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Les Forums de MeteoBelgique
Philippe

A propos du réchauffement climatique

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Marco, tes cartes sont super intéressantes, car elles montrent qu'il fait de plus en plus chaud dans toutes les parties du monde !

1) En 1998, l'Arctique était en partie chaud, en partie froid. En 2005, il s'est nettement réchauffé; mais en 2010, la partie brune est encore plus grande.

2) Dans les Tropiques, il fait aussi plus chaud, notamment dans le Sahara et au Moyen-Orient.

3) Dans l'Antarctique, le froid a presque complètement disparu !

Mais que fait Claude Alègre ???!!!

Il essaie de vendre son livre...

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J'ai passé mon temps à effectuer une petite animation des 16 derniers mois:

aza.gif

Bonne nuit.

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Bah, se faisant dépasser par la droite par le Vlaams Belang et sur sa gauche par la N-VA... Il n'a trouvé que ça pour espérer garder quelques électeurs le 13 juin. <_<

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Il n'y a pas que son électorat qui baisse. L'extent de la banquise du pôle nord est passée sous le seuil de 2007. Et nous venons cette fois-ci de très haut.

NSIDC

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Eh ben c'est du propre ! Heureusement, 2007 avait terminé très fort, donc c'est pas encore fini.

Qqn a envie de poster cela sur le FB de LLD ? :whistling:

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Les principaux scientifiques américains demandent une action sur les changements climatiques

Washington - L'Académie nationale des sciences, la plus importante organisation scientifique des États-Unis, qui n'intervient généralement pas dans les débats de politique générale, vient de se départir de son rôle habituel de conseiller purement scientifique du gouvernement pour exhorter ce dernier à mettre en ouvre des « stratégies immédiates et durables » de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

L'un des trois rapports de l'Académie, intitulé Choix climatiques, publié par son Conseil national de la recherche, a également souligné le besoin d'établir un « cadre public-privé, multipartite, au niveau national » pour aider le pays à faire face aux changements climatiques inévitables. Le Congrès américain avait commandité ces rapports en 2008 en donnant aux scientifiques toute la latitude nécessaire pour analyser ce que l'on sait des changements climatiques, quelles en sont les causes et comment le pays devrait y répondre.

« À eux trois ces rapports illustrent que la science des changements climatiques est active », a déclaré Ralph Cicerone, le président de l'Académie, au cours d'une conférence de presse donnée le 19 mai. « Ils soulignent également le fait que la communauté scientifique doit continuer à approfondir ses connaissances sur les raisons pour lesquelles les changements climatiques ont lieu, et à se centrer sur quand et où les impacts les plus sérieux se produiront - et ce que nous pouvons tous faire pour y faire face. »

Un système de fixation des prix du carbone pour tous les secteurs de l'économie devrait jouer un rôle prépondérant dans toute politique future visant à réduire les émissions, a conclu l'Académie, en précisant qu'un tel mécanisme pourrait consister soit en une taxe sur le carbone, soit en ce qu'on appelle le « cap-and-trade system », c'est-à dire un marché des droits d'émissions, soit encore en une combinaison des deux. En appliquant un prix aux émissions de gaz carbonique, le gouvernement créerait des incitations pour encourager le secteur industriel et d'autres polluants à réduire les quantités de carbone qu'ils émettent. Deux projets de loi recommandant de telles mesures ont été soumis au Congrès américain.

Dans le cadre du marché des droits d'émissions, le gouvernement émettrait des « permis de pollution » que les entreprises pourraient vendre à profit sur le marché ouvert, si elles réduisaient leurs émissions et n'avaient plus besoin de ces permis. Les sociétés qui ne réduiraient pas leurs émissions pourraient acheter ces permis supplémentaires : cela leur ferait encourir des frais supplémentaires en conséquence.

Les revenus acquis par le gouvernement des recettes de la taxe sur le carbone ou des ventes des permis d'émissions de carbone pourraient être réinvestis dans la recherche et le développement, les programmes d'efficacité énergétique, les programmes d'adaptation aux changements climatiques ou sous forme d'aide aux ménages à revenu faible qui ont du mal à faire face aux prix énergétiques plus élevés, a écrit l'académie. La hausse des prix énergétiques qu'entraînerait l'adoption d'un prix carbone est l'un des défis qui se profile à l'horizon, alors que le Congrès étudie la législation sur les changements climatiques.

Robert Fri, le directeur de l'un des rapports de l'Académie, a déclaré qu'une approche multiple comprenant la fixation du prix du carbone serait cruciale si les États-Unis souhaitaient atteindre leurs buts en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. L'Académie a proposé un « budget » national d'émissions de dioxyde de carbone de 170 à 200 milliards de tonnes - représentant des gaz à effet de serre - susceptibles d'être émis entre 2012 et 2050c ce qui constituerait une baisse des émissions de l'ordre de 50 à 80 % par rapport aux niveaux des années 1990 et qui correspond aux cibles fixées par le gouvernement Obama et proposées par certains membres du Congrès.

« Le respect du budget sera une vraie gageure », a déclaré M. Fri. Même si toutes les technologies existantes et émergentes pour produire de l'énergie renouvelable et capter et stocker les émissions de carbone étaient utilisées au plus fort de leur potentiel, a-t-il déclaré, « il est clair que nous aurions encore besoin de faire des efforts supplémentaires en matière de réduction des émissions ».

L'Académie a également recommandé au gouvernement américain d'entreprendre les initiatives suivantes :

. Rénover, remplacer ou fermer les installations à émissions intensives telles que les centrales au charbon.

. Examiner et éliminer l'ensemble des obstacles aux essais et à la commercialisation à pleine échelle d'une nouvelle génération de centrales nucléaires.

. Accélérer le développement de sources d'énergie renouvelable à faible carbone telles que les centrales nucléaires et les centrales alimentées à la biomasse, ainsi que l'énergie éolienne, hydrique, géothermique et solaire.

. Mettre en valeur des centrales énergétiques capables de capter et de stocker les émissions de carbone.

. Encourager une urbanisation compacte à usage polyvalent exigeant moins de déplacements en voiture.

. Développer des choix nouveaux de transports en commun et renforcer les systèmes existants.

Les rapports ont aussi donné la perspective de l'Académie sur les mesures grâce auxquelles les États-Unis devaient se préparer et s'adapter aux changements qui allaient se produire avec les nouvelles et inévitables tendances des changements climatiques.

Signalant que les stratégies d'adaptation varieraient en fonction des conditions locales, les chercheurs ont proposé un programme national d'adaptation dirigé par le gouvernement fédéral qui coordonnerait les efforts aux niveaux local et régional et qui relierait les programmes à travers le territoire. Le gouvernement devrait également jour un rôle prépondérant dans les initiatives internationales d'adaptation et appuyer les programmes d'adaptation à l'échelle planétaire, ont écrit les scientifiques.

« Les recherches de l'Académie sont à jour et bien documentées dans leur science, claires dans leur présentation et convaincantes dans leurs conclusions en matière de politique », a déclaré John Holdren, conseiller scientifique auprès du président Obama et de la Maison-Blanche. « J'espère vivement que chaque membre du Congrès et tout autre responsable du gouvernement chargé du dossier énergétique et climatique liront au moins les synthèses - en tout 36 pages- au début de chaque rapport.

(Source : K. Rives. http://www.america.gov/fr/)

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Toujours à propos de la banquise (pour ne pas changer <_< ), on est au même niveau que 2006, c'est à dire au plus bas. À l'énorme différence près que la fonte a été record depuis le point haut, alors que 2006 avait juste profité de l'acquis de l'Hiver, sans que la fonte est rien d'exceptionnel. Pour se rassurer, la fonte plutôt faible en 2006 c'était prolongé à l'été, et il est peu probable que ce scénario se reproduise cette année. :whistling:

CEpendant, je ne pense quand même pas que cette année, la banquise puisse atteindre le record de 2007.

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Modifié par paix

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Holy craps :blink:

C'est peut être le matin, et faudrait que je me réveille, c'est sans doute qu'une évolution ponctuelle et cela ira mieux dans quelques jours, mais si on commence comme cela le mois de Juin :jawdrop:

P.S. Les données, histoire de se faire peur :

06,02,2010,11013281

06,03,2010,10973594

06,04,2010,10891094

06,05,2010,10735938

Un 24 heures, -155156 km² (la Belgique, c'est 30 000 km² environ ) et en 96 heures, -277343 km² (l'Italie, c'est plus ou moins 300 000 km²). Ce n'est sans doute qu'une évolution sans lendemain, mais cela donne une juste mesure de ce qui est en train de se passer, et confirme que la débâcle s'amuse à jouer avec tous les records.

Ce qui me perturbe est la température de l'Arctique. Si c'est encore une fois la foire au gros rouge qui tâche, on est loin pourtant de l'année 2007 et de ses anomalies délirantes. Vu comment la banquise dégage en ce moment, cela pose question.

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Modifié par paix

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Si il y en a qui croient en Dieu, je crois que c'est le moment de prier. Encore 100 000 km² qui ont dégagés en 24 heures :

06,05,2010,10748750

06,06,2010,10647031

Au vu des cartes des modèles météo pour l'Arctique, je ne pense pas que l'on puisse tenir ce rythme longtemps. Mais la vache, on est vraimment mal barré.

post-3513-1275892849_thumb.png

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Si il y en a qui croient en Dieu, je crois que c'est le moment de prier. Encore 100 000 km² qui ont dégagés en 24 heures :

06,05,2010,10748750

06,06,2010,10647031

Au vu des cartes des modèles météo pour l'Arctique, je ne pense pas que l'on puisse tenir ce rythme longtemps. Mais la vache, on est vraimment mal barré.

Entretemps, au sud de l'hémisphère, l'anomalie est positive, et est prête à défoncer tous les records. Et à l'échelle mondiale, l'extension du pack est dans les normes.

Il faut un peu relativiser.

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Nop, parce que je parle bien de l'Arctique. J'y est peut être été un peu fort, mais l'évo de la banquise Arctique et Antarctique sont deux sujets totalement différent, et l'un ne saurait compenser l'autre.

Ce qui m'inquiète surtout est le gap entre les anomalies de températures en Arctique et la réalité de la fonte. Et ce que nous venons de vivre est de l'acquis, et à donner une avance de plusieurs jours pour la fonte.

La dissociation entre banquise Arctique et Antarctique reste mal comprise, mais se retrouve régulièrement. De plus, d'un point de vue historique, la forte embâcle de la banquise Antarctique ne rentre pas (encore ?) dans l'exception.

post-3513-1275927291_thumb.png

http://img717.imageshack.us/img717/688/sstddevtimeseries.png

Sur les secteurs où se fait la fonte, 2005, a connu des anomalies bien pire, à l'exception de la mer de Chukchi. Et là, il n'y a pas 36 explications possibles, soit on est dans des conditions locales un peu particulières qui favorisent la dérive de la banquise, soit on est rentré dans une rétroaction positive.

Donc, voilà, j'aurais du faire ce post ce matin, mais ce qui est fait est fait.

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Modifié par paix

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Et là, c'est le NSIDC qui affirme que la fonte en Mai a été la plus rapide depuis 1979, avec des conséquences pour le minimum de Septembre impossible à déterminer. Il ne reste plus qu'à espérer.

http://nsidc.org/arcticseaicenews/index.html

June 8, 2010

Arctic sea ice extent declines rapidly in May

In May, Arctic air temperatures remained above average, and sea ice extent declined at a rapid pace. At the end of the month, extent fell near the level recorded in 2006, the lowest in the satellite record for the end of May. Analysis from scientists at the University of Washington suggests that ice volume has continued to decline compared to recent years. However, it is too soon to say whether Arctic ice extent will reach another record low this summer—that will depend on the weather and wind conditions over the next few months.

map from space showing sea ice extent, continentsFigure 1. Arctic sea ice extent for May 2010 was 13.10 million square kilometers (5.06 million square miles). The magenta line shows the 1979 to 2000 median extent for that month. The black cross indicates the geographic North Pole.

Overview of conditions

Arctic sea ice extent averaged 13.10 million square kilometers (5.06 million square miles) for the month of May, 500,000 square kilometers (193,000 square miles) below the 1979 to 2000 average. The rate of ice extent decline for the month was -68,000 kilometers (-26,000 square miles) per day, almost 50% more than the average rate of -46,000 kilometers (18,000 square miles) per day. This rate of loss is the highest for the month of May during the satellite record.

Ice extent remained slightly above average in the Bering Sea, and below average in the Barents Sea north of Scandinavia, and in Baffin Bay.

Conditions in context

As we noted in our May post, several regions of the Arctic experienced a late-season spurt in ice growth. As a result, ice extent reached its seasonal maximum much later than average, and in turn the melt season began almost a month later than average. As ice began to decline in April, the rate was close to the average for that time of year.

In sharp contrast, ice extent declined rapidly during the month of May. Much of the ice loss occurred in the Bering Sea and the Sea of Okhotsk, indicating that the ice in these areas was thin and susceptible to melt. Many polynyas, areas of open water in the ice pack, opened up in the regions north of Alaska, in the Canadian Arctic Islands, and in the Kara and Barents and Laptev seas.

The polynyas are clearly visible in high-resolution passive microwave images from the Advanced Microwave Sounding Radiometer (AMSR-E) aboard NASA’s Aqua satellite. What do current ice conditions mean for the minimum ice extent this fall? It is still too soon to say: although ice extent at present is relatively low, the amount of ice that survives the summer melt season will be largely determined by the wind and weather conditions over the next few months.

May 2010 compared to past years

Average ice extent for May 2010 was 480,000 square kilometers (185,000 square miles) greater than the record low for May, observed in 2006, and 500,000 square kilometers (193,000 square miles) below the average extent for the month. The linear rate of decline for May over the 1979 to 2010 period is now -2.41% per decade.

The rate of decline through the month of May was the fastest in the satellite record; the previous year with the fastest daily rate of decline in May was 1980. By the end of the month, extent fell near the level recorded in 2006, the lowest in the satellite record for the end of May. Despite the rapid decline through May, average ice extent for the month was only the ninth lowest in the satellite record.

Persistent warmth in the Arctic

Arctic air temperatures averaged for May were above normal, continuing the temperature trend that has persisted since last winter. Temperatures were 2 to 5 degrees Celsius (4 to 9 degrees Fahrenheit) above average across much of the Arctic Ocean. A strong anticyclone centered over the Beaufort Sea produced southerly winds along the shores of Siberia (in the Laptev and East Siberian seas), resulting in warmer-than-average temperatures in this area. The Canadian Arctic Islands were an exception to the general trend, with temperatures slightly cooler than average over much of the region.

Models indicate low ice volume

Ice extent measurements provide a long-term view of the state of Arctic sea ice, but they only show the ice surface. Total ice volume is critical to the complete picture of sea ice decline. Numerous studies indicate that sea ice thickness and volume have declined along with ice extent; unfortunately, there are no continuous, Arctic-wide measurements of sea ice volume. To fill that gap, scientists at the University of Washington have developed regularly updated estimates of ice volume, using a model called the Pan Arctic Ice Ocean Modeling and Assimilation System (PIOMAS).

PIOMAS uses observations and numerical models to make ongoing estimates of changes in sea ice volume. According to PIOMAS, the average Arctic sea ice volume for May 2010 was 19,000 cubic kilometers (4,600 cubic miles), the lowest May volume over the 1979 to 2010 period. May 2010 volume was 42% below the 1979 maximum, and 32% below the 1979 to 2009 May average. The May 2010 ice volume is also 2.5 standard deviations below the 1979 to 2010 linear trend for May (–3,400 cubic kilometers, or -816 cubic miles, per decade).

PIOMAS blends satellite-observed sea ice concentrations into model calculations to estimate sea ice thickness and volume. Comparison with submarine, mooring, and satellite observations help increase the confidence of the model results. More information on the validation methods and results is available on the PIOMAS ice volume Web site.

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Et oui ...

Le pire, c'est que les anomalies de températures n'ont rien à voir avec les délires qu'ont a pu connaître certaine année, et pourtant, on creuse, on creuse, on creuse....

Et maintenant qu'on a pris une dizaine de jours d'avance sur la fonte, les prévisions deviennent de plus en plus inquiétantes, avec une forte probabilité de formation de ce foutu anticyclone à tous les étages.

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Pour une fois l'Europe devient une oasis de fraîcheur dans un océan d'excès. Encore plus incroyable de penser que 2010 part pour être une des plus chaudes années de toujours quand l'Europe vit un des semestres les plus frais jamais enregistrés depuis un bon bout de temps.

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http://sites.google.com/site/refsdefred/

Il semble que le rythme de fonte a un peu diminué ces derniers temps. Cependant, il existe de nombreuses poches où la glace disparaît, en mer de Sibérie, au NE de Spitzberg, dans le passage du NO, et même à l'intérieur de la banquise !

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Ne vous inquiétez pas, ce n'est que pour mieux plonger. La Belgique va bientôt devenir la capitale du froid de l'Hémisphère Nord à ce rythme.

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Ah tiens oui on a la même température au 850Hpa que l'on soit au Pôle Nord ou à Bruxelles :whistling:

Et puis le 25º sur le lac Baïkal est très folklorique aussi ...

Donc, en effet, pas d'inquiétudes ...

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J'en suis arrivé à un point où plus rien ne me surprend, et où j'observe totalement désabusé. Et rien ne va s'arranger. Quand on sait que la hauteur moyenne du géopotentiel est de 5400 à 5500 dam (une belle couleur verte sur cette échelle) et que les pressions sont négatives, le crash est inévitable. Seule son ampleur peut encore avoir un vague intérêt.

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Ce qui me surprend le plus en fait est l'évolution de la banquise. C'est surtout que j'ai tellement à comprendre son évolution. Elle est à des records en ce moment, après avoir passé l'Été en territoire négatif la plus part du temps. Et j'ai l'impression que c'est surtout quand l'Arctique tourne en eau qu'elle fait parler d'elle. Malgré tout, l'évolution linéaire est faiblement positive du à cette forte variabilité.

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Modifié par paix

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