maxous 0 Posté(e) 8 septembre 2006 Merci Pierre Laissons Maxime poser une question Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 8 septembre 2006 Il y a souvent des CB quand même, quand le Tm est en instabilité conditionnelle. Je crois que beaucoup de livres de météo simplifient trop en mettant les Ns au front chaud et les Cb au front froid. Bib avait répondu aussi, au fait Une question? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
huymétéo 0 Posté(e) 15 septembre 2006 Plus de questions apres une semaine? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 16 septembre 2006 Plus de questions apres une semaine? Bernadette, une question ,Bernadette, une question Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 16 septembre 2006 Bon , vous l'aurez voulu ! Pourquoi les orages donnent-ils souvent l'impression de se déplacer conntre le vent ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 16 septembre 2006 Je crois que j'ai une réponse (longue ), mais je me tais.... Sauf si personne ne répond.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 16 septembre 2006 Il est aussi possible de répondre en une phrase ou un dessin... Ton explication longue intéressera de toutes façon plus d'un d'entre nous ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 16 septembre 2006 Essayons (qui ne risque rien n'a rien) Si, à un moment donné, la force et la direction des vents augmente avec l’altitude de façon linéaire, le courant ascendant de convection n’est plus à la même position que le courant descendant avec la précipitation. Ceci produit un front de rafale qui s’éloigne en arc du cœur de précipitations et repousse la zone d’ascension. Un surplomb de précipitation s'est formé alors que les vents dominants de surface viennent de cette direction. On a donc l'impression que les nuages vont dans le sens inverse du vent au sol. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 16 septembre 2006 C'est juste, tu aurais même pu dessiner le courant divergent tout autour du nuage: tu as dessiné le moment critique où la pluie commence à tomber, et après, tout le nuage "descend". En fait, il y a trois phases de formation de l'orage "de masse d'air": 1. la formation: une colonne d'air monte te forme le nuage, et à la base, l'air est "aspiré" et donc converge vers le nuage. 2. La maturité: c'est quand il commence à y a voir des courants ascendants ET rabattants, c'est souvent quand il a atteint la tropopause et forme un enclum.(mais parfois plus tôt) Les courants sont toujours convergents 3. La dissolution: quand tout le nuage s'effondre en pluie: il y a d'abord un violent courant rabattant, puis le phénomène que tu décris. Dans les 3 stades, le vent au sol ne correspond pas souvent au vent en altitude: voilà la réponse à la question. Piet, on attend ton complément d'info ! Maxous: à toi ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 16 septembre 2006 (modifié) En effet Bernadette, j'ai pris un raccourci dans la dynamique des fluides mais tu avait dit un dessin Question facile: Quels sont les trois types possible d'inondations si l'on exepte les cas suivants: - lors d'une tempête ou d'un cyclone ou d'un raz de marée il y a souvent une submersion des zones littorales ; - lors d'une destruction d'un ouvrage (barrages) ; - lors des crues soudaines Modifié 16 septembre 2006 par maxous Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 24 septembre 2006 En panne le quizz allez, c'est facile Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 24 septembre 2006 Bon, je dirais: - l'inondation dans les paroles d'un interlocuteur atteint de loghorée - l'inondation dans l'alcool - l'inondation par l'eau de l'orage qui a dévalé le champ du fermier a deux kilomètres et qui est arrivée jusqu'ici parce que les égoût étaient bouchés parce que ce fermier est trop sale et alors l'eau est arrivée avec plein de purin de fumier et de paille et aussi un seau vide qui flottait dessus et qui est allé boucher la sortie de la cour où j'habite alors que mon arrosoir a bouché l'autre sortie alors la cour s'est remplie d'eau de boue puante et de paille jusqu'à una mètre et ma voiture était toute noyée foutue et l'eau est monté à 30 cm dans ma maison elle rentrait même par les fenêtres et alors j'ai ouvert la porte du jardin et tout ce qui flottait est parti dans le ruisseau parce que le jardin était aussi inondé entièrement les poules étaient dans les arbres et le chat sur le mur et mes mulots noyés et il y a eu plein de dégats chez moi et à cette époque les assurances ne couvraient pas l'eau qui vient de l'extérieur sauf pour la voiture cela venait de changer mais elle n'a quand même plus jamais bien marché. (en juin il y a 4 ans: authentique) ce n'est pas cà ? Alors je sors Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
maxous 0 Posté(e) 24 septembre 2006 Presque cela Bernadette Les réponses: Par débordement direct : Une inondation peut avoir lieu quand une rivière déborde donc le cours d'eau sort de son lit mineur pour occuper son lit majeur alors il envahit des vallées entières. Par accumulation d'eau ruisselée : Lorsqu'il y a une capacité insuffisante d'infiltration ou d'évacuation des sols ou du réseau de drainage lors de pluies anormales. Ces inondations peuvent se produire en zone urbanisée, en dehors du lit des cours d'eau proprement dit, quand font obstacle à l'écoulement normal des pluies intenses, l'imperméabilisation des sols et la conception de l'urbanisation et des réseaux d'assainissement (orages, en particulier de type cévenol) Par débordement indirecte : Les eaux remontent dans à travers les nappes alluviales, dans les réseaux d'assainissement dans des points bas localisés... par effet de siphon Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 24 septembre 2006 Ca alors, c'est une surprise ! Ben voilà, j'aurai appris quelque chose ! "Mon inondation était donc 1+2+ l'arrosoir et le seau. Je peux poser une question, alors ? De quelle couleur sont les ombres et pourquoi ? Non non, elles ne sont pas grises: regardez bien ! On n'emploie JAMAIS le noir en peinture artistique... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
sympas 0 Posté(e) 24 septembre 2006 Le noir est une couleur blanche très foncée Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 24 septembre 2006 (modifié) Le noir est une couleur blanche très foncée ou alors c'est la couleur quand il n'y a pas de couleur... cela me fait penser à ceci Poésie populaire d'Afrique du Sud Lorsque je nais, je suis noir Lorsque je suis malade, je suis noir Lorsque j'ai froid, je suis noir Lorsque j'ai peur, je suis noir Lorsque je vais au soleil, je suis noir Toi, homme blanc, Tu nais, tu es rose Tu grandis, tu es pêche Tu es malade, tu es vert Tu as froid, tu es bleue Tu vas au soleil, tu es rouge Et lorsque tu meurs, Tu es mauve Et tu oses me traîter d'homme de couleur!!! Et encore: il oublie de dire que quand on a trop bu, on est aussi noir ! Modifié 24 septembre 2006 par bib Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 1 octobre 2006 (modifié) De quelle couleur sont les ombres et pourquoi ? Bon, relançons un peu le quizz parcequ’il se meure un peu ces temps-ci… Pour la couleur des ombres, j’ai une idée d’explication, mais Bib me corrigera si c’est faux : D’abord, petit préambule pour expliquer pourquoi telle matière possède telle couleur : lorsqu’une surface est éclairée, elle va renvoyer une fraction des rayons lumineux (par réflexion et par diffusion) qui l’éclaire et ce, avec une gamme de longueur d’onde propre à chaque surface. Si la fraction des rayons lumineux qui est renvoyée (par réflexion et diffusion) se fait surtout dans les longueur d’ondes entre 600 et 700 nm, la surface apparaîtra à nos yeux comme rouge. Si le spectre des rayons qu’elle renvoit se situe entre 400 et 600 nm, mais avec une nette dominante vers 450 nm, la surface apparaîtra bleutée….Etc Etc… Donc, quand on parle de pigments « rouge », cela signifie qu’il s’agit de pigments qui vont réfléchir la lumière qu’ils reçoivent majoritairement dans les 650 nm. Notons au passage que les surfaces vont parfois renvoyer le rayonnement incident (voire émettre tout seuls comme des grands, notamment au niveau des IR) dans d’autres longueurs d’onde que le domaine visible (par exemple l’infra-rouge ou l’ultra-violet), mais notre œil ne sera pas capable de la percevoir. J'ai mis un petit graphique résumant le spectre électromagnétique en fichier attaché. Pour les ombres, il me semble que la couleur doit donc être GROSSO-MODO la même que celle de la surface éclairée, mais en plus sombre…. Et cela si les surfaces proches n’ont pas une couleur fort différente. Si une surface éclairée par le soleil apparaît rouge, sa partie ombragée sera aussi (à priori) dans les tonalités de rouge, mais très sombre, de sorte que l’ombre peut faussement apparaître comme grise, voire noire. En fait, la surface ombragée ne bénéficiera pas de l’éclairement par un rayonnement direct, mais plutôt par le rayonnement indirect. Le rayonnement arrivant sur elle (indirect) étant plus faible, elle réfléchira toujours ce rayonnement dans des longueurs d’ondes propre à elle (ici le rouge), mais de manière faible (d’où l’aspect sombre). Maintenant, si à proximité de cette surface rouge se trouve une ou plusieurs surfaces d’une autre couleur (par exemple verte) très fortement éclairée, ça doit tout de même un peu interférer, mais là on va partir sans des détails sans fin (du style : le type d’ombre ne sera pas le même si il y a un éclairement par le soleil ou par une lampe, pas le même d’un type de lampe à l’autre….Etc Etc…). Bon, et au passage, je vais mettre le petit complément sur les orages mentionnés plus tôt dans le quizz. Puis on passera sur la question des courants marins froids, qu’en penses-tu Bib (cf un des derniers posts de phénomènes climatiques en direct) ? Allez !! le quizz doit se réveiller !! Modifié 1 octobre 2006 par Piet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Myriam 0 Posté(e) 1 octobre 2006 Une explication très ludiques des ombres Ombres et lumière Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 1 octobre 2006 Piet, on attend ton complément d'info ! biggrin.gif Et voilà le complément d'info pour les orages: Vous avez expliqué pourquoi un orage semble souvent avancer dans une autre direction que le vent au sol en considérant ce qui se passe au sein d’une cellule orageuse, prise isolément. C’est l’essentiel de la réponse, mais ce complément porte sur une vision à plus grande échelle, dans l’espace et dans le temps. Prenons le cas d’une cellule isolée (cf graphique) : mettons-nous dans une situation « X » (n’allez pas penser mal, petits galopins…) une après-midi d’été durant laquelle on a un flux de sud et une masse d’air potentiellement instable (sans qu’il y ait de système frontal). Les cumulus bourgeonnent et une première cellule arrive enfin au stage du cumulonimbus : nous appellerons cette cellule « Marie-Antoinette » (c’est comme ça, un point c’est tout). Comme l’a fait remarqué Maxous, le vent synoptique évolue avec l’altitude, que ce soit en force et en direction. Dans le cas présent, disons qu’il est de sud en surface, vire un peu sud-ouest aux moyennes altitudes alors qu’il souffle presque d’ouest à très haute altitude (sommet de la troposphère). Bon, la différence perçue entre l’évolution de la masse nuageuse et le vent au sol est en grande partie liée à la circulation à l’intérieur de « Marie-Antoinette » quand on est SOUS l’orage ou très près (comme vous l’avez expliqué précédemment). MAINTENANT, mettons-nous à la place d’un observateur plus en retrait par rapport à l’orage et donc ne subissant pas la circulation interne de « Marie-Antoinette » (j’ai dit qu’on ne pensait pas mal….bande de dévergondés). Cet observateur, alors que le vent souffle de sud à sa hauteur, verra pourtant la zone active de l’orage partir plutôt vers le nord-est que le nord, comme on aurait pu le penser avec un vent de sud en surface (s’il n’est pas très observateur ou qu’il s’en fout, il ne verra pas cette nuance). En fait, le flux à moyenne altitude est une meilleur indication que le flux dans les toutes basses couches pour avoir une idée du déplacement d’une cellule convective. Dès lors, avec un vent de sud-ouest aux moyennes altitude, le gros du corps de « Marie-Antoinette » partira vers le nord-est, tandis que sa délicate chevelure (enclume du cumulonimbus) s’étendra vers l’est, puisque c’est le vent à proximité de la tropopause (d’ouest dans notre exemple) qui dictera son évolution. Le tout se terminera de manière dramatique avec la lente mort de Marie-Antoinette après une heure ou deux s’il s’agit d’un orage isolé et que les conditions atmosphériques ne sont pas propices à des développements plus organisés. Voilà pourquoi, même à l’extérieur de l’orage, on a l’impression que le déplacement de ses différentes parties ne correspond pas totalement au vent en surface. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 1 octobre 2006 Ce n’est pas tout ! Imaginons qu’au lieu d’un seul orage isolé, la journée soit propice à des développements orageux plus nombreux. Laissons tomber « Marie-Antoinette » (elle est morte) et appelons nos cellules orageuses C1, C2, C3…(ça fait plus sérieux), en fonction de l’ordre dans lequel elles arrivent au stage d’orage. On va considérer que le flux aux différentes altitudes est le même que dans le cas précédent. Sur le graphique ci-dessous, le cellule C1 va avoir le même destin que « Marie-Antoinette » avec, comme précédemment, les même petits décalages entre le vent en surface et l’évolution générale de la cellule. Rajoutons maintenant d’autres cellules qui vont se développer par la suite (C2, puis C3, puis C4…), tandis que C1 va lentement mourir, suivit du décès de C2. Ces cellules vont faire leur apparition ici et là dans les alentours et on aura l’impression que l’orage se propage dans diverses directions (à raison et à tort puisqu’il ne s’agira pas de l’orage initial, mais d’autre orages se formant dans les parages). Au final, en fin d’après-midi et en soirée, au aura droit à un gros amas orageux fait d’une vaste couche de nuages cirriformes en altitude (amalgame de toutes les enclumes) dans lequel seront noyés les orages proprement dits. Pour faire le lien entre le vent en surface et l’évolution de cette masse nuageuse, faudra être sacrément concentré….Même si, vu d’un satellite, ce « blob » orageux aura tendance à avancer plus ou moins vers le nord-est ou une direction du genre. Maintenant, on parle ici d’orages de masse d’air, sans qu’il y ait une évolution plus organisée que l’on pourrait avoir sur une ligne de convergence, un front instable,….etc Voilà pour le complément. Bib, on attend ton verdict sur les ombres pour passer aux questions suivantes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
bib 0 Posté(e) 1 octobre 2006 Eh bien je vous tire mon chapeau ! Magnifiques explications sur le Cb, Marie Antoinette et Cie. Pour les ombres, il faudra que je relise tout cela à l'aise. Mon expéreince est plus "simple": c'est l'observation, en tand qu'artiste: j'ai observé les ombres des centaines de fois, et ma conclusion est qu'elles sont bleues, ou bleu-gris quand le ciel est couvert. Près d'un objet, la réflexion partielle de la lumière ambiante sur l'objet entraîne, en effet, une nuance de la même couleur, très importante en peinture, mais limitée au voisinage immédiat de l'objet. Pour observer cela dans des conditions le plus neutre possibles, le mieux n'est-il pas d'observer les ombres dans la neige ? Il est clair qu'elles ont la couleur du ciel. My, ton lien a l'air super, mais je n'arrive pas à démarrer les vidéos. Piet: vas-y pour les courants, combinés avec mes chers "upwellings". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 1 octobre 2006 Piet: vas-y pour les courants, combinés avec mes chers "upwellings". Allez, c'est parti alors... En référence à ce qui a été dit il y a un jour ou deux dans le sujet "phénomènes climatiques en direct", qu'est-ce qu'un upwelling et quel est le nom des différents courants marins froids longeant les côtes occidentales des différents continents aux latitudes subtropicales? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 1 octobre 2006 ps: tout le monde est invité à répondre, même les experts.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
dada 0 Posté(e) 2 octobre 2006 Un upwelling est un courant marin froid qui remonte le long d'une cote. Par exemple a Los Angeles ou la grande crainte des organisateurs des J.O. en 84 était d'avoir un upwelling a ce moment-la car l'eau froide de la mer aurait créé du brouillard qui aurait pu perturber les J.O. Il y en a aussi en amérique du sud au niveau du Chili et du Pérou mais je ne connais pas leurs noms... Je ne me rappelle pas en avoir vu le sujet qui en parlait, je vais aller jeter un oeil... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Piet 0 Posté(e) 2 octobre 2006 (modifié) On en parle ICI Sinon, la réponse correct. Dans la nuance, l' "Upwelling" est le nom pour désigner le phénomène remontée d'eau (plus foide puisqu'elle ne vient pas de surface). Cette eau froide est alors emportée dans la circulation océanique et l'on parle alors de courants marins froids. Les côtes ouest aux latitudes subtropicales et tropicales sont sujets à ces phénomènes en raison de leur position par rapport aux anticyclones subtropicaux et par rapport à la circulation océanique de surface. Voici un LIEN expliquant ce phénomène (la direction du vent et la déviation de coriolis jouent tous les deux). Dans la carte ci-dessous, on voit par exemple pour les eaux froides que l'on retouve au large d'une partie du Portugal, du Maroc et du Sahara Occidental ne sont pas étrangères à la position "moyenne" de l'anticyclone des Açores, générant une direction de vent moyen assez souvent parallèle au côte (en moyenne, pas tout le temps). Ces côtes sont en effet souvent sujettes aux brouillards ou stratus ou, quand le vent souffle suffisamment et crée de la turbulence en dessous de l'inversion de subsidence, des stratoculumulus. Si le vent souffle de l'intérieur des terres, ces phénomènes disparaissent et la température augmente parfois de manière impressionante. Les différences locales d'ensoleillement aux îles Canaries ne sont pas étrangères à ces phénomènes nuageux (beaucoup de soleil sur les côtes sud des îles les plus montagneuses ainsi qu'en altitude, c à d au dessus de l'inversion de subsidence/ moins de soleil sur les côtes nord, sujettes aux stratocumulus). Reste la question des noms des différents courants froids.... Modifié 2 octobre 2006 par Piet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites