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Les Forums de MeteoBelgique
Philippe

A propos du réchauffement climatique

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Les dirigeants asiatiques tuent les espoirs de conclusion d’un accord à Copenhague

Les dirigeants participant à un sommet Asie-Pacifique dimanche se sont mis d’accord pour repousser un accord juridiquement contraignant sur le changement climatique, alors que le président américain Barack Obama favorise une approche « un accord, deux étapes » pour Copenhague le mois prochain.

Le président américain Barack Obama et les dirigeants réunis au sommet Asie Pacifique à Singapour dimanche ont apporté leur soutien aux projets présentés par le Danemark, prévoyant d’adopter seulement un accord politique et non pas un traité juridiquement contraignant à Copenhague.

Le premier ministre danois Lars Lokke Rasmussen a proposé un projet d’accord politique de 5 à 8 pages à Copenhague afin de s’occuper des questions clefs, telles que la baisse des émissions de gaz à effet de serre, et de proposer une date limite pour s’accorder sur un texte juridiquement contraignant à une date indéterminée.

Nous ne devrions pas faire du parfait l’ennemi du bien, a déclaré M. Obama aux délégués rassemblés pour le sommet de l’APEC à Singapour.

Toutefois, les nations africaines, les pays les moins développés, les petits Etats insulaires et certaines nations européennes ont toutes insisté pour qu’un vrai traité soit signé à Copenhague.

Tous les indices montrent que ces nations souhaitent toujours une issue juridiquement contraignante à Copenhague, a déclaré Kim Carstensen du groupe environnemental WWF, qui souhaite également qu’un traité soit conclut. Il est juste beaucoup trop tôt pour revoir nos ambitions à la baisse, a-t-il dit.

M. Rasmussen a expliqué que Copenhague pouvait toujours convenir d’objectifs comme ceux concernant les réductions d’émissions des gaz à effet de serre des pays développés, des actions par les nations en développement pour ralentir leurs émissions galopantes et des fonds pour aider les plus démunis, même s’ils ne sont pas consacrés dans un texte juridique.

Nous ne souhaitons pas laisser quiconque dans le besoin, a-t-il dit.

Je doute que la majorité des pays accepteront ce projet qui vise uniquement à sauver la face, a déclaré Kaisa Kosonen de Greenpeace, affirmant qu’il ignorait les besoins des pays qui sont les plus vulnérables face aux inondations, aux sécheresses, aux tempêtes de sable, aux maladies et à l’augmentation des niveaux de la mer.

Yi Xianliang, conseiller au département traité et loi du ministère chinois des Affaires étrangères, en charge des négociations climatiques, a déclaré que l’objectif de réduction globale de 50 % inscrit dans le projet initial de déclaration finale du sommet de l’APEC était très controversé.

Cela a pu perturber les négociations, a affirmé M. Yi lors d’une conférence de presse, ajoutant que la décision de faire disparaître cet objectif avait été prise de manière collective.

La Corée du Sud, membre de l’APEC, a un peu dynamisé les négociations climatiques de l’ONU en optant pour l’objectif de réduction volontaire d’émissions le plus sévère parmi les trois proposés, 4 % de réduction par rapport aux niveaux de 2005 dès 2020, selon une source gouvernementale qui s’est confiée à Reuters à Singapour.

Les Etats-Unis et le Japon ont accepté vendredi de réduire leurs propres émissions de gaz à effet de serre de 80 % d’ici 2050 et de soutenir un objectif global de réduction de moitié des émissions dès le milieu de ce siècle.

Les regards se tournent vers la Conférence de Mexico en 2010

Admettant que Copenhague ne déboucherait pas sur un traité juridiquement contraignant à ratifier par toutes les parties, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon a suggéré que le monde ne devrait peut être pas avoir à attendre jusqu’au COP16 de Mexico en décembre 2010 pour parvenir à un accord.

Citant le conseiller climatique du secrétaire général Janos Pasztor, Reuters rapporte que Ban Ki-Moon a mené des consultations avec un certain nombre de chefs d’Etat et, jusqu’à maintenant, le sentiment général semble être le suivant : nous devrions essayer de terminer le travail le plus tôt possible. Donc plus en six mois qu’en douze.

Cela laisserait aux Etats-Unis suffisamment de temps pour adopter leur projet de loi climatique, qui est actuellement bloqué au Sénat, a affirmé M. Ki-Moon. Si le Sénat américain n’est pas capable de faire des avancées avant le début du printemps, alors nous nous retrouvons au point de départ, et nous devons prendre cela en compte, a déclaré M. Pasztor.

L’UE salue l’engagement du Brésil

L’Union européenne a salué l’initiative du Brésil prise vendredi de ramener ses émissions aux niveaux de 1990 dès 2020 – une réduction potentielle de 20 % des 2,1 millions de tonnes de gaz à effet de serre produits par ce pays en 2005.

Il s’agit d’une étape potentiellement décisive pour parvenir à un accord global à Copenhague en décembre et pour remporter la combat contre le changement climatique, a déclaré José Manuel Barroso, président du bras exécutif de l’Union européenne, la Commission européenne.

Le Brésil, qui figure parmi les émetteurs de CO2 les plus importants du monde notamment en raison de la déforestation, est devenu un acteur majeur des négociations climatiques après des années de rejet de ces discussions lorsqu’il affirmait que l’obligation de réduire les émissions ne pesait que sur les pays riches.

Toutefois, la position de l’APEC est plus significative parce que ses 21 membres représentent environ 60 % de la pollution causée par les gaz à effet de serre d’origine humain.

Une rencontre ministérielle de la dernière chance à Copenhague ?

Quelques 40 ministres de l’environnement vont se rencontrer à Copenhague aujourd’hui (16 novembre) afin d’essayer de sauver l’accord climatique onusien du mois prochain, après le sommet asiatique du week-end.

Les ministres, y compris ceux des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre (Chine, Etats-Unis), doivent se réunir pendant deux jours dans un hôtel de Copenhague pour ce qui va être l’une des dernières chances de sortir de l’impasse entre les riches et les pauvres.

Les négociations ministérielles de cette semaine à Copenhague devraient être fermées aux médias, excepté pour la conférence de presse finale.

Les nations en développement insistent pour dire que les pays riches doivent s’engager à de profondes réductions d’émissions en 2020. Ils souhaitent également les voir s’engager à apporter des milliards de dollars pour les aider à faire face au problème.

Toutefois, les pays riches, touchés par la récession et avec un taux de chômage dépassant les 10 % aux Etats-Unis pour la première fois depuis les années 1980, se sont montrés réticents à s’engager plus sérieusement dans les négociations lancées à Bali en Indonésie en 2007 et qui stagnent.

L’un des gros problèmes est que les Etats-Unis, la seule nation industrialisée en dehors de l’actuel Protocole de Kyoto visant à réduire les émissions jusqu’en 2012, n’a pas encore adopté de législation visant à plafonner ses émissions. De nombreux pays sont réticents à prendre des mesures tant que l’incertitude demeure sur les engagements de Washington.

(Source : EurActiv avec Reuters. Article traduit de l’anglais par EurActiv).

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On parle aussi d'un refroidissement à partir de 2020 dans certains articles.

Alors vers un refroidissement :snow: ou un réchauffement :sun: ?

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Ce n'est pas la planète qui est a un problème, ce sont les humains qui sont dessus.

Une excellente phrase, avec une dédicace spécial à Laurent Cabrol. :whistling:

De ce que j'ai vu pour le moment, et avec les réserves d'usages, cela ne remets pas non plus fondamentalement en cause ce que l'on sait du climat. On parle là d'arrangements pour le moins douteux sur les données sans plus. Par contre, cela la faut mal, et l'impact médiatique, qui malheureusement est celui recherché, dépassera de loin la réalité des dits arrangements. :crying:

Cela me fait mal aussi de voir que le CRU a aussi joyeusement participé à ce genre de conneries. :(

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J'aime bien le calme de JPVY. Par contre, le contradicteur est encore une fois agressif, limite mal-élevé. "90% de certitude = 0% de preuves", quelle mauvaise foi !

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La guerre du climat commence avec un coup fourré

Réaction de J.P. van Ypersele (GIEC) sur l'affaire des mails détournés (D. Fontaine) : voir ici http://www.rtbf.be/info/societe/climat/la-...p-fourre-163347

C'est l'affaire qui secoue les milieux scientifiques et en particulier les chercheurs qui travaillent sur le réchauffement climatique : des pirates informatiques ont détourné des centaines de courriels échangés par des climatologues. Pour les discréditer.

Bonnes âmes, les pirates n'ont pas tardé à publier le fruit de leur pillage sur un site russe. Ils entendent démontrer que le réchauffement climatique repose sur des "tricheries". "Faux !" répondent les scientifiques.

Furieux, le mot est faible pour qualifier l'état d'esprit des membres du GIEC et de la communauté scientifique après ce fait d'arme pour le moins interpellant. Car ceux qui tentent, depuis des années, de dessiner les contours du réchauffement climatique pour mieux en appréhender les menaces savent que leurs thèses mobilisent contre elles de puissants lobbies, peu disposés à voir les gouvernements imposer des contraintes à leurs industries ou à leurs consommateurs.

Un centre de recherches très exposé

Les faits sont en effet étranges : des hackers se sont emparés de centaines de courrieres électroniques et de documents échangés par le Climate Research Unity (CRU) de l'université d'East Anglia avec leurs collègues travaillant sur le réchauffement climatique dans le cadre des travaux du Groupe intergouvernemantal d'experts sur l'évolution du climat (GIEC, IPCC en anglais). Ces courriels ont immédiatement été publiés dans le but de dénoncer des manipulations ou des tricheries dont les scientifiques se seraient rendus coupables.

Le CRU est une "cible" parfaite pour les contempteurs du réchauffement climatique : ses travaux en matière de réchauffement tant naturel que généré par l'activité humaine ont en effet en grande partie soutenu le quatrième rapport GIEC. Et ce rapport, c'est celui sur lequel chacun s'appuie aujourd'hui pour démontrer l'urgence de mesures de réduction des gaz à effet de serre.

Bombe ou pétard mouillé ?

A quelques jours du début du Sommet de Copenhague, l'opération commando menée sur les serveurs du CRU se voulait sans doute une bombe placée sous la table des négociateurs. Pensez ! faire passer Phil Jones, le directeur du CRU, pour un fumiste, voilà qui pourrait certainement "aider" certains pays à résister davantage aux exigences de la communauté internationale... Mais voilà, la bombe n'est sans doute qu'un pétard mouillé.

Plus exposé que d'autres, Phil Jones est véritablement "harcelé" par les sceptiques, confie ce scientifique qui a longtemps travaillé avec le GIEC et qui en connait bien la méthode de travail. "C'est bien de douter ! Il faut douter pour faire avancer la science", dit-il encore. Mais il dénonce ce qui apparait comme une tentative de déforcer les travaux du GIEC. "Or, explique-t-il, le GIEC, auquel tous les Etats délèguent des experts, accueille toutes les contributions qui sont scientifiquement établies, qu'elles aillent dans un sens ou dans l'autre. Ils en tiennent compte!" Mais ceux qui voient leurs travaux invalidés ne l'acceptent pas toujours de bon cœur... Ni leurs sponsors.

Des situations qui peuvent expliquer pourquoi certains des courriers électroniques de Phil Jones et des ses collègues témoignent de leur hargne à l'encontre de certaines revues ou de membres de comité de lecture de ces revues. Ainsi, dans un des courriels détournés, Michael E. Mann, un paléoclimatologue réputé, écrit : "L'article rédigé par Soon et Baliunas n'a absolument pas pu passer par une relecture légitime. Cela ne laisse qu'une possibilité : que le système de relecture chez ClimateResearch a été détourné par quelques sceptiques au comité éditorial. Et ce n'est pas seulement De Frietas (un professeur de l'université d'Auckland, rangé parmi les sceptiques, NDLR), je crains qu'un membre de mon équipe fasse partie de ce groupe. Les sceptiques ont manifestement mené un coup d'Etat à Climate Research (c'était une revue médiocre, mais maintenant c'est une revue médiocre avec un objectif bien précis)" . Pas gentil-gentil, mais peut-être simplement le reflet d'une réalité ?

Des courriers électroniques de ce genre, on en trouve effectivement toute une série parmi les centaines publiées par les auteurs du détournement. Comme tels, ils ne témoignent de rien d'autre que de beaucoup d'animosité entre scientifiques. Les uns, plus de 90% d'entre eux, adhérant aux travaux du GIEC, reprochant aux autres (5 à 10% des scientifiques) d'user d'arguments fallacieux pour remettre en cause leurs travaux. Avec des buts inavoués ou simplement sans se préoccuper de l'usage qui peut être fait de leurs interventions.

Notre interlocuteur explique ce qui est, selon lui, à l'origine de cette querelle, c'est-à-dire la reconstruction de courbes de température : "Le modèle de Phil Jones est extrêmement intéressant et assez robuste. D'ailleurs il est confirmé par toute une série d'autres indicateurs. Maintenant, il y a toujours des imperfections. Quand vous devez prendre, par exemple, des batteries de mesures au fin fond de la forêt équatoriale du Congo, forcément il y des biais...". Mais c'est normal, poursuit-il, "il faut toujours chercher, il faut de nouveaux outils, toujours plus précis...". Sur une autre "accusation" portée contre Phil Jones, soit le fait d'avoir manipulé certaines données en utilisant une "astuce" ("trick", en anglais), il réagit aussi : "On utilise tous des données corrigées !"

Climategate ou coup dans l'eau?

Quoi qu'il en soit, le coup porte. La blogosphère s'empare de la polémique et certains commentateurs se déguisent habilement en spécialistes du climat pour dénoncer le "climategate" mis à jour par les pirates.

Du libéral militant pur jus au spécialiste incompris, ils sont des centaines à se réjouir de cet acte illégal sans trop savoir d'où il vient. Ainsi, un peu gêné mais pas trop, Skyfal prévient "Bien sûr que ce n'est pas correct - ni légal - de pirater les ordinateurs d'un centre de recherches mais dans le cas présent, cela a permis d'accéder à ce qui est refusé depuis plusieurs années, l'accès à certaines données, qui permettraient de vérifier données et méthodes concernant les reconstructions de courbes de températures, sujet fort discuté sur les sites Climat Audit, The Blackboord ou WUWT ... Mais maintenant que les données sont dans le domaine public (sic), autant ne pas rester idiot, tout en conservant la distance nécessaire, des brouillons sont des brouillons".

L'un de leurs premiers arguments mérite toutefois qu'on s'y attarde, un peu : ils sont tous persuadés de la véracité des courriers électroniques détournés puisque les faits sont avérés mais aucun d'entre eux n'est en mesure de la démontrer. Ils parlent d'une véracité "probable" ou disent que ces mails "ont la plus grande chance d'être authentiques." Et cependant, ils en font usage. Tiens! Cela ne vous fait-il pas penser à la méthodologie des chercheurs sur le réchauffement climatique, que ces mêmes sceptiques condamnent pourtant ?

Source : RTBF/Thomas Nagant

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Juste avant les accords de Copenhague. Il n'y a pas à dire ils sont très forts les lobbies pétroliers.

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Une belle hypocrisie ... De toute façon, je trouve horriblement cynique et même criminel d'utiliser les 10% d'incertitude pour ne rien faire, surtout quand il s'agit de millions de personnes.

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Pendant ce temps, à Veracruz :

<h1 style="font-size: 20px;">Gaz à effet de serre: le scénario pessimiste se confirme (OMM)</h1>La concentration de la plupart des gaz à effet de serre atteint des niveaux jamais égalés depuis l'époque préindustrielle, se rapprochant du "scénario pessimiste" des scientifiques, a averti lundi l'Organisation météorologique mondiale (OMM) à trois semaines du Sommet de Copenhague. "Les nouvelles ne sont vraiment pas bonnes: la concentration de gaz à effet de serre continue d'augmenter et même à un rythme un peu plus rapide", a indiqué le secrétaire général de l'OMM, M. Michel Jarraud en exposant devant la presse les dernières données collectées par l'agence onusienne. Cela "confirme la tendance à une augmentation exponentielle", s'est-il alarmé en estimant: "nous sommes de fait plus près du scénario pessimiste" envisagé par le Groupe international d'experts sur le changement climatique (GIEC). "Il faut agir le plus vite possible", a-t-il lancé. La concentration de CO2, le principal gaz à effet de serre d'origine humaine, a augmenté de 38% depuis 1750 et a contribué depuis lors pour 63,5% à l'accroissement de l'effet de serre atmosphérique, selon les mesures de l'OMM. Cette contribution est même passée à 86% au cours des cinq dernières années.

http://www.lalibre.be/toutelinfo/belga/124...nfirme-omm.html

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Juste avant les accords de Copenhague. Il n'y a pas à dire ils sont très forts les lobbies pétroliers.

Ben oui, pas de pétrole pas de mondialisation.

Quand on touche au moteur de l'économie... <_<

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Une belle hypocrisie ... De toute façon, je trouve horriblement cynique et même criminel d'utiliser les 10% d'incertitude pour ne rien faire, surtout quand il s'agit de millions de personnes.

C'est ce qui me dégoute. Le but est uniquement médiatique et politique, visant à faire échouer le sommet de Copenhague. Cette histoire de RC devient du grand n'importe quoi.

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Voici un article qui reflète totalement mon avis sur le RC et sur la science de manière plus générale.

http://www.courrierinternational.com/artic...ue-par-principe

Quelque citations:

"Il déteste l’idée que les hommes ne feraient pas partie de la nature"

"Pour James Hansen, le coupable de la future apocalypse environnementale est le dioxyde de carbone contenu dans la fumée de charbon. Celle-ci contient de “vrais polluants” – suie, sulfure et oxydes d’azote. “De véritables saletés qui rendent les gens malades et difformes”, nous explique Dyson. Ces produits sont “considérés à juste titre comme des fléaux”, reconnaît-il, mais “ils peuvent être réduits de manière considérable et pour un coût modique grâce à des épurateurs"."

"nous vivons sur une planète fragile que notre manque de vision à long terme est en train de transformer en bidonville”

Conclusion de l'article: "Le débat reste ouvert" -> Malheureusement, je ne pense pas que ce soit le cas ...

Modifié par carlosjuan

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Malheureusement en ce moment, on a encore aucune certitude liée au RC a cause d'un manque de recul. Personne ne peut dire si ce que nous vivons actuellement n'est pas simplement une évolution naturelle du climat.

Que l'on croit ou non au RC, la n'est pas le débat, a mes yeux c'est comme le débat concernant le nucléaire, chacun y met un peu du siens sans que cela fasse avancé le schmilblik. Le vrai débat, c'est de savoir si il y a RC "artificiel" ou non

Ce que je pense? Si un jour on prouve réelement l'action de l'homme dans le RC alors il sera déja trop tard d'où le blocage actuel au niveau des décisions prisent, je m'explique.

Soit une bonne partie du RC est crée par l'homme et dans ce cas, ca induit un changement drastique dans nos habitude... Le problème? Si par la suite on se rend compte que c'était tout a fait naturel, que vont penser les gens? ca équivaudrait à rentrer dans une nouvelle crise bien plus profonde que celle vécue l'an passé.

Voila pourquoi , a mes yeux, il n'y a pas de réelles décisions prisent. Les gouvernements des pays ont bien peur des représailles du peuple en cas de grosse bourde international que provoquerait un RC naturel.

Modifié par huymétéo

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En 1902, la Montagne Pelée entra en éruption et provoqua une éruption qui détruisit entièrement Saint-Pierre. Il y eut 26.000 morts et 2 survivants. Les autorités avaient refusé d'évacuer la population, malgré les signes avant-coureurs, parce qu'il y avait une élection dans un futur proche, et qu'elles ne voulaient pas la perdre à cause d'une "évacuation inutile" qui aurait provoqué la colère des habitants et la défaite électorale.

Alors, désolé, moi je n'ai pas envie de vivre l'éruption de la Planète Terre.

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Super le site. J'ai vu que les images, mais elles montrent qu'on est dans les scénarios les plus pessimistes, et même parfois au-delà !

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Je n'ai pas fini de lire, mais il n'empêche que pour l'instant, les trifouillages douteux de Mann sur les températures sont connus depuis un certain déjà, et malgré quelques autres arrangements sur les séries de températures, il n'y a rien qui vient remettre en cause les bases actuelles de la climatologie, et le CRU n'est assurément pas le seul à travailler sur le sujet. De toute façon, à l'école des arrangements des séries, les sceptiques font du bon travail, même si ils refusent de l'admettre. Par contre, la pression exercée sur les autres scientifiques et sur les médias sont nettement mises en évidence :crying:

J'espère quand même qu'après cela, chacun sera un peu plus probe dans son travail.

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La seule chose que l'on désire, c'est la vérité, de vrais chiffres! Ce ne sont pas des triffouillages qui sont destinés à fermer le débat, à développer une pensée unique! Si on est pas d'accord avec le réchauffement anthropique, on est soit débile, soit payer par les lobbys pétroliers! Qu'on arrête la désinformation et qu'on se penche sérieursement sur cette affaire!

Quand j'écris un logiciel dans mon boulot et que les hypothèses de départ sont fausses, je peux vous garantir que le résultat sera faux!

Si on ne peut plus faire confiance à des scientifiques, mais où va-t-on?

La presse francophone est toujours muette et personne ne fait un vrai travail d'investigation sur cette affaire!

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http://www.agoravox.fr/actualites/internat...nouvelles-65542

Je ne pensais pas que l'homme était aussi pourri...

Je ne pensais pas qu'il pouvait aller jusqu'à manipuler des données...

J'espère que le débat s'ouvrira un peu plus...

Je me méfie de ce genre d'auteur, dont les centres d'intérêts ne sont pas très axés sur la climatologie. :innocent:

Institut Hayek

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Je me méfie de ce genre d'auteur, dont les centres d'intérêts ne sont pas très axés sur la climatologie. :innocent:

Institut Hayek

C'est un lien parmi bcp d'autres!

La presse anglosaxonne en parle déjà bcp plus. (bbc , examiner, wall street journal,...)

Il ne fait qu'une synthèse des choses qui sont présentes sur le net.

Le simple fait de remettre en question la théorie du réchauffement, on imagine pas le bouleversement que ça provoquerait!

Les enjeux financiers sont énormes! Tout est basé sur le CO2! TOUT!

Le catastrophisme, il n'y a que ça qui paie.

La peur inonde de plus en plus notre société.

Je vous rassure ... Je ne suis pas un gourou... J'essaie simplement d'ouvrir le débat...

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