recours à l'efficacité énergétique. Selon l'Administration des États-Unis pour l'information sur l'énergie, l'énergie consommée pour produire un dollar de PIB a baissé de plus de 50 % depuis 1970.

Mais il y a moyen de réaliser encore plus de progrès dans ce domaine, et dans les pages de cette revue vous trouverez certaines des multiples stratégies que des individus, des organisations et des gouvernements locaux mettent en ouvre pour atteindre cet objectif.

Un plan national de promotion de l'efficacité énergétique implique tous les intervenants du secteur de la production énergétique et des mécanises de réglementation et, dans cette revue, des responsables décrivent ses objectifs. Energy Star, une initiative reposant sur la coopération entre l'industrie, le gouvernement et les consommateurs, vise à renforcer l'efficacité énergétique des habitations et des entreprises tant sur le plan national qu'international. Les gouvernements des États fédérés se tournent également vers l'Europe pour importer des idées de rendement énergétique. Les consommateurs font preuve de beaucoup de créativité dans l'adoption des principes de l'efficacité énergétique et sensibilisent leur collectivité au problème. Enfin, des experts, se plaçant d'un point de vue international, expliquent comment diverses normes culturelles peuvent influencer le succès de ces stratégies.

Dans le programme de relance économique qu'il a promulgué plus tôt cette année, le gouvernement Obama a augmenté de presque 17 milliards de dollars l'enveloppe consacrée aux programmes d'efficacité énergétique. Il a ainsi confirmé que puiser dans les ressources de l'efficacité énergétique était un impératif national.

(Diffusé par le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat.

eJournal USA

Revue électronique du département d'État des États-Unis

Volume 14, numéro 4

Avril 2009

Site Internet : http://www.america.gov/fr/)

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Changements climatiques : cap vers Copenhague

Le Réseau Action Climat France vient de publier une brochure à destination des citoyens sur les enjeux de la prochaine conférence internationale sur les changements climatiques qui aura lieu cette année à Copenhague (7 au 18 décembre).

La rencontre de Copenhague est en effet capitale car elle doit permettre la mise en place d’une lutte globale contre les émissions de gaz à effet de serre qui dérèglent nos climats.

Cette brochure souhaite expliquer simplement pourquoi il est urgent d’agir et comment fonctionne le système international de lutte contre les changements climatique.

Le RAC-F, ses membres et d’autres partenaires ont également souhaité montrer quels sont les 4 points cruciaux qui permettront de dire que la conférence de Copenhague est un succès !

Publication de 9 pages, format A5, couleur.

Pour plus d'information : http://www.rac-f.org/article.php3?id_article=1498

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Les armées face au réchauffement climatique

A son tour, le milieu de la défense en France se préoccupe des conséquences géostratégiques du réchauffement climatique. Un récent colloque [1] a permis d’en lister un certain nombre :

accroissement des tensions dans des zones déjà fragilisées ;

fréquence accrue des occurrences de conflits ;

sur-militarisation et tentation de prise de contrôle ou de limitation d’accès à des zones stratégiques (détroits, océan Arctique) ;

crispations autour des gisements de ressources énergétiques, aux réserves de plus en plus limitées ;

intervention croissante des armées dans des missions humanitaires ou d’aide à la gestion de crises, etc.

Parmi les éléments mis en valeur au cours de ce colloque :

le raidissement actuel autour de l’Arctique, longtemps sujet « congelé » (Inuit, Ours) et « impensé de la géopolitique », mais devenu un des « must », en raison du recul de la banquise qui suscite de nouveaux appétits (« La bataille du grand Nord a commencé ») ;

la rareté croissante de l’eau, notamment dans les zones urbaines denses, avec, par exemple, une baisse de 4 à 5 mètres par an du niveau des nappes phréatiques dans l’agglomération de Pékin ;

le retour possible d’une « hydro-diplomatie », autour du partage des eaux des fleuves et rivières (Tigre-Euphrate, Jourdain, Indus, Nil, etc) ;

les graves conséquences pour l’Asie d’une fonte des glaces de l’Himalaya (inondations).

Réfugiés climatiques

Tout en appelant pour la plupart à ne pas céder au « journalisme de l’épouvante », à ne pas confondre évolution climatique et dégradation de l’environnement [2] et à éviter l’amalgame – souvent décrédibilisant – entre changement climatique et catastrophe, plusieurs intervenants n’ont pas éludé le scénario des « réfugiés climatiques », faisant mouvement par exemple à l’intérieur du continent africain, ou cherchant en plus grand nombre qu’aujourd’hui à pénétrer en Europe. Tout dépend de la quantité, du rythme, de l’intensité de la pression migratoire. Il n’est pas exclu de faire appel à des moyens militaires – même si, a souligné un ancien ministre - « des garde-côtes européens tirant sur des barques, on ne veut pas voir cela ! » [3].

Ces perspectives ont un impact sur l’engagement des forces : dans des conflits de type asymétrique, au cœur des zones habitées (Lire Comment les armées se préparent au combat urbain, Le Monde diplomatique, mars 2009), où les unités doivent disposer d’une capacité autonome en énergie, de moyens de géo-localisation et de communication jusqu’à l’échelle individuelle ; et pour des missions le plus souvent de contrôle, sécurisation, ou stabilisation, plus que pour des missions armées classiques.

Les perspectives climatiques ont également des conséquences sur le « formatage » des unités, avec l’accent mis de plus en plus sur :

les forces type « maintien de l’ordre », disposant d’un armement non létal, entraînées aux techniques de contrôle de foules ;

les forces maritimes de surveillance et secours type « garde côtes » ;

les unités et missions type protection civile, à mi-chemin entre militaires et humanitaires.

Ces perspectives imposent également une meilleure anticipation : lancement de missions prospectives pour une évaluation plus fine des menaces ; étude des moyens et scénarios de riposte, impliquant une révision des accords de coopération, la négociation de partenariats civils et militaires, la mise au point de plans de sécurisation, voire d’intervention, etc. Mais la planification reste un exercice difficile, dans les armées, où les décisions prises en matière d’équipement structurent les moyens et missions pour les 15-20-25 ans à venir…

Prise de conscience

En France, dès mars 2006, le Haut Comité français pour la Défense civile (HCFDC) avait organisé un premier colloque à propos de « l’impact des changements climatiques sur la protection des populations ». En 2007, la Délégation aux affaires stratégiques (Das) du ministère de la Défense avait convoqué un séminaire de prospective : « 2040 – évolutions climatiques et enjeux géostratégiques ».

L’Union européenne a également reconnu l’impact profond du changement climatique sur la sécurité internationale. Dans un document de mars 2008, le haut représentant pour la diplomatie de l’Union, M. Javier Solana, préconisait le développement de meilleures capacités européennes de prévention des conflits et d’intervention en cas de catastrophe – une prise de conscience attisée par la vague d’incendies en Grèce, l’année précédente.

Un colloque organisé en mars 2007 par le Triangle Institute for Security Studies (TISS) en Caroline du Nord) avait montré que l’armée américaine étudie elle aussi les répercussions géostratégiques du réchauffement climatique, se préparant à de nouveaux défis (comme la multiplication des conflits de l’eau), à des interventions humanitaires plus fréquentes, ou à une redéfinition de ses propres besoins et nuisances sur le plan énergétique. Le conseil de sécurité des Nations unies avait tenu pour la première fois en avril 2007 une réunion consacrée aux implications politiques et sécuritaires du réchauffement de la planète, la modification des schémas climatiques étant susceptible - selon le secrétaire général de l’ONU – de générer des tensions et les conflits supplémentaires.

Notes:

[1] « Conséquences géostratégiques du réchauffement climatique », 9 avril 2009, organisé par le Collège interarmées de Défense à l’Ecole militaire.

[2] Cela fait longtemps que les pays africains, par exemple, sont aux prises avec la désertification et à la déforestation. Et que certains Etats en « faillite écologique » sont de véritables « bombes sanitaires » (choléra, paludisme, sida).

[3] Hubert Vedrine, ancien ministre des Affaires étrangères.

Source: Philippe Leymarie, http://blog.mondediplo.net/2009-05-04-Les-...ment-climatique

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Sauvetage de la mer d'Aral

Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a salué la décision des pays riverains de la mer d'Aral de débattre de la gestion de l'eau, notamment face aux changements climatiques. Dans un rapport au Conseil de sécurité sur le Fond international pour sauver la mer d'Aral, qui se réunit à Almaty, au Kazakhstan, le Secrétaire général se dit encouragé de ce qu'une telle question écologique soit discutée au plus haut niveau.

"Le Fonds international a une position idéale pour faciliter le développement de solutions bénéfiques durables entre pays d'Asie centrale", y affirme-t-il, soulignant que "toute discussion sur la mer d'Aral doit reconnaître la menace croissante des changements climatiques"."Les Nations Unies considèrent que la volonté des dirigeants à trouver des solutions mutuelles dans ce domaine est extrêmement importante", a déclaré à cet égard le représentant spécial du Secrétaire général pour l'Asie centrale et chef du Centre régional pour la diplomatie préventive de la région, Miroslav Jenca, qui participait au sommet d'Almaty.Ce dernier a offert l'assistance de ses bons offices pour la région.

Selon la presse, la mer d'Aral est en cours d'assèchement depuis les années 1960. En 2007 il ne restait plus que trois lacs représentant 10% du bassin de la mer qui était autrefois une masse d'eau unique. L'accroissement de la salinité a tué pratiquement toute trace de faune et de flore.

source : enviro2b

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